Infraction D Omission

peine ensuite la procédure pénale qui est l’ensemble des règles applicables de sa commission à sa sanction. Ensuite, on étudie les infractions une par une dans ce qu’on appelle le droit pénal spécial (droit des mœurs, droit du travail) nous n’étudierons bien sûr que le droit spécial des affaires. L’infraction : Elle constitue une règle pénal c’est un acte ou une omission contraire à la loi et sanctionnée pénalement. Quel que soit l’infraction, ce sont ses éléments constitutifs qui sont classés par

vis à vie des infractions et des délinquants. Une précaution sémantique : on entendra aussi parler du Droit criminel. C’est un synonyme. Pour des raisons de connotations politiques et péjoratives, nous utiliserons « Droit pénal ». Chapitre 1e : L’étendue du Droit pénal général Le Droit pénal général étudie les textes à valeur répressives qui déterminent un comportement interdit. Le principal objet du Droit pénal général est la détermination des infractions. Les infractions qu’on défini généralement

4Conformément aux dispositions de l’article 20 de la loi de finances pour l’année 2006 sont applicables à la contribution des entreprises d’assurance et à la contribution des assurés en matière de contrôle, de recouvrement, de constatation des infractions, de sanctions, de contentieux, de prescription et de restitution les mêmes règles applicables en matière de taxe unique sur les assurances. Les dispositions du décret susvisé s’applique à partir du 8 septembre 2006. 5- D.G.I La loi de

d’infraction sans peine. Le principe signifie qu’une infraction n’est punissable que si elle a été définie et punie par la loi. La nécessaire existence d’une loi Le juge ne peut sanctionner un acte ou une abstention que grâce à l’appui d’un texte énonçant cette faute. Le législateur doit prévoir une sanction à établir en cas de dépassement d’une interdiction. C’est la loi en place qui permet de déterminer si une faute relève bien d’une infraction. Ce principe permet d’éviter tout arbitraire, afin

responsabilité et le dommage >>> En droit, on distingue la responsabilité civile qui peut être contractuelle ou délictuelle, et la responsabilité pénale. : - La responsabilité pénale est engagée lorsqu’une infraction (contravention, délit ou crime) est commise. Elle vise à sanctionner l’auteur de cette infraction en l’obligeant à supporter une peine. - La responsabilité civile est mise en œuvre en cas de dommage causé à autrui et oblige l’auteur de ce dommage à le réparer. Si le dommage résulte de l’inexécution

commis dans une période ou l’entreprise travers une situation irrémédiablement compromise, surtout lorsqu’elle se trouve dans l’impossibilité de remboursé ses dettes. Habituellement, le fait de ne pas payer ses dettes ne constitue pas en soi une infraction. Cependant, le commerçant aux abois est souvent tenté de se livrée à des manœuvres qui destinées à redresser la situation ou à retarder la cessation de paiement, vont le plus souvent compromettre encore davantage les intérêts déjà menacer des créanciers

le principe de légalité des incriminations et de légalité des peines, appelées lois de fond. Un fait ne constitue une infraction qu’autant qu’il est prévu comme tel par la loi. Il s’ensuit donc qu’il ne peut y avoir en la matière rétroactivité de la loi pénale. De même l’application stricte de la loi par le juge est requise, le but étant de ne pas créer ou étendre des infractions. Le délit pénal étant un acte punissable ce principe vaut également pour la répression de cet acte. La peine qui y est

Les éléments constitutifs de l’infraction Pour qu’il y ait infraction, il faut la réunion de quatre éléments : l’élément légal, l’élément matériel et enfin l’élément moral. Section 1 : L’élément légal (le principe de la légalité) Paragraphe 1 : Le sens et l’application du principe de légalité - Le sens du principe de la légalité Il résulte de l’article 4 du code pénal que « nul crime, nul délit, nulle contravention ne peuvent être punis de peines qui n’étaient pas prévues par la loi ou le règlement

 De part le vol l’escroquerie, l’abus de confiance et le recel .Le faux constitue aussi une infraction de droit commun et plus particulièrement une infraction visant à protéger la moralité des affaires. A première vue, l’incrimination du faux ne semble pas s’inscrire directement dans le droit pénal des affaires. En effet, les textes qui en organisent la répression sont placés au premier titre du deuxième livre du code pénal relatif aux crimes, délits correctionnels et délits de police, avec

 L’escroquerie en droit pénal marocain L'escroquerie est de loin la plus intelligente des infractions portant sur les biens prévues par le code pénal. En effet, au lieu de dérober le bien d'autrui comme c'est le cas dans le vol, ou de détourner sournoisement la chose détenue régulièrement par une tierce personne comme c'est le cas dans l'abus de confiance, une personne parvient par des moyens tout aussi frauduleux à escroquer une autre personne. L'escroc parvient ainsi à des astuces pour tromper