Inquiétude

nous ne savons pas ce qui nous manque, au lieu que dans les inclinations et passions nous savons au moins ce que nous demandons, quoique les perceptions confuses entrent aussi dans leur manière d'agir, et que ks mêmes passions causent aussi cette inquiétude ou démangeaison. s impulsions sont comme autant de petits ressorts qui tâchent de se débander et qui font agir notre machine. Et j'ai déjà remarqué ciessus que c'est par là que nous ne sommes jamais indifférents, orsque nous paraissons l'être le

1827 -« Le Mal du siècle » apparaît , c’est-à-dire un état d’incertitude et d’insatisfaction du poète. Le Mal du siècle est précurseur du « spleen » baudelairien mais aussi du terme moderne de « Mal de vivre ». les symptômes sont divers : inquiétude, mélancolie, un sentiment de perte pour une recherche de l’identité…etc. « Je me suis mis à sonder mon cœur, à me demander ce que je désirais. Je ne le savais pas ; mais je crus tout à coup que les bois me seraient délicieux. »René, Chateaubriand

les yeux. Elle finit par fuir la réalité en pleurant et s’évanouissant. Laurent : c’est le seul personnage actif. Il est totalement muet pendant le meurtre, et présenté un peu comme un animal brutal et méfiant : « il regardait les deux rives avec inquiétude », et l’accent est mis sur ses « grosses mains », ses « bras vigoureux », déjà notés au chapitre 5, sur « sa figure…toute convulsionnée », indice clinique de son tempérament sanguin. En fait sa force morale n’est qu’apparente, car il ne fait que

depuis le début du texte. On peut tout d’abord noter la violence de Laurent. Jusque-là, il ne disait mot : « Laurent ne répondit pas ». Il est inquiet, quelque chose semble le préoccupé : « Depuis un instant il regardait les deux rives avec inquiétude ». On se doute qu’il va se passer quelque chose. De plus on retrouve une atmosphère calme en parallèle de celle tendue à bord de la barque : « On entendait derrière, l’une des îles, les chants adoucis d’une équipe de canotiers qui devaient remonter

 « délicates » (ligne 13) mais aussi comme des personnes emplies de doutes car malgré le fait que les actions qu’elles réalisent sont toujours les mêmes elles doutent toujours, ne sont pas sures d’elles comme le prouvent les expressions « légère inquiétude »(ligne9) « dont on doutait encore un peu » (ligne 10) ou encore « leurs visages étaient comme raidis par une sorte de tension intérieure »(ligne 14).Cette dernière expression montre que le doute, la crainte qu’elles ressentent intérieurement, se

sacrifier mes intérêts aux leurs; j'ai de la condescendance pour eux, je souffre patiemment leurs mauvaises humeurs et j'en excuse facilement toutes choses; seulement je ne leur fais pas beaucoup de caresses, et je n'ai pas non plus de grandes inquiétudes en leur absence. J'ai naturellement fort peu de curiosité pour la plus grande partie de tout ce qui en donne aux autres gens. Je suis fort secret, et j'ai moins de difficulté que personne à taire ce qu'on m'a dit en confidence. Je suis extrêmement

des voiles trop épais pour y connaître quelque chose… C'est une marque de la faiblesse humaine… Il ne faut que demeurer en repos. La nature d'elle-même, quand nous la laissons faire, se tire doucement du désordre où elle est tombée. C'est notre inquiétude, c'est notre impatience qui gâte tout, et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes, et non pas de leurs maladies, « de tout temps », etc. »), où s’affirme volontiers le « je » du locuteur (« je ne vois pas que pour son salut, il soit nécessaire

sorte de renouveau dans sa vie. A ce mal-être physique est intimement lié un mal-être psychologique. En effet, cette fatigue du personnage – qui se ressent physiquement, mais aussi mentalement – peut s'expliquer par la tension qui l'habite : « cette inquiétude qui gêne la circulation de votre sang » (l. 10). On note également que l'auteur développe une longue comparaison pour définir cette fatigue : celle-ci profite « de cette vacance qu'[il s'est] accordée, comme profite la grande marée de la moindre

sociale évolue-t-elle en faveur de l’assistance sociale ? Ne pouvons-nous pas dire que la protection de type bismarckienne pose des problèmes de financement ? Ne trouvons-nous pas nombreux citoyens restant en dehors de la protection sociale ? Ces inquiétudes occuperont notre première approche. Cependant, en quoi cette évolution entraîne nombreuses contestations du côté des libéraux ? N’y trouvent-ils pas des raisons sociales ? Et des raisons économiques ? Nous étudierons ces contestations dans notre

poser la question ainsi, mais on ose tout à fait se demander si Lorenzo, c'est Musset (parfois on affirme tout droit : Lorenzo ou Perdican c'est Musset ; on sait bien que le romantisme c'est individualiste et subjectif... ). On ose avec quelque inquiétude, se demander ce qu'est le "raisonneur" dans une pièce de Molière, et si son discours est vraiment celui de Molière. » (Lire le théâtre, I). Le choix des exemples ne peut être considéré comme anecdotique. La réflexion sur la tragédie classique semble