Incipit Cendrars

fait vivre dans une ambiance de mort imminente. Tous ces éléments inspirent la compassion au lecteur face au récit de ce jeune soldat qui est traumatisé. Le second document est un extrait de l’œuvre autobiographique « La main coupée » de Blaise Cendrars (1887-1961), un écrivain d’origine Suisse engagé comme volontaire dans l’armée française. Le titre la main coupée évoque la main que l’auteur a perdue pendant la guerre, qui peut nous laisser imaginer que l’œuvre est très personnelle et que ce

quelques similitudes que l’on pourrait juger anodines. En conclusion, pour vivre en étant soi-même, il faut savoir jusqu’où il faut être différent d’autrui, mais aussi savoir s’intégré a un groupe sans s’assimilé a celui-ci. Comme disait Blaise Cendrars «  un être vivant ne s’adapte jamais à son milieu, ou alors, en s’adaptant, il meurt. La lutte pour la vie est la lutte pour la non-adaptation. Vivre c’est être différent. »

une expression débarrassée des contraintes de la versification et ne reposant que sur des effets de rythme internes à la phrase. Rupture avec la versification traditionnelle : innove avec le vers libre et l’absence de ponctuation, ( comme Blaise Cendrars à la même époque) Calligrammes : innovation radicale : le poème est désormais moins un texte qu’un objet, dont la forme, la mise en page compte autant que le contenu. Thèmes récurrents Détestation de la nature, en rupture

Mais je préfère de beaucoup les levers de soleil
 L’aube
 Je n’en rate pas une
 Je suis toujours sur le pont
 A poils
 Et je suis toujours le seul à les admirer 
Mais je ne vais pas décrire les aubes 
Je vais les garder pour moi seul Blaise Cendrars La tulipe Madrigal Au soleil. Bel astre à qui je dois mon être et ma beauté, 
Ajoute l’immortalité 
A l’éclat non pareil dont je suis embellie ;
 Empêche que le temps n’efface mes couleurs : 
Pour trône donne-moi le beau front de Julie

après que Blaise Cendrars eut lu à Apollinaire son propre poème qu’il venait de terminer : “Les Pâques à New York”, un poème de distiques irréguliers mais rimés, où se déroulait un long itinéraire, peuplé de souvenirs, un long courant de poésie ininterrompue, dynamique, qui épousait le mouvement de la marche du poète-Christ, poème qui faisait de lui le premier poète de l’esprit nouveau. Et, dans “La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France” (1913), Blaise Cendrars allait complètement

dans le texte de Rimbaud, « je » dans celui de Cendrars et « il » dans le texte de René Char. -          Pourtant les trois textes évoquent les auteurs, une expérience vécue, personnelle -          Rimbaud semble vouloir montrer à travers son expérience personnelle qu’un tel comportement est caractéristique de cette tranche d’âge (dix-sept ans) : à travers son vécu, c’est le vécu de tous les adolescents qui nous est donné à voir. -          Cendrars fait un récit autobiographique à travers la Prose

l'expérience combattante dans une guerre totale. Les extraits que nous allons étudier son extrait de deux récits écrit par deux soldats envoyé au front durant la première et deuxième guerre mondiale. Pour le premier récit, l'auteur se nomme Blaise Cendrars (1887-1961). Le nom de son récit s'intitule : J'ai tué, publié en 1919. Le second récit est écrit par Gabriel Chevallier (1895-1969). Le titre de son œuvre s'appelle : La peur, publié en 1939. Les documents présentés traitent de la guerre, des difficultés

américain Edgar Allan Poe. Dans sa quête insatisfaite de la Beauté, Charles Baudelaire aspire à rendre toute chose belle, même les plus laides.  Ce que l'on appellera plus tard l'esthétique Baudelairienne, deviendra la signature du célèbre poète. Blaise Cendrars, pseudonyme de Frédéric-Louis Sauser (1er septembre 1887 — 21 janvier 1961), est un écrivain d'origine suisse, naturalisé français en 1916. Très tôt, il a placé son œuvre sous le signe du voyage et de l'aventure. Dans sa poésie comme dans ses œuvres

deuxième a été écrit par Corbière qui lui est un poète du symbolisme, Les Amours jaunes, en 1873, « Le Crapaud », ensuite nous avons le poème d’Apollinaire qui appartient au surréalisme, Alcools, 1913, « Les Colchiques » et enfin celui de Blaise Cendrars qui appartient également au surréalisme, Sonnets dénaturés, 1923, « Académie Médrano ». Ces poèmes sont tous des sonnets, je vais tenter de vous le justifier et d’analyser les différentes formes utilisé pour

composition aprs que Blaise Cendrars eut lu Apollinaire son propre pome quil venait de terminer Les Pques New York, un pome de distiques irrguliers mais rims, o se droulait un long itinraire, peupl de souvenirs, un long courant de posie ininterrompue, dynamique, qui pousait le mouvement de la marche du pote-Christ, pome qui faisait de lui le premier pote de lesprit nouveau. Et, dans La prose du Transsibrien et de la petite Jehanne de France (1913), Blaise Cendrars allait compltement librer le