Intelligence Artificielle éthique

(Prigogine) Francisco Varela5 (cf. : Fiche résumé de ses idées) Francisco J. Varela est l’auteur non seulement de concepts issus de la biologie pour penser la cognition, mais également d’un paradigme fort pour les sciences cognitives, donnant une éthique aux chercheurs pour les réconcilier avec l’expérience humaine. Il critique le connexionnisme pour son incapacité à prendre en compte l’expérience humaine et construit le paradigme de l’énaction sur une seule exigence pour les sciences cognitives :

pour les élections présidentielles, on a même vu l'apparition en France des « facts checkers » à l'américaine dans la presse et Internet. J'en évoquais l'existence (pour en marquer l'absence en France) dans mon livre, Philosophie contre intelligence artificielle (p. 355), en 1996 ! À son époque, Bourdieu pouvait encore dénigrer les statistiques avec un magistral : « il n'est rien de plus inadéquat pour représenter l'état de l'opinion qu'un pourcentage » qui fait sourire aujourd'hui. Les sociologues

liberté, il est un obstacle pour l’anarchiste où vivre sa vie c’est faire ce qu’on veut. Qui dit obligation dit obéissance et l’obéissance est une abdication, une destruction de sa liberté et donc de sa personnalité. L’Etat avec ses contraintes artificielles, ses obligations, les lois n’est qu’une caricature de la société naturelle. Les anarchistes réclament donc une révolution qui abattra l’Etat, ses juges, ses policiers, ses armées, tout ce qui représente les contraintes. Alors sur les ruines de

de vigilance » pour les entreprises (cf. Annexe 2) 3.6. Cas des facteurs informatifs : le digital Le boom des facteurs informatifs par le phénomène numérique (systèmes d’information, Internet, Big data, objets connectés, robots, Intelligence artificielle) bouleverse le paysage sociétal. Le mouvement est porteur à la fois d’opportunités et de menaces. Côté opportunités, le mouvement rencontre un succès considérable, mouvement contre lequel il parait illusoire de lutter (analogie avec

choses est aussi le signe le plus évident d’une complicité qui engage la cohérence d’un milieu. Olivier Mongin le démontre en nous exposant le fait que « le rire se donne tous les moyens de parvenir à ses fins » ce peut être, bien sûr, éphémère et artificiel mais ce lien est nécessaire à la vie sociale. De plus, il a trois fonctions du rire présentées dans ces œuvres : la fonction physiologique, sociale et intellectuelle. L’énergie que le rire mobilise, sa brusque décharge émotive font de lui un facteur

permettant de parvenir efficacement à un résultat, permet une maitrise de la nature (« maitres et possesseurs de la nature » Descartes), vision selon laquelle tt peut être exploité (vision du Rhin de Heidegger) et donc à laquelle il faudrait une nouvelle Ethique (Jonas), technocratie peut écraser démocratie.. Nietzsche : le travail a la capacité de nous domestiquer, c’est la meilleure des polices (horaires, hiérarchie). Les temps modernes de Charlie Chaplin : Charlot devient fou à force de répéter les mm

skholé. C) LE PROGRES TECHNIQUE DERECHEF A quelles conditions donc le progrès technique, au lieu de nous inquiéter, peut-il nous redonner confiance en l'avenir ? A la condition qu'il s'accompagne d'une réflexion sur ses finalités (une éthique) et sur ses conditions d'utilisation (une politique). CONCLUSION GENERALE Le travail est-il une activité servile ou un moyen d'émancipation ? A quelles conditions le travail peut-il véritablement nous humaniser ou rester humain ? L'homme

passé. C’est ainsi 5 que le désir reste lié à une illusion et celle-ci au passé. Mais, là encore, ne sommes-nous pas condamner à l’illusion ? Freud, comme Spinoza, réfute cette condamnation, malgré son pessimisme, en faisant confiance en notre intelligence. Cette approche de l’analyse freudienne du désir nous ouvrira vers les traits profonds du désir : l’obscurité, l’intrigue, et l’ambivalence. Avec Lacan, nous poursuivrons cette analyse du désir, comme désir de l’autre, désir mimétique selon René

leurs besoins. La technique est une réponse intelligente à la conservation de la vie humaine. Elle est une médiation artificielle entre nos besoins et le monde : elle est le détour par lequel nous rapportons à la nature et aux autres. En ce sens elle correspond à une nécessité : la capacité technique est universelle dans l’espèce humaine. La technique est un ensemble de moyens artificiels dont la finalité est d’être utile aux hommes. La technique se distingue donc de la nature : comme on distingue ce

les autres qui m’entourent, et ce que l’on m’a appris à désirer. La distinction entre besoins et désirs est donc problématique, et en tout cas, elle ne passe pas par la distinction entre ce qui est naturel et ce qui ne l’est pas. Naturel / artificiel : cette opposition recouvre ce qui existe en dehors du monde humanisé et ce qui est transformé par l’homme (par art), ce qui est spontanément par opposition à ce qui est travaillé, objet d’une intention consciente. Nécessaire / superflu : ce qui