Industrie de l'armement

est passé durant la même période de 1 798 milliards à 2 931 milliards de dollars soit une augmentation de presque 40 %. Les secteurs les plus dynamiques sont la chimie, l'informatique, l'aérospatiale, la santé, les biotechnologies et les industries de l'armement, même si l'avance s'est réduite depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le principal point fort de cette économie postindustrielle reste le secteur tertiaire (grande distribution, services financiers et bancaires, assurances, production

innovations techniques sont rendues nécessaires par l’enlisement du conflit (canon : grosse Bertha, mitrailleuse (600 coups minutes), gaz ypérite dit gaz moutarde testé en 1915 à Ypres, lance flamme, sous marins, char). Conséquence des progrès de l’armement, la médecine (radiologie) et la chirurgie de guerre progressent. B Mobilisation économique et financière Pour « tenir », il faut mobiliser la main d’œuvre (femme, ouvrier qualifié), les colonies, tous les secteurs de l’économie (chimie,

membres. Elle possède 25% des réserves mondiales en gaz et est aussi le premier fournisseur en gaz de l’UE en 2010. Consciente de ne pas s’être réellement diversifiée économiquement parlant depuis la chute de l’URSS en 1991 sauf pour le secteur de l’armement, elle cherche à exploiter au maximum ses ressources naturelles pour retrouver une place de choix sur la scène géopolitique mondiale comme au temps de l’Union soviétique. Les hydrocarbures sont donc une arme ultime à exploiter contre l’Europe. Elle

au-delà des mers ». Le japon vient alors se munir de spécialistes afin d’obtenir une industrie performante. Cette stratégie porte ces fruits puisque en 1913, le Japon comptait 14000 établissement industriels qui employaient 900000 ouvriers dont la moitié de la production est vouée à être exportée. Le pays a également développé la construction navale et ferroviaire, la productions de biens d’équipement et l’armement. La stratégie Japonaise reposait essentiellement sur des considérations stratégiques

et cliniques privés, souvent de haut niveau, prennent le relais des établissements publics mais là encore les couches défavorisées de la population n’y ont pas accès. II Une puissance grandissante a) Nouvelle puissance éco et technologique - Industrie - Secteur tertiaire -Technologie de pointe, spatial et militaire L’Inde possède des pôles d’excellence bien connus, comme les biotechnologies, l’industrie pharmaceutique, la production de logiciels, l’industrie spatiale (un satellite d’observation

tous confrontés, mais à des doses qui sont sans gravité pour notre santé (en temps normal). On l’utilise en médecine (la médecine nucléaire avec le scanner, certaines injections…), dans l’alimentation (une meilleure conservation des aliments), dans l’armement (bombe nucléaire, balles à uranium), et dans la nature (radioactivité émise naturellement à un taux très faible, par le sol, les arbres, le soleil…). Les évènements qui se sont produits au Japon ont réveillés des inquiétudes et un débat qui n’avait

colonial et était prêt à prendre les armes s’il le fallait. Son avidité face aux territoires coloniaux français et anglais, s’ajoutait aux tensions se dégageant du partage des mondes. L’Allemagne avait besoin de matières premières pour nourrir ses industries, placer ces capitaux dans des secteurs importants et trouver des débouchés économiques : « L’économie allemande était en pleine expansion. Un développement continu était pour elle une nécessité. » (René Rémond T.3 p.16). Or sa volonté de guerre

B) Une guerre totale. ü Une « économie de guerre » est mise en place dans les pays belligérants, marquée par un dirigisme de l’État. Les outils de production sont utilisés pour produire des armes. ü Les femmes sont enrôlées dans les industries (ex. : « munitionnettes »), pallient l’absence de leurs maris dans les campagnes, tout en devant remplir leurs rôles de mères. ü L’information est contrôlée. Les journaux sont censurés et le « bourrage de crâne » diabolise l’adversaire. Les courriers

les 20000000 de dollars et ne représentaient qu’une faible part du budget total. Pas d’armée, seulement quelques régiments de milice dont l’effectif atteignait à peine 3000 hommes. Pas de marine mais 3 ou 4 petits navires, et pas l’ombre d’une industrie de guerre. Le canada n’est à l’époque nullement prête à la guerre et l’élan patriotique frise l’inconscience. La tâche d’organiser une armée canadienne par enrôlement volontaire fût aussitôt confié au colonel Sam Hughes, ministre de la milice et

de la France stupéfie tout le monde. Mais de Gaulle réfugié à Londres lance un appel au Français. Il est conscient de l’armement Allemand mais il ne souhaite pas abandonner, il a foi en l’aide Américaine et Britannique. Il veut que la résistance se poursuive et affirme que la France n’est pas seule face à l’ennemi que la GB a le monopole de la mer et que les USA ont les industries. De son côté la GB n’entend pas capituler face aux nazis. Il bombarde sans arrêt Londres en 40 mais cependant ils possèdent