Illusion Romanesque Divertissement

reflète l’effervescence de la fête. La largesse du roi est sans égale : il offre à cent jeunes gens un riche et complet équipement de chevalier, accueille tout le monde (riches et pauvres) à sa cour et procure à ses convives tout l’éventail des divertissements et des aliments qu’il est possible de trouver à l’époque. ... à vous de lire la plainte de Tristan... (p. 35) 1. Les marques de l’émotion dans le monologue La fonction expressive du langage (voir les théories de Roman Jakobson) tient un grand

moyens et les enjeux romanesques pour représenter un personnage, de connaître l’histoire du roman et l’évolution du personnage, d’établir et analyser les liens entre personnage et contexte historique, de comprendre le personnage comme miroir des enjeux d’une société. Organisation Le chapitre s’organise en cinq séquences progressives qui permettent d’aborder la notion de personnage, puis de la complexifier et de la problématiser. La séquence 1 aborde le genre romanesque à partir de la notion

XXe siècle, parmi lesquels Breton (1928), Colette (1945), Blanchot (1948) ou Léon-Paul Fargue (1961). Nous en avons retenu quatre pour leur importance documentaire et leur valeur littéraire. Nous les abordons en suivant un ordre chronologique. Illusions perdues[15] d’Honoré de Balzac (1836-1843), Thérèse Raquin[16] d’Émile Zola (1867), Le Paysan de Paris[17] de Louis Aragon (1926) et Mort à crédit[18] de Louis-Ferdinand Céline (1936). De part leur fonction narrative et leur vision contemporaine

que la Sultane voulut tenir si secret que le Grand Seigneur n'en a jamais rien su». Il raconta cette histoire en particulier à Jean Regnault de Segrais, qui, en 1656, publia un recueil de nouvelles intitulé ‘’Les nouvelles françaises, ou Les divertissements de la princesse Aurélie’’, dont la dernière, ‘’Floridon ou L’amour imprudent’’, s’en inspirait. On peut résumer cette nouvelle ainsi : À l’encontre de la cruelle coutume des sultans, qui ne parviennent jamais au pouvoir sans avoir fait mourir

MENSONGE, PROTESTATION. » - L’une des principales causes à laquelle on peut attribuer l’étonnante banalité de la majeure partie de la production littéraire actuelle est incontestablement la décadence du mensonge conçu comme un art, une science et un divertissement mondain. Les historiens de l’Antiquité cherchaient à nous faire prendre de charmantes fables pour des faits. Le romancier contemporain nous présente des faits ennuyeux sous le couvert de la fable. Le Livre bleu est rapidement en train de devenir

auquel il pourra lui-même exprimer indirectement des positions. Si, comme le souligne Louis Aragon, « le roman est une machine inventée par l’homme pour l’appréhension du réel dans sa complexité »1, le personnage est l’outil privilégié de la création romanesque pour comprendre le monde et le donner à voir au lecteur. Selon le contexte d’écriture, la société dans laquelle s’inscrit l’auteur (d’où l’importance de la biographie !), sa pensée et sa vision du monde, le personnage de roman sera construit d’une

caricature d’une troupe de comédiens rivale de la sienne, et peut-être de tous ces artistes amateurs chez qui le goût du théâtre est une passion souvent ridicule. Le caractère de Bottom est un des plus comiques de Shakspeare ; Hazzlitt l’appelle le plus romanesque des artisans, et observe à son sujet ce qu’on a dit plusieurs fois, c’est que les caractères de Shakspeare sont toujours fondés sur les principes d’une physiologie profonde. Bottom, qui exerce un état sédentaire, est représenté comme suffisant,

Jason le départ imminent de Médée. Scène 5 : Premier duo de Jason et Créüse, qui se chantent leur amour et réitèrent leurs promesses de fidélité. Scène 6 : Oronte déclare lui aussi, un peu tard cependant, sa flamme à la princesse et lui offre un divertissement qui clôt l'acte II. ACTE III. Scène 1 : Médée révèle à Oronte l'amour réciproque de Jason et Créüse, et les deux amants trahis décident d'unir leurs forces. Scène 2 : Duo de Médée et Jason, qui, lâche, s'emploie à convaincre la magicienne de

être grossier, c’est peut-être moins raffiné que le théâtre du XX°s. Pas de public guindé à cette époque. En Grèce et à Rome, tout le monde va au théâtre. C’est un théâtre de masse, de manière différente ne Grèce et à Rome. C’est le plaisir et le divertissement. La comédie ancienne : - Aristophane. La comédie ancienne est divisée en partie : - Le prologue - Le parodos (entrée du chœur). - L’agôn (deux personnages qui se disputent) - La parabase (moment où l’auteur dramatique va venir parler

différenciant de la nouvelle, distinction relativement récente. Pour mémoire, nous vous rappelons qu’au XIXe siècle, la distinction ne se faisait pas encore. Le conte, c’est la magie du verbe, la magie de la parole. C’est aussi un récit populaire romanesque ou d’aventures, ancré dans le folklore et les traditions, le plus souvent plaisant, qui met en scène des personnages merveilleux, c’est-à-dire dont les caractéristiques diffèrent de celles des humains. Le lieu et le temps ne sont pas identifiables