Hyperpuissance

Mexique ...) qu’autres (Afrique) 3) Le «soft power»: force et attraction de la première puissance culturelle du monde ! a)Seule puissance globale Présente ++ grâce à puissance culturelle: langue, culture, multinationales. Puissance globale, hyperpuissance Rend le pays très attractif ! b) L’»American way of life» fascine toujours langue anglaise: seul véritable langue internationale plus grand réseaux de télévision du monde (NBC, ABC, CNN), exportent beaucoup d’images, séries télé Hollywood fait

d’un monde bipolaire inégalement maîtrisé par les deux grands à un nouvel ordre mondial imparfaitement dominé par les USA I. 1975-1991 : Vers la fin d’un ordre bipolaire (3h) A. La guerre « fraîche » : Retour des tensions entre les hyperpuissances 1) Désinvestissement américain et poussée soviétique -Traumatisme du Vietnam : économique, mais surtout psychologique. Opinion US veut retour à l’isolationnisme, qu’appliquent Nixon et Carter (jusqu’en 1980). Et choc pétrolier

aide l'Allemagne a se reconstruire après la guerre 1939 – 1945 : Arsenal des démocraties. Après la guerre, ils financent la reconstruction des pays grace au plan Marshall ( 1947 ) => US : superpuissance 25/12/1991 : fin de l'URSS => US : hyperpuissance 2) Une puissance complète Puissance économique qui repose sur son industrie perfomante ( automobile : Ford, GM,... ), une industrie alimentaire ( Kellogs, Heinz,... ), une industrie de nouvelles technologies ( Apple, Microsoft ). Aussi une

Taalvaardigheid II Marion SchoentjesRédaction de la dissertation 1Au 21ième siècle l’anglais a été érigé en hyperpuissance linguistique et le monde est dirigé par de grandes entreprises américaines et britanniques. De plus en plus d’établissements universitaires européens désirent se faire une place dans le domaine international et ont lancé, pour ce faire, des filières anglophones. Une vraie concurrence s’est mise en place au sein des universités de l’Europe du Nord pour attirer le plus d’étudiants

économies mondiales. Depuis les années 80, l’évolution politique et technologique a favorisé l’apparition d’une globalisation de l’économie mondiale dans laquelle les Etats-Unis jouent un rôle en recul. B. Les Etats-Unis, de l’ « hyperpuissance » à la crise. Seule « hyperpuissance » en 1991, les Etats-Unis sont d’abord apparus comme les grands gagnants. Ils ont su bâtir à partir des années 1980 un modèle de croissance fondé sur le développement des hautes technologies et des services supérieurs (recherche

conflit. Avec la dislocation de l’URSS, de nombreux pays de l’Est rejoignent l’OTAN, les relations internationales des Etats-Unis sont au plus haut. En 1991 les Etats-Unis ne sont plus considérés comme une superpuissance, mais comme une hyperpuissance. Ils dominent à tous les points de vue : militaire, économique/financier, politique/diplomatique et culturel. En ces années 90, les Etats-Unis s’imposent comme les « gendarmes du monde ». Il convient dans cette seconde partie d’étudier l’évolution

dépendent de plus en plus de la politique de sécurisation des ressources. Est-ce, pour autant, un retour à la position-ressources de Kenneth Waltz ? Partiellement. Nous sommes en présence d’une nouvelle configuration, celle de deux puissances, deux hyperpuissances qui assoient de plus en plus leur pouvoir sur le contrôle de ces ressources, et non pas, comme on pourrait le supposer sur la maîtrise de l’économie de la connaissance. Cette rivalité sourde fait émerger des nouveaux lieux, les nœuds géostratégiques

quasi exclusif des États-Unis. En termes de soft power, le bilan est moins net : le Brésil s’y affirme davantage, profitant d’une décennie difficile pour les États-Unis et promouvant une image plus sympathique. Les États-Unis sont bien une « hyperpuissance » L’émergence brésilienne est réelle et se manifeste dans l’affirmation de son rôle mondiaL

globale de l’histoire, les Etats-Unis font face à de nouvelles responsabilités et ont de nouvelles ambitions : se pose la question de l'exercice de leur leadership et donc de l'évolution vers un monde multipolaire ou unipolaire. A/ Une hyperpuissance dans les années 1990 ? Au début des années 1990, certains (Fukuyama) vont jusqu’à parler de la « fin de l’histoire » que marquerait le triomphe planétaire de la démocratie libérale et de l’économie de marché et comptent sur la victoire américaine

B/ La fin de l’URSS. Conclusion : La Guerre froide, bien que particulière, est une guerre totale dont la société porte encore les stigmates. Des deux grandes puissances s’affrontant, une seule a survécu. Les EUA sont devenus une hyperpuissance qui possède de nos jours des intérêts partout dans le monde. La Russie, principale héritière de l’URSS, redevient peu à peu une puissance influente qui reste néanmoins marquée par ce conflit. Copie de Josette : Intro : A la suite