Intolérable Cruauté

Puis il eut des lâchetés. Il voulait oublier, ne plus voir Thérèse dans sa nudité, dans ses caresses douces et brutales, et toujours elle 76 était là, implacable, tendant les bras. La souffrance physique que lui causait ce spectacle devint intolérable. Il céda, il prit un nouveau rendez-vous, il revint au passage du Pont-Neuf. À partir de ce jour Thérèse entra dans sa vie. Il ne l’acceptait pas encore, mais il la subissait. Il avait des heures d’effrois, des moments de prudence et, en somme,

chez lui. Puis il eut des lâchetés. Il voulait oublier, ne plus voir Thérèse dans sa nudité, dans ses caresses douces et brutales, et toujours elle était là, implacable, tendant les bras. La souffrance physique que lui causait ce spectacle devint intolérable. Il céda, il prit un nouveau rendez-vous, il revint au passage du PontNeuf. À partir de ce jour Thérèse entra dans sa vie. Il ne l’acceptait pas encore, mais il la subissait. Il avait des heures d’effrois, des moments de prudence et, en somme, cette

chez lui. Puis il eut des lâchetés. Il voulait oublier, ne plus voir Thérèse dans sa nudité, dans ses caresses douces et brutales, et toujours elle était là, implacable, tendant les bras. La souffrance physique que lui causait ce spectacle devint intolérable. Il céda, il prit un nouveau rendez-vous, il revint au passage du Pont-Neuf. À partir de ce jour Thérèse entra dans sa vie. Il ne l’acceptait pas encore, mais il la subissait. Il avait des heures d’effrois, des moments de prudence

chez lui. Puis il eut des lâchetés. Il voulait oublier, ne plus voir Thérèse dans sa nudité, dans ses caresses douces et brutales, et toujours elle était là, implacable, tendant les bras. La souffrance physique que lui causait ce spectacle devint intolérable. Il céda, il prit un nouveau rendez-vous, il revint au passage du Pont-Neuf. A partir de ce jour, Thérèse entra dans sa vie. Il ne l'acceptait pas encore, mais il la subissait. Il avait des heures d'effroi, des moments de prudence, et, en somme

gentilhomme » car il n’a pas pu prouver une noblesse de 72 quartiers. Ce raisonnement ridicule et absurde montre l’immense vanité de la noblesse qui veut s’allier entre elle et ne pas intégrer des gens de la roture. Ceci est aussi associé à la bêtise et à la cruauté d’une caste sociale qui préfère condamnées un enfant a l’infamie (honte jusqu’en 1968) de l’illégitimité plutôt que de déroger pour un 72 eme quartier. Descriptions du baron à travers ses possessions : métonymie. Il possède un château et les précisions

ennemi armé ; l'esprit devrait combiner pour trouver une issue ; il a perdu toute capacité de rien combiner à cet effet. Il est occupé tout entier à se faire violence. Toujours parmi les hommes, qu'il s'agisse de servitude ou de guerre, les malheurs intolérables durent par leur propre poids et semblent ainsi du dehors faciles à porter ; ils durent parce qu'ils ôtent les ressources nécessaires pour en sortir. Néanmoins l'âme soumise à la guerre crie vers la délivrance ; mais la délivrance même lui apparaît

Le tracé qui sépare le Pendjab du Pakistan provoque l’exode massif de musulmans et d’hindous. Sur les 10 à 15 millions de personnes qui émigrent pendant l’été 1947, 300 à 500 000 meurent lors des cet exode marqué par un climat de violence et de cruauté ( viols, pillages, massacres collectifs). Les relations entre les deux États s’enveniment rapidement. La guerre du Cachemire : État princier gouverné par un maharaja hindou, dans lequel vivaient essentiellement des musulmans, le Cachemire est le

1740 ( 1830 Prévost Rousseau Balzac Réf. à Rousseau qui a écrit un traité disant que la petite enfance compte bcp, que le contact affectif épanouie ( exhibition de la maternité. Félix insiste sur la cruauté, la souffrance, l’injustice : métamorphose végétale pr traduire cette maltraitance. Il s’interroge sur le secret de cette haine : « relever », « déchéance », « ange » : voc religieux étonnant, car il associe sa naissance au péché originel. L’élan

il eut des lâchetés. Il voulait oublier, ne plus voir Thérèse dans sa – 45 – nudité, dans ses caresses douces et brutales, et toujours elle était là, implacable, tendant les bras. La souffrance physique que lui causait ce spectacle devint intolérable. Il céda, il prit un nouveau rendez-vous, il revint au passage du Pont-Neuf. À partir de ce jour Thérèse entra dans sa vie. Il ne l’acceptait pas encore, mais il la subissait. Il avait des heures d’effrois, des moments de prudence et, en somme,

Puis il eut des lâchetés. Il voulait oublier, ne plus voir Thérèse dans sa – 45 – nudité, dans ses caresses douces et brutales, et toujours elle était là, implacable, tendant les bras. La souffrance physique que lui causait ce spectacle devint intolérable. Il céda, il prit un nouveau rendez-vous, il revint au passage du Pont-Neuf. À partir de ce jour Thérèse entra dans sa vie. Il ne l’acceptait pas encore, mais il la subissait. Il avait des heures d’effrois, des moments de prudence et, en somme,