Hypothèque en droit français

HYPOTHÈQUE Cette page ne doit pas être insérée dans la reliure HYPOTHÈQUE par Alain FOURNIER Professeur à la Faculté de droit de Metz-Université Paul Verlaine DIVISION Généralités, 1-21. § 1. – Perte éventuelle du droit de préférence, 106-110. CHAP. 1. – Analyse 22-76. ART. 1. – DROIT ART. 2. – DROIT ART. 3. – DROIT juridique de l’hypothèque, § 2. – Assiette du droit de préférence, 111. § 3. – Étendue du droit de préférence, 112-123. ART. 3. – RANG DE PRÉFÉRENCE,

Les droits réels : caractère non limitatif Notions sur le thème La notion de droit renvoie elle-même aux notions de droit objectif et de droit subjectif. Le droit objectif désigne la norme juridiquement obligatoire, quelle que soit sa source, son degré de généralité, sa portée. Le droit subjectif désigne des prérogatives que l’on peut avoir sur des personnes ou sur des choses. Lorsque ces prérogatives portent sur des personnes, on parle de droits personnels ou de droits de créance et lorsqu’elles

biens d'une valeur suffisante pour désintéresser l'ensemble de ses créanciers. Les sûretés peuvent porter sur des biens meubles et sur des créances, comme sur des biens ou des droits immobiliers. Les sûretés comprennent en particulier, le gage, le droit de rétention, le nantissement, le warrant, les privilèges et les hypothèques. Il est question de :  gage immobilier", précédemment nommé antichrèse, lorsque la sûreté porte sur des biens mobiliers. Le débiteur qui se dessaisit du bien mis en gage

Les choses communes. Cette catégorie juridique vient du droit romain. Ce droit se distingue sur un point du droit moderne français en ce qu’il s'agit d’un système objectiviste. C'est-à-dire qu’il agit en affublant les éléments qui le composent d’étiquettes. Il confère aux éléments du monde juridique des statuts. Ceux-ci déclenchent par eux-mêmes un ensemble de règles. Il n’y a pas de droit subjectif à Rome. Les personnes ont un droit lié à leur origine, leur richesse, leur personnalité. Les

DROIT CIVIL : LES BIENS Edition Dinasup (manuel) : Droit des biens. Le droit des biens se situe dans le Cciv dans une logique précise : d’abord l’être, ensuite l’avoir [Art 500 et s. / Livre 2 (516-710) et 3 (711 et s.)] Il y a aussi des développements dans le livre 4 relatifs aux suretés. Titre préliminaire : Les notions fondamentales Section 1 : Classification des droits réels et personnels Il faut qualifier avant de pouvoir classer. Cette classification est ancienne. La summa divisio

pour le droit judiciaire privé est l’ensemble des règles relatives a l’organisation et fonctionnement de la justice civile , et qui tant a assurer au particulier la sanction des droits subjectifs dont il se prétend titulaire , le droit judiciaire règle aussi la manière dans les juridiction civile sont organisé ,leurs compétences limités et comment les jugements prononcés doivent être exécutés , l’ordonnancement juridique est un ordre construit il se présente comme un ensemble de règles de droit générale

Droit des biens : Le droit distingue les personnes et les choses. Qu'est-ce que le droit des biens? Il est le droit qui met les choses au service des personnes. Ce droit va servir à fournir l'ensemble des techniques juridiques qui permettent de repartir les utilités des choses entre les personnes. Les droit des biens est une branche essentielle du droit civil, dans l'étude de cette matière on va rencontrer des notions fondamentales telles que propriété, possession, accession, indivision, copropriété

nécessité en matière de preuve de veiller à ce qu’il n’y ait pas de subjectivité ou de parti pris. Les conséquences : Lors d’une vente immobilière, les immeubles par destination sont compris ds la vente. Pr assurer une créance, on utilisera une hypothèque et pas un gage. Si on est créancier chirographaire, on a intérêt de dire que les immeubles par D° n’ont rien à voir avec l’hypothèque et peuvent ê saisis à part.

prémunir conte une éventuelle défaillance du débiteur, elle est adjointe a un droit de créance pour le renforcer, nécessite donc l'existence d'une créance à garantir; elles ont donc un caractère accessoire ce qui veut dire qu'elles suivent le sort de la dette garantie tant pour la transmission que pour l'extinction de cette dernière. La sureté peut être personnelle <<cautionnement>> ou réelle <<hypothèque, antichrèse, privilège>>ils sont régis par le DAHIR du 2 juin 1915.

Cas pratique nº1 Une personne physique a consenti une hypothèque sur sa maison de campagne au profit d’une banque pour garantir un prêt consenti à une société. Ce dernier décède en juillet 2009. Ses héritiers acceptent la succession. Il reste dû au titre du prêt une somme de 231 875€. La dette principale n’étant pas payée, la banque a saisi le bien immobilier grevé de l’hypothèque. L’un des héritiers a constaté la péremption de l’inscription de l’hypothèque, prise pour une durée de 10 ans, en