J M Leprince De Beaumont La Belle Et La Bête

* Ecrivain français, né dans une famille bourgeoise d’Erudits et d’Artistes, où il reçoit une solide formation classique. Il grandit au milieu des livres et des peintures. * Son arrière-grand-mère, Marie Leprince de Beaumont auteur de conte dont le plus célèbre « La Belle et la Bête » enchante son enfance. Après une brillante scolarité au lycée, il étudie le droit, mais son gout et sa curiosité le pousse vers l’étude des langues, des littératures étrangères * Ecrivain précoce et prolifique

sur les contes et légendes traditionnels du Japon en faisant référence au conte de fée La Belle et la Bête avec une princesse vivant dans une forêt accompagnée d’une bête sauvage. L'une des versions les plus anciennes de ce conte date du IIe siècle. En 1550, une autre version était tirée du folklore italien. En France, ce conte apparaît en 1740. C'est sur la version du 1757 de Mme Leprince de Beaumont que sont basées la plupart des adaptations ultérieures. La princesse Mononoke, San, la jeune

chronologique. Séance 1 : « La Belle au bois dormant ». Objectifs : * Découvrir la notion de merveilleux dans un conte. * Etudier le merveilleux dans différentes versions d’un même conte. Support : * La Belle au bois dormant, Charles Perrault. * La Belle au bois dormant, Grimm. Activité : lecture/compréhension. Séance 2 : « La Belle au bois dormant » en peinture. Objectif : * Etudier la composition d’un tableau. Support : * La Belle au bois dormant, Daniel Maclise

l’histoire| Lecture en réseauxRéseau autour d’un auteur (Nadja) et d’un procédé d’illustration : Chien bleu, Nadja, Ecole des loisirsL’enfant des sables, Nadja, Ecole des loisirsRéseau autour d’un personnage qui se métamorphose :La belle et la bête, Mme Leprince de Beaumont, Folio CadetMamie ouate en Papoâsie, Jouanneau Joël, Actes SudLa sorcière d’Avril et autres nouvelles, Bradburry Ray, Actes Sud juniorLa princesse Grenouille, GrimmmMon amour, Paul Cox, Seuil jeunesseLa rencontre : l’histoire véridique

J-C) ➢ « L’Âne d’or ou les métamorphose » d’Apulée (v 161 après J-C) ➢ « La Belle et la Bête » de Mme Leprince de Beaumont (1757)… Il n’y a aucune représentation cinématographique ou télévisuelle du livre « La Métamorphose » mais il y en a qui reprennent l’idée de celle-ci comme par exemple : (une ancienne série) « L’homme animal », « Harry Potter » (il y en a quelques unes), « La Belle et la Bête », «  Men in Black »… Evénément : La date de parution du livre est contemporaine à la

Fontaine (1668 – 1694) b) Le conte traditionnel : d’apparence simple, il intègre des personnages et des faits merveilleux, et illustre des valeurs morales. Ex : La Belle et La Bête de Mme Leprince de Beaumont (1757) c) Le conte philosophique  : né au XVIIIe siècle, récit bref et plaisant qui reprend les codes du conte merveilleux afin de critiquer l’ordre établi et de défendre des valeurs

sans escalier, ni porte, au milieu de la forêt. - Les métamorphoses L’un des grands motifs du conte Exemples : * Le conte du genévrier (Grimm) * Le roi grenouille ou Henri- le- Ferré (Grimm) * La belle et la bête (Madame Leprince de Beaumont) * Les douze frères (Grimm) * Les six frères cygnes (Grimm) * Les cygnes sauvages (Andersen) Croiser des contes Exemples Contes montrant la valeur de la parole * Tom Pouce (Grimm) * Le genévrier

au XVIIIème siècle, natament chez Voltaire avec Huron et L'ingénu. Les « frontières de l'humanité », exprimés dans les Métamorphoses d'Ovide, au 1er siècle av.J.C. continueront d'avoir des échos au XVIIIème siècle, à travers La Belle et la Bête, de J-M Leprince de Beaumont, au XIXème siècle, avec Victor Hugo, dans L'Homme qui rit, on peut également s'émouvoir sur le sort de Joseph merrick, surnommé Elephant-man, en raison de ses très importantes difformitées physique, et au Xxème avec Rhinocéros de

Contes De Jeanne-Marie Leprince de Beaumont La Belle et la Bête Il y avait une fois un marchand qui était extrêmement riche. Il avait six enfants, trois garçons et trois filles, et comme ce marchand était un homme d’esprit, il n’épargna rien pour l’éducation de ses enfants et leur donna toutes sortes de maîtres. Ses filles étaient très belles ; mais la cadette surtout se faisait admirer et on ne l’appelait, quand elle était petite, que la Belle Enfant ; en sorte que le nom lui en resta, ce qui donna

marqué selon les auteurs et les époques : peu marqué chez Straparola et Basile aux XVIème et début XVIIème siècles, par exemple, mais assez marqué chez Perrault à la fin du XVIIèmesiècle, et encore plus prégnant chez Madame Leprince de Beaumont au XVIIIèmesiècle (dans La Belle et la Bête)… 1.3- Du plaisir, des images marquantes, des répétitions, des illustrations pour mieux ancrer les enseignements L’éducation par le biais des contes de fées serait d’autant plus efficace que ce