Ici Même

Puis-je me connaître moi même ? La connaissance de soi même ne semble pas problématique, en effet si il y a bien une chose que je pense véritablement connaître c'est bien moi même : J'ai conscience de moi et de mes actes et je connais mes goûts, mes émotions. La connaissance de soi est le savoir que nous avons acquit sur nous au cours de nos vie et de nos expériences subjectives. La subjectivité est l'expression d'une idée personnelle en l'absence d'élément concret incident, elle désigne également

Peut-on penser par soi-même ? Penser est le propre de l’homme, c’est une activité « courante », « quotidienne », consciente par laquelle l’homme se construit. Toute conversation, toute relation humaine nous mène à penser. Pour autant n’est-il pas dangereux de penser par soi-même ? Est-il possible de ne pas se soucier de ce que pensent les autres sans que ça modifie notre propre pensée ? Dès lors que nous pensons par nous-mêmes ne risque-t-on pas de s’exclure ? Il s’agira dans un premier temps

Puis-je me connaître moi-même ? Lorsque l’on regarde dans un dictionnaire la définition de « se connaître », on découvre qu’il s’agit d’ « avoir une juste idée de soi-même ». Quant aux synonymes, « comprendre » et « percevoir » se situent dans les premières places. Se connaître, c’est donc comprendre qui nous sommes et pour quelles raisons nous sommes ainsi. Le problème est de savoir s’il est possible que je fasse le tour de moi-même par moi-même ? Le « je » ici doit être pris au sens général

Sujet : Peut-on penser par soi-même ? La nécessiter de penser remonte à toujours, mais est indispensable de nos jours. Lorsqu'il s'agit de se prononcer sur ce qui semble vrai, faux, bien ou mal, dès qu'une personne à une maturité quelconque, elle est mise face à différents avis sur ce qui l'entoure. Après, peut-on penser par soi-même ? Sans oublier pour autant que l'humain est un personnage influençable sous différent points, comment savoir si l'emprise extérieur n'a pas d'empreinte sur la pensée

société, de nombreux slogans nous poussent à être nous-mêmes. Ces leitmotivs nous demandent d’être spontanés, authentiques, naturels, donc de ne pas jouer de rôles d’interprétation. Mais qui sommes-nous sinon nous-mêmes ? L’expression « être soi même » n’est elle pas un pléonasme ? car nous ne pouvons être que nous-mêmes. Nul ne peut échapper à la présence de soi. Quand nous disons ‘je », nous faisons systématiquement la différence entre ce qui est « moi » et ce qui ne l’est pas. Nous avons donc

conduite de l’homme sur la maîtrise de la pensée. Un projet conséquent mettant en jeu toute une conception (idyllique) de l’homme. En effet, cela supposait que chacun avait la possibilité de régler lui-même ses pensées et d’en répondre. « Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme » écrivait Victor Hugo, cette même âme, que Platon entendait comme ce qui, en nous, s’affirme comme pouvoir de réflexion et de conscience distanciée. En ce cas, la grandeur de l’homme a-t-elle été, est-elle encore confirmée par une

logique, l'idée selon laquelle on pourrais ne pas être sois meme est contradictoire et a pour présupposé l'évidence de l'identité à soi. Je peux à chaque instant faire retour sur ma pensée ou saisir mon corps sur le mode de l'appartenance immédiate/ je peux me considérer moi meme en tout temps et en tout lieux. Mais l'experience confronte le sujet à la possibilté de différer de lui meme, c'est-a-dire de s'éprouver comme à l'exterieur de lui meme, par exemple, dans un sentiment inhabituellement puissant

ou qui font notre quotidien sont bien différents. Les objets ont-ils tous la même valeur ? Dans un premier temps je vais montrer que les objets qui nous entourent sont tous différents mais aussi tous de valeurs différentes par la valeur fiduciaire, religieuse ou personnelle qu’elles génèrent au moment présent et/ ou à travers le temps. Et dans ma seconde partie je vais montrer que les objets non également pas la même valeur mais pour une tout autre raison, la valeur que l’on donne aux objets, savoir

Il apparait dans un premier temps une évidence Je suis forcément moi même. Dans un deuxième temps: Je devient quelqu'un d'autre Moi=moi Donc à quelles conditions moi=autre ? "peut on" évoque une possibilité, quelque chose de légitime, quelque chose qui n'est pas affirmatif. Puis il y a la fameuse question de "Etre" que signifie être ? qu'est-ce qu'être, qu'est-ce que ne pas être par opposition ? Notion d'existence, de pensée peut apparaitre ici. On peut lier les deux également, ce qui donnerait

jugement sont décrétés par le juge même... Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je vaux ? Peut-on se juger soi-même comme un autre, comme n’importe qui ? Je ne suis pas n’importe qui. Je suis seul à connaître ma singularité, par exemple mes sens (personne n’a mal à mes dents) et mes mobiles les plus intimes, ceux que pour rien au monde je ne dévoilerais. Je suis seul juge ! Parce que je suis juge et partie, je me déclare compétent, en plein accord avec moi-même ! Qu’est-ce que ce “moi” qui se