Jabot

bizarres et de galons cramoisis »p.63 ; p. 109, quand le narrateur le croise auprès de la Lingen, il est vêtu toujours de sa redingote mais aussi d’une « chemise à jabot », d’un « gilet de laine » et de guêtres sur ses gros souliers cirés » ; p. 242, pour la cérémonie de bienvenue, l’extravagance de son vêtement est soulignée : « jabot blanc qui moussait », accessoires qui lui font « une quincaillerie dorée », « manchettes éclatantes » etc... ; et même le jour de l’exposition de ses dessins, son habit

section européenne ? des fonds énormes qui se plissaient et se déplissaient Job  étudiant  :  assistant d'éducation autour  d’elle  à  chaque  pas,  le  long  de  son  corps  de Les homophones statue. Elle avait du corsage et elle l’agrémentait de 6 jabots  de  linon .  À  la  voir  au  milieu  de  cette  cuve d’enfants  dont  elle  tenait  une  grappe  dans  chaque Forum d’entraide scolaire » main,  pendant  que  les  autres  giclaient  autour  d’elle, on  l’aurait  toute  voulue.  Derrière  elle

haute et gonflée, ne permet pas de porter un chapeau. Le CARCAN est un collier de perles. Louis XIII Pourpoint aux basques allongées et souples, dont les manches sont tailladées. Les tassettes du pourpoint sont des basques longues. Le jabot de la chemise est en lin ou en dentelle. Les manches sont tailladées et se resserrent aux poignets. Les haut-de-chausses s'arrêtent aux genoux. Coiffure: Les cheveux sont longs et frisés. Moustache relevée, Barbe très petite, Chapeau de

Vautour fauve comprend la cavité buccale, avec la langue et les glandes salivaires, l’œsophage, le jabot, l’estomac (gésier et ventricule succenturié), le foie, la rate, le pancréas, l’intestin et les glandes annexes. a) L’œsophage : c’est un tube mou qui présente un renflement plus ou moins accentué. b) Le jabot : chez le Vautour fauve comme chez tous les rapaces diurnes, il existe un faut jabot à qui il sert uniquement d’entrepôt pour les aliments ( le stockage des aliments). c) L’estomac :

boutonné ; son habit bleu clair ne faisait pas un pli. Il avait une culotte de nankin, des bas blancs, une haute cravate, un jabot plissé, des souliers à boucles d’argent. Les deux autres hommes étaient, l’un, une espèce de géant, l’autre, une espèce de nain. Le grand, débraillé dans un vaste habit de drap écarlate, le col nu dans une cravate dénouée tombant plus bas que le jabot, la veste ouverte avec des boutons arrachés, était botté de bottes à revers et avait les cheveux tout hérissés, quoiqu’on

présence (uniquement chez les fourmis et encore à un état peu développé chez les fourmis archaïques) d’un pré-estomac : le jabot social. Le terme a été inventé par Hölldobler en 1985. Cette poche est uniquement réservée à la communauté et les aliments qui y sont stockés n’arrivent dans son estomac propre qu’après plusieurs jours. Durant le temps où les aliments restent dans le jabot social, les aliments restent intacts du fait de l’absence de sucs digestifs. Cette poche peut prendre jusqu’au 4/5èmes

peut par exemple demander à une seconde fourmi de régurgiter sa nourriture devenue liquide à partir de son jabot, en étendant une des ses pattes antérieures sur le labium de la seconde. Ce procédé est appelé la trophallaxie et est utilisée par la plupart des insectes sociaux, comme les guêpes ou encore les abeilles. Les fourmis possèdent deux estomacs distincts : - Le Gésier - Le Jabot qui est le plus proche de la bouche, c'est un véritable réservoir de nourriture. La trophallaxie peut être

était toujours la tambour-major4. Elle était vêtue à l’opulente d’une robe de bure5, avec des fonds énormes qui se plissaient et se déplissaient autour d’elle à chaque pas, le long de son corps de statue. Elle avait du corsage et elle l’agrémentait de jabots de linon6. A la voir au milieu de cette cuve d’enfants dont elle tenait une grappe dans chaque main, pendant que les autres giclaient autour d’elle, on l’aurait toute voulue. Derrière elle, les nourrices portaient encore les derniers-nés dans des

était toujours la tambour-major4. Elle était vêtue à l’opulente d’une robe de bure5, avec des fonds énormes qui se plissaient et se déplissaient autour d’elle à chaque pas, le long de son corps de statue. Elle avait du corsage et elle l’agrémentait de jabots de linon6. A la voir au milieu de cette cuve d’enfants dont elle tenait une grappe dans chaque main, pendant que les autres giclaient autour d’elle, on l’aurait toute voulue. Derrière elle, les nourrices portaient encore les derniers-nés dans des

pas des plus attirant, ils sont intrigués. La bosse que il portait sur le dos semble imposante au point de «[…]caresser la nuque »du bossu . Ses vêtements d’une décence des plus rigoureuses avec un costume noir complet avec des manchettes et des jabots de mousseline plissées d’une éclatante blancheur impose encore plus la présence d’Esope vis-à-vis des autres personnages et du narrateur. Il parlait d’une petite voix qui « grinçait comme une crécelle d’enfant » Le portrait moral : Dans ce