Intendant des finances

Ceux-ci ont souvent acheté leur magistrat au roi, qui veut financer le royaume. Parlement « enregistre » les mesures du roi, les rend public, les diffuse et informe la population. Ils ont aussi un droit de remontrances, il peuvent conseiller le roi et proposer des modifications d’une loi au roi, s’il juge qu’elle va contre les intérêts du peuple et de leur province. Les parlements s’opposant souvent au roi, celui-ci nomme un intendant dans chaque province, représentant son autorité et s’Assurant

fin aux guerres de religions et accorde la liberté religieuse. 2) Une administration qui se développeDepuis le Moyen-Âge,le royaume de France possède une administration et des officiers (= agents du pouvoir royal qui ont acheté un office : armée, finance, justice).Cette administration renforce le pouvoir de contrôle du roi et accompagne des réformes. Les réformes reposent sur des ordonnances décidées par le roi (= édit de loi). ex : l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539.

intensive. Il se demande comment fonctionne cette société de cour à son apogée, c'est-à-dire au temps de Louis XIV ? C’est un « jeux » social entre 3 acteurs : le Roi, le noblesse de cour (Nc) et la noblesse de robe (magistrats, gens de la haute finance et les intendants, Nr). Leurs relations sont ambivalentes. | |Positifs |Négatifs | |Roi ( Noblesse de cour |Avantages

utiles, tel l’achat de nouveaux outils. Existent aussi des bureaux diocésains, comme celui créé à Auch par Mgr de Lartic en 1752, et des bureaux urbains, tels celui de Lille, qui vient au secours de 5000 personnes en 1764. Ces bureaux sont en général financés à partir des quêtes, des aumônes et des dons et prennent d’ailleurs parfois le nom d’ « aumônes  générales ». Ils disposent aussi parfois de rentes annuelles fixes. C’est ainsi le cas du bureau de Lunel, dans le diocèse de Montpellier, qui touche

services des passes volants : des ouvriers, des pauvres qui servaient de soldats le temps de la revue des troupes par un commissaire des armées chargé de surveiller les capitaines . L'efficacité du contrôle des troupes était limité par le fait que les intendants d'armée et les commissaires de guerre étaient des officiers civils, leur autorité était donc limitée sur les officiers militaires. Le problème est que cette pratique vidait les caisses de l'état qui payaient des soldats fantômes. Le redistribution

outre-Manche en 1769, il fait de sa terre de Liancourt une sorte de ferme-modèle, où il tente d'acclimater les innovations culturales anglaises. Dans un esprit de bienfaisance et de progrès, il encourage la diffusion de l'activité manufacturière, finance la future école d'arts et métiers de Châlons, et soutient les premières expériences de vaccination. http://www.larousse.fr/archives/histoire_de_france/page/688La Rochefoucauld-Liancourt débuta comme militaire dans le corps des carabiniers Il mit

et le secret... Voir page 146-147. Contexte de parution de l’œuvre. La pièce l’Avare est à l’image de la société sous le règne de Louis XIV : à cette époque, la bourgeoisie est en pleine ascension sociale et s’enrichit par le commerce et la finance, par le prêt à intérêt et l’épargne. A l’inverse la noblesse dépensait sans compter. A cette époque, l’or et l’argent étaient devenus rares et c’était la bourgeoisie qui en possédait le plus. D’ailleurs, dans la pièce, la fortune d’Harpagon fait référence

administrative de l’État par RichelieuTentative pour supprimer les Etats provinciaux (pays d’Etat). Suppression des convocations des assemblées consultatives (états généraux, assemblées de notables)Mise en sourdine des parlementsGénéralisation des intendants (1634). Aide des subdélégués.Existence de rapports ambigus entre Richelieu et les Grands. Etat qui veut le monopole de la violence légitime.=> réduction des Grands à l’obéissance1623 : interdiction du duel. Condamnation de François de Montmorency-Bouteville

allait à la messe et, au retour, « demandait presque aussitôt le conseil. Le dimanche il y avait Conseil d'État et souvent les lundis; les mardis conseil de finance; les mercredis conseil d'État; les samedis conseil de finance. Une ou deux fois le mois il y avait un lundi matin conseil des dépêches [où on lisait les « dépêches » des intendants], mais les ordres que les secrétaires d'État prenaient tous les matins entre le lever et la messe, abrégeaient et diminuaient fort ces sortes d'affaires »,

pouvoir royal au XVI° siècle. Elle ne se fait pas de manière linéaire. Les étapes de la construction absolutiste (2) Étape de François Ier (1515 – 1547). Il va jouer un rôle essentiel dans l'alourdissement des impôts et dans la centralisation des finances. Il procède de plus en plus par des taxes de plus en plus lourdes et en 1523 F Ier va concentrer les ressources de l'État qu'on appelle trésor de l'épargne. En même temps le roi va mettre en vente des offices : ce sont des charges qui permettent