Injection intraveineuse

formes de cataracte et de glaucome. En revanche, une injection unique n'expose pas à ces inconvénients ; seule une sensation de bouffées de chaleur ou des maux de tête peuvent persister 1 ou 2 jours après l'injection. ▪ Immunoglobuline polyvalentes 1g/kg ( CLARIG 10g/100ml) = 60g Indication Utilisé ici pour corriger un déficit immunitaire primitif car Mme G à un taux de plaquette à 2000/mm3 on associe une corticothérapie intraveineuse sous forme de méthylprédnisolone ici ( Solumédrol).

LCR < 10% la Concentration sérique.  Un traitement très rapide  Des antibiotiques bactéricides à doses élevées sont indispensables à la survie du patient vice des Maladies Épidémiques Antibiothérapie • Rapide et précoce. • Bactéricide. • Intraveineuse et à Doses élèves. • Bonne Diffusion dans les méninges: assurant de bonnes concentrations dans le LCR. vice des Maladies Épidémiques Antibiothérapie • Antibiothérapie urgente • dès constatation LCR trouble ou purpura extensif. • Parfois à domicile

dépendance plus forte que le font l’héroïne, la cocaïne et l’alcool. Puisque la fumée de cigarette passe directement des poumons au cerveau par les artères, elle y achemine plus rapidement la nicotine (en moins de 10 secondes) que ne le ferait une injection intraveineuse. De plus, le fumeur apprend à doser très précisément son besoin en nicotine par la profondeur, l’intensité et la durée de son inhalation, ce qui, croit-on, cause une forte accoutumance. Les dangers du tabagisme sont liés aux composantes que

La transmission de microbes peut se faire directement ou indirectement. * Directement: par contact intime (par ex. hépatite B, sida ou autres maladies sexuellement transmissibles), ou par des injections avec du matériel non stérile (par ex. hépatite B ou HIV chez les toxicomanes par intraveineuse). * Indirectement : par l'air, la nourriture, la boisson, les mains, les objets … et également par les insectes. Les modes d'accès les plus fréquents sont les muqueuses des voies respiratoires

un arceau contenant un faisceau de rayons X. On est seul dans la salle d'examen, mais un micro permet à l'équipe soignante, qui se trouve derrière une vitre, de communiquer avec la personne passant l'examen. Dans certaines situations, une injection intraveineuse de produit a base d'iode peut être nécessaire, ce qui entraine parfois une sensation de chaleur au moment de l'injection. Le scanner dure 5 minutes dans la salle d'examen, ou 15 minutes en cas d'injection. Les précautions : Cet examen

cellules de l’individu à traiter et à y introduire les bons gènes soit par transfection (introduire de l'ADN dans une cellule à noyaux) soit grâce à des virus. ces cellules possédant le bon gène sont réintroduites dans l'organisme par une injection intraveineuse. cette technique ne peut être utilisée que pour des défauts génétiques se manifestant dans le sang ou dans des endroits accessibles grâce au sang. 2. la technique in vivo consiste à associer le bon gène à un vecteur (un virus par exemple)

Lavement évacuateur le matin d'eau au coucher Lavement évacuateur le matin - Soit par fibre optique Coloscopie, rectoscopie (cette dernière ne nécessite pas de vider tout l'intestin). - par radiographie avec produit de contraste = lavement opaque. Injection de produit de contraste par une canule anale, précédé par l'injection d'un antispasmodique II. MALADIE ULCEREUSE GASTRO-DUODENALE = prédisposition à faire des ulcères au niveau gastrique et/ou duodénal. Ulcère = Perte de substance à bords nets

est l’injection intraveineuse de sécrétine 6. « Cette pratique récente, écrit P. Guérin 7, découle d’une simple constatation anecdotique » (Horvath et coll., 1998 ; Guérin, 2002, p. 337). En effet, l’auteur explique que trois sujets autistes avec des troubles gastro-intestinaux ont bénéficié, dans le cadre de l’exploration de leurs sécrétions pancréaticobiliaires, d’un test par injection intraveineuse de sécrétine. Dans les trois semaines qui ont suivi cette injection intraveineuse unique, leurs familles

que l'hémophilie était due à la présence dans le sang d'anticoagulant. Ces deux chercheurs, A.J.Pateket et F.H.G.Taylor, désignent ce composant « globine antihémophilique ». En 1937, A.J.Pateket F.H.G.Taylor découvrent que des administrations intraveineuses plasmatiques permettent d'écourter le temps de coagulation. L'un de ces deux chercheurs américains, Taylor, désignera ces produits comme "globulines antihémophiliques". En 1939, Kennets Brinkhous, pathologiste américain, démontre que les hémophiles

| Voie parentérale, transcutanée ou voie d’ injection : - voie intradermique (ID) : entre l’épiderme et le derme - voie sous-cutanée (SC) : dans l’hypoderme - voie intramusculaire (IM) : dans les tissus musculaires profond - voie intraveineuse (IV) : dans les veines superficielles ➢ soit intraveineuse directe (IVD) lente ou dite en bolus (+ rapidement) ➢ soit perfusion intraveineuse pour administrer des volumes importants (à partir de 50 ml)