J émerveille D Apollinaire

APOLLINAIRE ALCOOLS / PARCOURS « MODERNITE POETIQUE ? » BIEN NOTER LE ? QUI PROUVE QU’ON HESITE A REPONDRE, QU’IL Y A DONC UN POUR ET UN CONTRE… (lire les colonne horizontalement : de gauche à droite) Voici un tableau qui résume les principaux arguments pour ou contre : UNE POESIE TRADITIONNELLE colonne de gauche // colonne de droite UNE POESIE MODERNE LE TITRE DE L’ŒUVRE / LE NOM DE L’AUTEUR (à la fois intro et conclusion du recueil) La vision dionysiaque de la poésie (patronnée par

fait allusion au peuple français qui devrait se libérer à nouveau, comme le veut la ligne de pensée du romantisme. Un poème surréaliste : Guillaume Apollinaire, «La colombe poignardée et le jet d’eau.». Le poème choisit est en parfait harmonie avec le surréalisme pour pour les raisons suivantes. -C’est un calligramme, en effet, Guillaume Apollinaire en est l’inventeur, il est lui même un auteur surréaliste. -La colombe est un oiseau emblématique de la paix et de l’amour, le surréalisme prône ces

confondent les notions d'expression, d'expressionnisme et de modernité. Avec Kandinsky, Kupka, Picabia, Robert Delaunay etc., il était de ceux, qui, dans toute l'Europe, derrière le cubisme historique et le futurisme, accompagnés par Guillaume Apollinaire comme tête de pont de la modernité, entre Paris et Munich,  poussaient les avant gardes vers la non-figuration. Mais  pour Klee,  les moyens de la peinture, devaient rester subordonnés à l'expression. Et l'expression est pour lui quête d'unité,

sais pas si vos ressentis sont les même, mais je savoure ce bijou comme une exquise glace à la framboise. » Le journaliste se rendit compte cependant qu'il partait un peu loin et s'en excusa. - « Ne vous excusez pas cher ami, vous avez l'air émerveillé quand vous parlez, et même si je ne me considère pas comme un poète lyrique, j'aime tout ce qui touche à la poésie, donc ne vous retenez surtout pas. D'ailleurs, je suis du même avis concernant l' « Invitation au voyage » puisqu'il s'agit de mon

« A une fleur » Alfred De Musset Pg 16 Biographie Pg 18 « Brumes et pluies » Baudelaire Pg 19 Biographie Pg 20 « La Bonne chanson » Paul Verlaine Pg 21 Biographie Pg 22 La Poésie en Liberté «  Automne malade » Guillaume Apollinaire Pg 23 Biographie Pg 24 « Crépuscule rustique » Nérée Beauchemin Pg 25 « La Mer » Nérée Beauchemin Pg 26 Biographie Pg 27 PREFACE « L’automne est le printemps de l’hiver » La poésie est l’une des plus anciennes formes littéraires

n'ayez Rien au réveil que vous n'ayez Envisagé de quelque moue Pire si le rire secoue Votre aile sur les oreillers Indifféremment sommeillez Sans crainte qu'une haleine avoue Rien au réveil que vous n'ayez Envisagé de quelque moue Tous les rêves émerveillés Quand cette beauté les déjoue Ne produisent fleur sur la joue Dans l'oeil diamants impayés Rien au réveil que vous n'ayez Paul Verlaine 1844-1896 Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon cœur, C'est bien la pire peine,Comme il pleut

différence des autres, le poète peut compenser ce manque. Loin de pleurer de façon gratuite sur son sort, il cherchera à fixer sa douleur dans des formes éternelles. En témoignent ces vers d’un poème non titré du recueil Le Guetteur mélancolique de G. Apollinaire publié à titre posthume en 1952 : « O mon cœur, j’ai connu la triste et belle joie D’être trahi d’amour et de l’aimer encore » Ces vers mélodieux, c’est à l’amère expérience du poète que nous les devons. Des vers analogues sont également produits

des mortels. Jacques Prévert, poète contemporain, s'inspire d'une photographie d'Izis pour écrire « Le Grand Bal du Printemps ». Affiche précipitamment collée sur une balustrade, on ne l'aurait sans aucun doute jamais remarqué sans l'oeil-artiste émerveillé du « colporteur d'images » et la plume enchanteresse du magicien des vers. Par le biais de son poème, Prévert nous fait ouvrir les yeux sur toute la magie issue de la simplicité du monde. Un siècle plus tôt, Charles Baudelaire emmenait son lecteur

la colombe ou l’aigle, De l’audace et du chant doublement habitée ! Je vous salue, ma France, où les blés et les seigles Mûrissent au soleil de la diversité… Je vous salue, ma France, où le peuple est habile À ces travaux qui font les jours émerveillés Et que l’on vient de loin saluer dans sa ville Paris, mon cœur, trois ans vainement fusillé ! Heureuse et forte enfin qui portez pour écharpe Cet arc-en-ciel témoin qu’il ne tonnera plus, Liberté dont frémit le silence des harpes, Ma France

froid"; "la main sur la poitrine". J'ai choisi ce poème car l'auteur révèle brutalement la nature du sommeil du soldat. Prosopopée D'ostende Trois ans déjà passés, théâtre de la guerre, J'exerce de deux chefs les funestes combats, Et fais émerveiller tous les yeux de la terre, De voir que le malheur ne m'ose mettre à bas. A la merci du Ciel en ces rives je reste, Où je souffre l'hiver froid à l'extrémité, Lors que l'été revient, il m'apporte la peste, Et le glaive est le moins de ma calamité