Institutions de la République romaine

Sénatus consulte sur les Bacchanales Nous sommes ici face à un document officiel, plus précisément un texte de loi, rédigé lors d'une délibération du Sénat romain plus haute institution de la République romaine dans laquelle siégeaient des hommes, les sénateurs, reconnus pour leurs vertus et leurs grandeurs d’esprit. Il est fait référence à plusieurs personnes : Le premier groupe est constitué de consuls. Ce terme signifiant "ceux qui vont ensembles", désigne deux magistrats principaux élus

DROIT ROMAIN *BIBLIOGRAPHIE : -Michel Humbert : institutions politiques et sociales de l’antiquité Dalloz -Jean Gaudemet : les institutions de l’antiquité Montchrestien -Jean Gaudemet : droit privé romain Montchrestien -Juridique vient du latin jus /juris : droit -droit dérive du latin vulgaire, populaire (apparu environ après le 2eme siècle ap JC) directum. Ce terme nous est parvenu car nous avons hérité du droit populaire : le droit doit correspondre à une vérité directe (issue de dieu)

Histoire des Institutions Publiques Histoire des Institutions Antiques INTRODUCTION Problématiques de l’Etat, prédominance du modèle romain Deux points principaux : la Grèce et Rome. On s’en tiendra à l’Antiquité « classique » : gréco-romaine. Tendre à l’Orient le champ d’étude est intéressant à titre de comparaison, mais il n’y a pas la question de la filiation, qui est la question dominante pour l’Antiquité classique. En Occident, le droit, les institutions, le pouvoir, la société

Répondre à 2 questions. Introduction : Le droit romain n'est plus aujourd'hui, ce que l'on appelle un droit positif, c'est à dire le droit appliqué à un endroit donné à un moment donné. En Europe il ne reste plus qu'un tout petit Etat, la principauté d'Andorre où le droit romain à très peu évolué. Historiquement, le droit romain c'est le droit des romains de l'Antiquité. C'est à dire le droit qui a été en vigueur dans le monde romain entre la fondation de Rome au 8 ème siècle avant Jésus-Christ

sous l’empire romain » Suum cuique tribuere. Cette définition du droit « attribuer à chacun ce qui est dû » est nouvelle. Elle apparait après la crise qu’à connu larépublique romaine, et à l’arrivé de l’empire. Ce fut Ulpien, un des jurisconsultes de cette période qui proposa cette définition. L’empire romain se créa en 27avJC après l’assassinat de Jules Césaret la proclamation de son fils adoptif comme empereur en guise de remerciement. De ce fait avec l’arrivé de l’empire les institutions sont bouleversés

La citoyenneté dans l’antiquité gréco-romaine « De celui qui a la faculté de participer au pouvoir délibératif ou judiciaire, nous disons qu’il est citoyen de la cité concernée, et nous appelons en bref, cité l’ensemble des gens de cette sorte quand il est suffisant pour vivre en autarcie » (Aristote). Aristote est un philosophe grec (384-322 av. J.-C.) disciple de Platon. Il concentre ses recherches sur l’expérience sensible de la cité. Sa démarche est pragmatique plutôt que de rechercher

Ulpien Ier livre des Institutes Ce texte est extrait du livre 1er des Institutes (Digeste, 1, 4, I) d'Ulpien traduit par Franck Roumy, professeur à Panthéon-Assas. Ulpien (170 - 223) est un homme politique et l'un des plus grands jurisconsultes romains du début du IIIe siècle, il accède en 222 à la préfecture du prétoire. Il était très proche de l'empereur, il devient l’un de ses principaux conseiller mais en conflit avec les prétoriens, il est assassiné durant l'été de 223 (la date de 228 a longtemps

présenter un exposé sur le Sénat en distinguant 3 périodes : la Royauté, la République et l’Empire. Il faut déjà savoir que « Sénat » vient du latin « senatus » qui signifie conseil des anciens. Ses membres sont élus à vie parmi les nobles de la nation. Le nombre de sénateurs a toujours une relation distincte avec le nombre de tribus qui composent la nation. Quand Rome ne se compose que de la tribu des Romains, son sénat se compose de 100 membres. Lorsque les tribus des Sabins fusionne

décade de Tite-Live I. La renaissance et la politique. II. La théorie des gouvernements. III. Les tribuns, élément nécessaire de l'équilibre politique. IV. Les dissensions, aspect nécessaire de la liberté. V. République aristocratique ou république démocratique. VI. Parallèle des régimes aristocratique et démocratique VII. Solitude du fondateur et du réformateur VIII. La communauté humaine IX. La papauté, plaie de l’Italie X. Égalité et liberté XI. Le

est aussi un vaste empire impossible à gérer sans la collaboration des peuples conquis. Les Romains savent en effet qu'ils ont besoin d'intermédiaires locaux fidèles à l'empire pour administrer les provinces. C'est pourquoi ils vont progressivement étendre la citoyenneté romaine à l'ensemble des hommes libres après les avoir romanisés, convertis à la culture et au mode de vie romains. Cette citoyenneté romaine universelle est à la base de l'intégration des peuples conquis et va favoriser la cohésion