Ironie Voltarienne

I - Le conditionnel temporel Le futur simple exprime l'avenir par rapport au présent : Virginie pense que Paul viendra. Le conditionnel exprime un futur vu à partir d'un moment du passé : Virginie pensait que Paul viendrait. Ainsi, de même que le futur exprime l'avenir par rapport au présent, le conditionnel exprime l'avenir par rapport au passé. II - Le conditionnel modal Le conditionnel peut indiquer : 1° L'imaginaire (en suspendant la réalité, on met en scène un monde possible) : Si j'étais

Aldous Huxley : le meilleur des mondes I) critique ironique de ce monde a) procédé ironique -utilisation d’antiphrases l 3 « danger de lire  » c’est bien une antiphrase, déjà employée par Voltaire : «  pamphlet de l’horrible danger de la lecture » -des chois lexicaux qui doivent inquiéter le lecteur, tout les termes renvoi à l’idée qu’il y a une main mise sur l’esprit humain (conditionnement) -rapprochement de termes problématiques, termes approximatif les sentiments sont quelque chose d’immoral

l’inquisition. - « Les sages du pays ​ n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace ​ ... que de donner au peuple... » La phrase utilise une tournure d'atténuation classique (la litote) pour signifier que le moyen trouvé n'est pas efficace. Humour noir et ironie ​ : L’ironie, qui s’appuie principalement sur le procédé de l’antiphrase, consiste à dire le contraire de ce que l’on pense ou de ce qui est. - On peut ainsi remarquer l'insistance sur la sagesse et le savoir ("les sages", "moyen plus efficace", "université

: c'est une structure "en X", ou "croisée", dans laquelle quatre éléments opposés deux à deux sont en construction inversée  a, b, b', a' ex : "La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée" (Hugo, "Melancholia")  l'antiphrase (voir aussi "ironie") : consiste à faire passer une idée en exprimant son contraire. ex : dire "Quel courage !" pour souligner la lâcheté de qn  le paradoxe : énonce une idée contraire au bon sens, à l'opinion commune, de façon à choquer, et à faire réfléchir. ex :

Le corpus soumis à notre étude se compose d’un article de dictionnaire paru en 1985 dans le « Dictionnaire superflu à l’usage de l’élite et des bien nantis » écrit par l’humoriste français Pierre Desproges ainsi que d’un texte nommé « L’esprit des loi, XV,5 » extrait du livre  « De l’esclavage des nègres » écrit par le philosophe de lumière Montesquieu en 1748. Quoique d’époques différentes, les deux textes appartiennent au même registre littéraire. L’analyse de ce corpus portera sur ce registre

temps de la théorie de l’ironie comme mention de Sperber et Wilson, qui postulent une explication de l’ironie comme la production d’un énoncé qu’on utilise comme mention, pour parler de lui et signifier la distance qu’on prend à son égard. (« Les ironies comme mentions », Poétique 36, p. 399-412) Autrement dit, lorsqu’on fait de l’ironie, on tient une énonciation E1, à propos d’une énonciation E0, antérieure ou implicite, que l’on cherche à déconsidérer. Berrendonner remarque qu’il n’y a pas forcément

Dans l’extrait du chapitre 3 de Candide, conte philosophique écrit en 1759, Voltaire critique de manière virulente la guerre qui est un thème récurrent au XVIIIème Au début de l’extrait, Voltaire souligne le côté esthétique des armées avec l’énumération d’adjectifs mélioratifs accentués par le « si » : « si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné ». Mais cette succession de « si » laisse bien entendre que tout cela est irréel. Voltaire joint au spectacle de la vue le spectacle de l’ouïe avec

Questions I - Les habitants de la terre (3,5 points) 1. Relevez cinq expressions désignant les hommes dans toute leur petitesse. (1,5 point) 2. Pourquoi ces expressions font-elles sourire ? (1 point) 3. Selon le philosophe qui prend la parole dans le premier paragraphe, les hommes sont-ils heureux sur terre ? Pourquoi ? (1 point) II - Les occupations de hommes (11,5 points) a) La guerre 4. Comment le philosophe appelle-t-il les hommes qui se font la guerre ? (1 point) 5. Qu’est-ce qui oppose ces

regarde longtemps, longtemps cherche sans voir Ex: Ces murs, maudits par dieu, par Satan profanés ACCUMULATION Juxtaposition d'une série de termes Ex: Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances IRONIE Dire le contraire de ce que l’on pense Ex: Surtout ne te presse pas ! PLEONASME Répétition de termes superflue Ex: Un géant vraiment grand SYNECDOQUE Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le

Ces deux textes ont un sujet commun : la peine de mort.Albert Camus dans son texte argumentatif entame une réflexion sur la peine capitale dans son œuvre « Réflexions sur la guillotine in Réflexions sur la peine capitale » et Victor Hugo raconte le dernier jour d’un condamné à mort dans son récit éponyme. Ces deux ouvrages bien que différents en certains points (Albert Camus érige une réflexion tandis que l’œuvre de Victor Hugo est un récit, de plus Camus présente une argumentation directe contrairement