Infinite

et de plus à l’espérance, n’est pas infime mais extrême. C’est pourquoi tous les plaisirs se trouvent mêlés de déplaisir, comme nous en faisons l’expérience, car, en les obtenant, l’âme quête avidement ce qu’elle ne peut trouver, c’est-à-dire une infinité de plaisirs ou, en d’autres termes, la satisfaction d’un désir illimité. Le plaisir infini qu’on ne peut trouver dans la réalité se trouve ainsi dans l’imagination, d’où dérivent l’espérance, les illusions, etc. Il n’y a donc pas lieu de s’étonner

raison humaine = hérésie rationaliste. Foi >< raison IV. Conception du « moi » : Moi = noyau de la personnalité. Représentation du moi = association d’idées (humeur, caractère, amour, haine) se succédant et changeant constamment. Personnalité = infinité d’impressions isolées. // avec Bouddha (2500 ans plus tôt) : Vie = suite ininterrompue de cycles psychiques et physiques modifiant constamment l’être humain Pas immortalité de l’âme. Disparition des choses créées. V. Lois naturelles et causalité :

Mais qu’est-ce qu’un homme ? Dirai-je que c’est un animal raisonnable ? Non certes : car il faudrait par après rechercher ce que c’est qu’animal, et ce que c’est que raisonnable, et ainsi d’une seule question nous tomberions insensiblement en une infinité d’autres plus difficiles et embarrassées, et je ne voudrais pas abuser du peu de temps et de loisir qui me reste, en l’employant à démêler de semblables subtilités. Mais je m’arrêterai plutôt à considérer ici les pensées qui naissaient ci-devant

Mais qu'est-ce qu'un homme ? Dirai-je que c'est un animal raisonnable ? Non certes : car il faudrait par après rechercher ce que c'est qu'animal, et ce que c'est que raisonnable, et ainsi d'une seule question nous tomberions insensiblement en une infinité d'autres plus difficiles et embarrassées, et je ne voudrais pas abuser du peu de temps et de loisir qui me reste, en l'employant à démêler de semblables subtilités. Mais je m'arrêterai plutôt à considérer ici les pensées qui naissaient ci-devant

Mais qu'est-ce qu'un homme? Dirai-je que c'est un animal raisonnable? Non certes: car il faudrait par après rechercher ce que c'est qu'animal, et ce que c'est que raisonnable, et ainsi d'une seule question nous tomberions insensiblement en une infinité d'autres plus difficiles et embarrassées et je ne voudrais pas abuser du peu de temps et de loisir qui me reste, en l'employant à démêler de semblables subtilités. Mais je m'arrêterai plutôt à considérer ici les pensées qui naissaient ci-devant

réinterprété, partiellement prouvé, en utilisant des méthodes et des langages issus de branches variées des mathématiques. A commencer par l'utilisation de simples notations algébriques, absentes de l'original. On remarque que pour n=2, il y a une infinité de solutions, l’application du théorème de Pythagore en est un exemple. La méthode de descente infinie permit à Fermat de prouver le théorème pour n=4 et peut-être au moins dans ses grandes lignes pour n=3. Celui-ci fut établi pour les exposants

homme. Mais qu'est-ce qu'un homme? Dirai-je que c'est un animal raisonnable? Non certes: car il faudrait par après rechercher ce que c'est qu'animal, et ce que c'est que raisonnable, et ainsi d'une seule question nous tomberions insensiblement en une infinité d'autres plus difficiles et embarrassées, et je ne voudrais pas abuser du peu de temps et de loisir qui me reste, en l'employant à démêler de semblables subtilités. Mais je m'arrêterai plutôt à considérer ici les pensées qui naissaient ci-devant

| |Exercice 3 | | | |Savoir que la lumière blanche est constituée d’une infinité de radiations | | |monochromatiques. Connaître | | |le spectre en longueur d’onde de la lumière

le chemin de l’ " être " et de l’ " absolu " Tout au contraire je prends plaisir au monde, même s’il n’est qu’illusion" [4]. " Le monde, pour nous, est redevenu infini, en ce sens que nous ne pouvons pas lui refuser la possibilité de prêter à une infinité d’interprétations. Nous sommes repris du grand frisson " [5].

immuable, sinon dans son contenu,du moins quant à son autorité. cette règle,se ne peut être que la loi fondamentale, la grundnorm, celle qui est tout a la fois le centre et le point d'attache de l'univers juridique,qui, sans elle,se dissoudrait à une infinité de recommandations sans cohérence et sans valeur obligatoire. Aujourd'hui c'est en l'entendant dans son acception intégralement juridique que l'on parle de la constitution; on ne voit plus en elle un simple fait, mais une règle.