Ils se sont aimés

L’ordinateur, lire et le cinéma. Quel serait ton plus grand malheur ? Mourir seule avec mes chats. A part toi-même, qui voudrais-tu être ? Une surfeuse reconnue. Où aimerais-tu vivre ? À Contis. La couleur que tu préfères ? Le vert. Une fleur que tu aimes : La jonquille. L’oiseau que tu préfères : La chouette. Tes auteurs préférés : J.K Rowling. Tes héros de fiction préférés : Ron Weasley, Chuck Bass. Tes héroïnes de fiction préférées : rose de Titanic et la fille dans Petits meurtres à l’anglaise

frêle de la plante mais aussi de son amie. Nul doute que la rose symbolise néanmoins un élément introduisant la douleur ! Elle est à la fois belle et dangereuse, dangereuse parce que ses épines peuvent causer de la souffrance. Et vos œillets / aimés, // ausquel/s avés donné  4                       2                2                                  4 L'anaphore « et », qui est la répétition en début de phrase d'un même terme, permet à Ronsard de faire une énumération et de souligner ainsi le

vient le fait que, malgré le manque d’estime que l’on accorde aux romans, ceux-ci nous attirent inexorablement ? Mais éprouve t-on uniquement de l’attirance pour ces ouvrages ou aussi de la méfiance ? Tout d’abord, nous verrons que les romans sont peu aimés, que les lecteurs s’en méfient et ensuite que les romans peuvent aussi être très appréciés, que les lecteurs sont attirés par ces ouvrages et que les auteurs mettent tout en œuvres pour nous faire aimer ces romans. Les lecteurs se méfient des romans

nous rendaient heureux. Cette douleur est hardue à vivre et nous plonge dans un deuil douloureux difficile d’acceptation. C’est à ce mal qu’est associée la mort. On croit que l’on craint la mort parce qu’elle nous blesse en nous retirant nos être aimés. Toutefois, la véritable crainte, n’est pas celle de la mort. La vraie crainte est celle du vide. En effet, ce n’est pas réellement la mort que nous craignons. Ce qui nous fait réellement peur c’est le vide que laisse l’absence après la mort. Le vide

passionné Si musique et douce poésie s’accordent comme le doivent deux sœurs, alors nous devons bien nous aimer, toi et moi, car tu aimes l’une et j’aime l’autre. Ton goût est pour Dowland, dont la touche céleste sur le luth ravit les sens humains ; le mien est pour Spenser, dont la pensée est si profonde que, dépassant toute pensée, elle échappe à l’éloge. Tu aimes entendre le doux son mélodieux que Phébus tire de son luth, ce roi de la musique, et moi je suis surtout noyé dans des délices profondes

Verlaine (p 13-14) « D’où nous venons » , Bernard Lorraine (p 15-16) « Le temps dans tes yeux » , Michel Lautru (p 17-18) « L’aïeule » , Alice de Chambrier (p 19-20) Femmes tout simplement « Lettre » , François Coppée (p 21-22) « Aux trois aimés » , Marceline Desbordes-Valmore (p 23-24) Femmes dévalorisées « Vous faites voir des os » Vous faites voir des os quand vous riez, Hélène, Dont les uns sont entiers et ne sont guère blancs ; Les autres, des fragments noirs comme l’ébène

LOGE N° 64 EUROPE UNIE A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS VENERABLE MAITRE ET VOUS TOUS MES BIENS AIMES FRERES PAIX – AMOUR – HARMONIE Dans cette période troublée que traverse actuellement notre obédience et je pèse mes mots ; il y a 3 mots qui régulièrement me viennent à l’esprit. Paix-Amour Harmonie. Paix – Amour – Harmonie. 3 mots dont la simplicité de prononciation n’a d’égale que la difficulté de les mettre en application. Il y a 10 ans, c’était en décembre

Jésus Christ, donne- nous de comprendre combien tu nous aimes. Que nous répondions à ton amour par la prière et la bénédiction à tous les hommes même à ceux que nous n’aimons assez. Que notre prière soit une sortie de nous-mêmes pour aller vers les autres. Seigneur tu comptes sur nous, nous comptons aussi sur toi. Notre Père… Chant : Ref/ C’est lui Jésus, le fils du charpentier C’est lui, Jésus qui nous a tant aimés. Armés de bâtons, ils l’ont arrêté, il s’est rendu sans

poitrine. Ces si bons moments à deux, oubliés, jetés à la poubelle. Mais pour moi malheureusement, ça s'est pas passé comme ça. J'aurais tellement aimé oublier tout ça, oublier que tu es parti, que plus rien ne sera jamais comme avant. Oublier que tu en aimes une autre, qu'elle vit un conte de fées avec toi. Oublier que tu lui fais les mêmes promesses, et qu'elle souffrira un jour comme je souffre. Quand tu seras passé à autre chose. Passer à autre chose... Ce serait bien. Je suis attirée par l'impossible

souligne qu’il fait un bilan de sa vie car le temps dominant des verbes est le passé composé : « J’ai perdu » (v.1), « J’ai vu » (v.14). La répétition de l’interjection « hélas » (v.2 et 7) accentue la douleur d’Hugo éprouvée à la perte des êtres aimés. Les anaphores de « J’ai » répétées onze fois, les tétramètres « Qui me va mieux » (v.15), « Les vents, les jours » (v.20) allongeant le vers ainsi que des verbes rapportant au vécu : « su » (v.13), « connu » (v .17), témoignent de la vie bien remplie