Iphigénie Acte

mais capable de générosité et d'humanité → superman. Ulysse : l'homme rusé qui remplace la force par l'intelligence. Patrocle : l'ami d'enfance, fidèle en toues circonstances. Cassandre : la bavarde qui finit par lasser son entourage. Iphigénie : la jeune fille sacrifiée à l'ambition des hommes. Electre : l'aînée, responsable de l'avenir de la famille et incarnation de la vengeance. Orestre : le fils qui veut perpétuer la mémoire de son père. Les personnages de l'Iliade

 Iphigénie est une œuvre qui a été rédigée lors du 17e siècle, en France, durant le règne de Louis 14. Ce dernier étant un grand monarque absolu, apporte de grands changements tels que le mécénat royal qui impose aux tragédiens des règles d’écriture. La bienséance, la vraisemblance ainsi que la règle des trois unités en sont quelques exemples. Ces exigences ont pour but de créer des œuvres ordonnées, de plus, celles-ci ont permis au courant classique d’atteindre son apogée. À cette époque, le

qu'Oreste et Pylade avaient été sacrifiés sur l'autel d' Artémis en Tauride. Aussitôt, Alétès, le fils d'Egisthe, en profita pour monter sur le trône.  Electre alla consulter l'oracle pour essayer d'en apprendre davantage. A Delphes, elle rencontra Iphigénie, sa soeur jusque là inconnue, qui affirma qu'elle était la prêtresse qui avait immolé les deux hommes.  En fureur, Electre saisit un brandon et tenta de brûler les yeux de sa soeur quand Oreste apparut, et tous les trois retournèrent en joie à Mycènes

Deux versions d'Iphigénie Faire se confronter des textes de théâtre peu montés, questionner notre rapport au public, voici ce qui est à la base de notre recherche. Le projet Iphigénie découle de nos deux précédents spectacles : La Raison gouverne le monde (cinq pièces de cinq auteurs différents), et Massacre à Paris de Christopher Marlowe (cinq versions de la même mise en scène, avec le même groupe d’acteurs, chaque fois distribués dans des rôles différents ). Cette fois, il s’agit de la même histoire

la Reine aussi ; Créon reste seul. Les personnages tragiques inspirent à la fois terreur et pitié. Les héros vivent des situations déchirantes. Pour que soufflent les vents et que la flotte grecque gagne Troie, Agamemnon doit sacrifier sa fille, Iphigénie. Andromaque verra mourir son fils si elle n'épouse pas Pyrrhus. Les personnages sont généralement pris entre leurs passions et la question du pouvoir, du rang à tenir. Tout au long de la pièce, ils tentent de résoudre ce dilemme (à travers des monologues

poursuivent Oreste. Ce dernier obtient cependant son acquittement par l'Aréopage d'Athènes. Ce serait Athéna elle-même qui, insistant sur le caractère juste de l'acte de cette vengeance, aurait influencé la décision du tribunal. Sœurs d'Oreste, Iphigénie et Électre connaîtront également un destin douloureux : la première sera sacrifiée par son père Agamemnon, avant de devenir prêtresse d'Artémis, qui la sauve; la seconde vengea son père avec l'aide de son frère Oreste et fut condamnée à mort, mais

choisies par les deux individus en question. Il s’agissait plutôt d’une décision d’une personne occupant un poste supérieur à nous, comme par exemple un roi. Qui dit relation amoureuse dit jalousie. C’est le cas d’Ériphile, dans la pièce de théâtre Iphigénie de l’auteur Jean Racine (22 décembre 1639 – 21 avril 1699). Dans cette pièce, Ériphile devient jalouse d’Iphigénie. Les manifestations du sentiment de jalousie d’Ériphile sont démontrées par la satisfaction qu’obtient cette dernière face à la mort

le port, attendant un vent favorable. Calchas (prononcer Kalkas), le devin de l'expédition, avait conseillé aux Achéens d'offrir un sacrifice aux dieux pour faire cesser le calme plat. Et comme Agamemnon avait offensé la déesse Artémis, sa fille Iphigénie serait certainement une victime agréée par la déesse. Agamemnon avait donc demandé à Clitemnestre de laisser la princesse quitter Argos pour se rendre à Aulis, sous prétexte d'épouser Achille. Suivant les conseils de Calchas, la malheureuse princesse

récupérer le fils d’Andromaque. Il apprend que Hermione est dans le palais de Pyrrhus et explique alors à Pylade qu’il a l’intention de demander au roi d’Epire de lui rendre son bien. (scène 2, acte I) Pyrrhus est clément (au début de la pièce) et accepte de lui rendre. Pyrrhus avoue son amour à Andromaque (scène 4, acte 1) mais celle-ci fait preuve de lucidité et de bon sens et lui demande l’exile. Pyrrhus lui pose alors un ultimatum : renier l’amour d’Hector et l’épouser ou perdre son fils, mais promet

Populaire[->0] Iphigénie[->1] · Documents : autour de l'œuvre Jean Racine [->2] Agrandir la policeRétrécir la policeImprimer [->3]Partager Les différentes versions de l'œuvre La légende d'Iphigénie a donné lieu à un certain nombre de versions. On sait que les Dieux réclamèrent le sacrifice de la fille d'Agamemnon pour laisser les troupes grecques partir à la conquête de Troie afin de récupérer Hélène, enlevée par Pâris. Cependant, si selon Eschyle, Iphigénie fut sacrifiée par