Hypocrisie Bourgeoise

que le mal survienne. Lorsque la mort du Président Grandmorin est annoncé, Roubaud a une totale maîtrise de lui-même et joue à l’innocent. Il est méfiant en apprenant que Jacques Lantier a été témoin du meurtre. L’ambivalence de Roubaud Hypocrisie Peur L’évolution de Roubaud Elément perturbateur Etat / comportement Exemple Etat / comportement Exemple Calme p.100, « Silencieux…yeux battus. » p.102-103 Roubaud reprend normalement son service. Les consignes de Moulin Soupçonneux

amène les dénouements», et Giraudoux indiqua que les deux libertins «mènent à leur déchaînement final et à leur vrai et irrémédiable aboutissement toutes les passions auxquelles les plus grands drames n’ont donné que des conclusions unilatérales et bourgeoises.» (‘’Littérature’’). On peut encore remarquer que, dans ce roman, comme dans une tragédie, le nombre des personnages est réduit. Et que sont respectées les traditionnelles règles de l’unité d’action, de l’unité de temps et de l’unité

désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique et bourgeoise de la ville. Elle est séduite « par l’excessive beauté de Lucien, la timidité de ses manières, de sa voix ». Il découvre l’amour grâce à elle qui, dans son salon, l’initie aux subtilités, aux raffinements et aux codes de la vie mondaine, lui fait

désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique et bourgeoise de la ville. Elle est séduite « par l’excessive beauté de Lucien, la timidité de ses manières, de sa voix ». Il découvre l’amour grâce à elle qui, dans son salon, l’initie aux subtilités, aux raffinements et aux codes de la vie mondaine, lui fait

le passé mais il s’utilise essentiellement dans le cadre d’une description, d’une action de second plan, une action qui dure ou qui est habituelle. B. Le portrait en acte : Mme Vauquer. Madame Vauquer dirige depuis quarante ans une pension bourgeoise, à Paris, rue Neuve-Sainte-Geneviève. Cette pièce est dans tout son lustre1 au moment où, vers sept heures du matin, le chat de Mme Vauquer précède sa maîtresse, saute sur les buffets, y flaire le lait que contiennent plusieurs jattes couvertes

misérable ramassis d’idées qui sert normalement à bâcler ce qu’on appelle le « programme d’un parti », puis comment, de temps en temps, celui-ci est fignolé et léché. On doit surtout regarder à la loupe les mobiles des commissions de programme bourgeoises, pour pouvoir estimer à leur valeur ces accouchements programmatiques : Un souci unique détermine immanquablement, soit l’établissement d’un programme nouveau, soit la modification du précédent : le souci du résultat des prochaines élections. Aussitôt

l'insurrection. Page 19 - «troupes révolutionnaires» : les troupes du Kuomintang commandées par Chang-Kaï-Shek. - «comité central» : celui du parti communiste chinois qui siège à Han-Kéou. - «1905» : date de la première révolution russe, «démocratique bourgeoise», qui a été particulièrement marquée à Odessa par la mutinerie du cuirassé “Potemkine” qu'a rendue célèbre le film d'Eisenstein. Page 20 - «Suisse» : avant la Première Guerre mondiale, la Suisse était le refuge et le lieu de rencontre traditionnel

qu’ils ont pu apparaître au XVII°, esprit critique héritier du « doute méthodique » de Descartes etc.). Il annonce toutefois, dans sa seconde moitié, le XIX° : révolutions politique, économique, sociale (chute de la monarchie, avènement de la classe bourgeoise, rôle de la finance dans l’État, prise de conscience du « peuple »…), naissance de l’esprit « romantique » enfin. Ainsi pourrait-on, très schématiquement, diviser le XVIII° siècle en deux grandes périodes : I°) XVIII° (< XVII°) : les progrès de

etc. Don Juan lui-même semble ému de ses transports. L’interprétation de Michel Piccoli souligne au contraire toute l’ironie mordante du personnage qui débite son discours sans chercher le moins du monde à être cru, en affichant avec cynisme son hypocrisie. - Comparez les atmosphères créées pour la dernière scène dans la version de Bluwal et dans celle de Mesguich. A laquelle des deux va votre préférence ? Justifiez. La fin de la pièce constitue un autre facteur d’opposition entre les deux mises

ce qui l’entourait. Il remarqua enfin que le soleil se couchait derrière les montagnes éloignées du Beaujolais. Pourquoi ne passerais-je pas la nuit ici ? se dit-il, j’ai du pain, et je suis libre ! au son de ce grand mot son âme s’exalta, son hypocrisie faisait qu’il n’était pas libre même chez Fouqué. La tête appuyée sur les deux mains, Julien resta dans cette grotte plus heureux qu’il ne l’avait été de la vie, agité par ses rêveries et par son bonheur de liberté. Sans y songer il vit s’éteindre