Intelligence Artificielle éthique

été créées. Dans ce sens, les connaissances de l'entreprise restent fortement dépendantes des connaissances des personnes et de leur présence dans l'entreprise. Dès à présent, l'ingénierie des connaissances et les technologies de l'intelligence artificielle, de l’information et de la communication, fournissent les instruments permettant de formaliser davantage de savoir-faire, de favoriser une plus grande distribution des savoirs ainsi consolidés, de susciter des échanges non structurés d’informations

appelée « eau » car c’est, en elle, l’eau qui domine quantitativement l’infini agrégat d’éléments qui la composent ; il en va de même de la terre, du feu, etc. 15 © Groupe Eyrolles Chapitr e 1 Les présocratiques : les initiateurs Une intelligence à l’œuvre dans la nature À l’origine, tout était uniforme et mélangé, tout se confondait. Ce mélange primitif tenait du chaos. Pour faire advenir la diversité et la distinction, le mouvement a été nécessaire. Comment est-il né ? Par l’intelligence

enfants qui en sont issus ainsi que des donneuses d’ovocytes 74 c) Renforcer l’encadrement des techniques actuelles d’assistance médicale à la procréation 76 d) Les interrogations éthiques soulevées par les recherches visant à améliorer les techniques d’AMP 79 C. QUELLES SONT LES QUESTIONS ÉTHIQUES SOULEVÉES PAR LA CRYOCONSERVATION DES EMBRYONS ? 79 1. La conception d’embryons « surnuméraires » : convient-il de modifier l’encadrement actuel ? 80 2. Le sort des embryons congelés :

autres espèces (c’est le cas notamment de Bergson dans L’Evolution créatrice (texte 2), qui considère qu’avant d’être homo sapiens, l’humain est avant tout homo faber, homme fabricateur d’outils, et non pas « animal rationnel » (Aristote). Son intelligence est bien d’abord pratique, tournée vers l’action utile, avant d’être théorique, destinée à une contemplation désintéressée de l’univers. Pour analyser le rôle de la technique dans le développement de l’humanité, nous allons travailler sur un

personnes en relation de travail avec les chercheurs du Groupement. 2 SOMMAIRE RÉSUMÉ INTRODUCTION 1. BRÈVE PRÉSENTATION DES SYSTÈMES-EXPERTS 1.1. L’Intelligence Artificielle et l’émergence des Systèmes-Experts 1.2. Les formes de représentation des connaissances et les raisonnements utilisés par l’Intelligence Artificielle 1.3. Structure et fonctionnement d’un Système-Expert 1.4. Systèmes-Experts et générateurs de systèmes-experts 2. RUFUS, UN SYSTÈME-EXPERT DE DIAGNOSTIC DE PANNES ÉLECTRIQUES

transport : la nano-aiguille……………………...…..............26 D-réparation des connexions nerveuses…………………………….………….......27 E-Quelques autres applications concrètes………………………....……………….27 a/Muscles artificiels à nanotubes………………………………………………….27 b/Cils artificiels…………………………………………………..…………….........28 4)Les nanorobots ………………………………………………………………………..28 A-En théorie……………………………………………………………………………..28 B-Un exemple déjà produit ……………………………………………………………29 C-Leurs

scienceNous, scientifiques, sommes habiles à trouver pourquoi les choses sont comme elles sont, ou fonctionnent comme elles le font, et je crois que la biologie nous aide à comprendre pourquoi la morale a le profil qui est le sien. De là à donner des avis éthiques, il y a un monde.Le besoin de l’élément normatifCette dualité est cruciale. La morale serait superflue si nous étions universellement gentils. De quoi faudrait-il s’inquiéter si les humains ne faisaient rien d’autre que de se manifester mutuellement

: Il y a en philosophie de nombreux domaines : La métaphysique, c'est l’étude des objets immatériels. Exemple : « L’âme est-elle immortelle ? » Ontologie, c’est l’étude de l'être en soi. Exemple : « Que veut dire exister ? » BIEN  Ethique, ou la morale cherche à définir la meilleur conduite pour chaque situation. Elle s’interroge sur le bien, le mal, la finalité des actions humaines ou encore la vertu. Exemple : « Qu’est ce que le bien ? » VRAI  Epistémologie, discours sur la connaissance

les concepts constitue, encore à l’heure actuelle, le frein principal à sa bonne compréhension. Le débat public sur l’acharnement thérapeutique s’installe progressivement dans les années 1970 avec l’émergence d’un nouveau sujet de préoccupation éthique animant de vives controverses chez les théoriciens et les praticiens du droit et de la médecine : le droit au « laisser mourir ». Plus généralement, on va se poser la question des conditions de la mort en milieu hospitalier car il existe un constat

En effet, pour Hans Jonas, toutes les dérives de l’homme occasionnées par la puissance de la technologie exigent la mise en place d’une nouvelle éthique, susceptible de garantir la survie de l’espèce humaine, voire de toutes les espèces. C’est cette éthique nouvelle que Hans Jonas qualifie d’éthique de la responsabilité. Il s’agit d’une éthique qui amène l’homme à prendre conscience de ses responsabilités sur l’état actuel de la nature. Ainsi, la philosophie jonassienne qui s’articule autour