Islanders de New York

L’immigration à New York L'inauguration de la statue de la Liberté en 1886 fit de New York un symbole de la liberté pour des millions d'immigrés en provenance d'Europe. En effet, sur 23 millions d'Européens arrivés aux États-Unis entre 1880 et 1919, 17 millions environ ont débarqué à New York, la plupart y sont restés et s’entassèrent dans les quartiers sud de la ville créant ainsi un « Ghetto des immigrants　». C’est-ce que nous décrit Jacob Riis dans son livre How the other half lives. Son

l'allégorie de la liberté. « La liberté éclairant le monde » a été offerte par la France en 1886. Elle fut remise aux États-Unis le 4 juillet 1886 à Paris, démontée, puis remontée à son emplacement définitif. Elle est installée dans le port de New York A la mort de l'architecte français Violet-le-Duc, qui avait commencé la construction de la statue, Bartoldi le sculpteur français fît appel à Gustave Eiffel pour imaginer la structure interne du flambeau. Elle est placée vers l'océan, principal

le nez, il s’arrêta de manger et regarda l’enveloppe d’un air étonné, tout comme sa femme quelques minutes auparavant. Il l’ouvrit ; en lettres italiques était écrit : «  Cher monsieur John Rivoire. Je me présente, George Neil,  patron du Times à New York. Lors de  mon voyage à Norwich, il y a 2 ans déjà, j’ai demandé à plusieurs passants de m’indiquer une bonne gazette dans les alentours. Apparemment vous êtes très apprécié. Lors de ma visite dans votre petite ville j’ai pu me rendre compte de votre

Frédéric Auguste Bartholdi a fait appel à l’ingénieur Gustav Eiffel. Eiffel conçut une armature en fer intérieure pour soutenir la statue. Celle-ci fut inaugurée en 1886 . C'est l'un des monuments les plus célèbres de la ville de New York. Elle se situe sur l'île de Liberty Island, au sud de Manhattan. De la main droite, elle brandit une torche (= liberté et lumière éclairant les hommes) A la main gauche, elle tient une plaque portant la date de la déclaration d’Indépendence – 4 juillet 1776. Sa tête est

des couchettes en fer, dans des cabines situées dans le ventre du bateau. Ces conditions n'étaient pas celle d'une croisière mais pas précaires comme pour les esclaves. Les migrants italiens se sont surtout dirigés vers les Etats-Unis (New York, Philadelphie), vers le Brésil ou vers l'Argentine s'ils n'avaient d'espoir de retour en Italie et emmenaient souvent leur famille. Ceux qui envisageaient de rentrer en Italie au bout de quelques mois ou années de travail pour gagner un peu d'argent

Présentation de l’œuvre, de l’artiste La Liberté éclairant le monde, plus connue sous le nom de la statue de la Liberté est composée d’une fine couche de cuivre, exceptée la flamme qui est recouverte de feuillets d’or. Elle est située à New York, sur l'île de Liberty Island au sud de Manhattan et a été construite en 1886. Elle pèse 225 tonnes et mesure 46 m sans socle et 92,5m socle inclus. La statue de la liberté est l'œuvre du sculpteur français Frédéric-Auguste Bartholdi (1834-1904) et de l'ingénieur

statue se trouve aux États-Unis à New York. B-Premières observations Les matériaux utilisés pour construire la statue sont l'acier. Ils ont utilisés 125 tonnes d'acier. Le cuivre aussi. Ils ont utilisés 31 tonnes de cuivre. C'est une statue dont sa forme est ronde-bosse (Une ronde-bosse qualifie un élément sculpté dont on peut faire le tour, à la différence du bas-relief ou du haut-relief). Cette œuvre est exposé dans une île à New York nommé Liberty Island. II- Étude de l’œuvre A-Ce que

terre. Mais souvent ils aspirent à une autre vie que celle de la campagne, et la vie urbaine leur offre cette opportunité d’une vie radicalement nouvelle. C’est donc dans la ville que se nouait le destin des nouveaux arrivants. L’exemple en est avec New York qui est certainement la ville américaine qui, au cours de l'histoire, a accueilli le plus grand nombre d'immigrés. 2) Les motivations de départ Avec la fin des guerres napoléoniennes en Europe, des jeunes gens libérés de leurs obligations

L'action painting L’action painting, qui signifie littéralement « peinture d’action » est un courant artistique apparu au début des années cinquante à New York. Ce terme désigne aussi bien la technique que le mouvement. Censé, à l’origine, concurrencer l’appellation abstract expressionism (expressionnisme abstrait), le terme action painting a été proposé en 1952 par le critique américain Harold Rosenberg. « Ce qui doit passer sur la toile, dit Rosenberg, n’est pas une image, mais un fait, une

Lightning Field), 2 700 parasols jaunes ou bleus simultanément sur la côte californienne et au Japon (Christo et Jeanne-Claude, The Umbrellas[1]), ou de gigantesques nénuphars de tissu rose autour des îles de Floride (Christo et Jeanne-Claude, Surrounded Islands). Les artistes travaillent souvent dans des lieux éloignés et c'est alors que la photo retrouve un rôle essentiel pour montrer, illustrer, remémorer et financer ces projets. Des croquis, reportages et vidéos sont présentés au public et permettent