Horace Odes Iii 6

Horace (-65 / -8), Œuvres complètes, G.F. Horace : Sa vie Quintus Horatius Flaccun naît en -65 dans l’Italie méridionale. Il ne semble pas avoir connu sa mère et son père est un ancien esclave public affranchi. Horace commence son éducation à Rome. Mais son père, soucieux qu’Horace ne sente jamais l’infériorité de sa naissance, l’envoie étudier la rhétorique et la philosophie à Athènes. Virgil et Varius, ses aînés, le présentent à Mécène en -39 : Horace devient l’écrivain et e protégé de Mécène

termes repris par Ronsard.) I. Commentaire du texte d’Horace (Odes, III, 13) Nous avons ici un poème court et dense, écrit en quatre strophes asclépiades B, composées de deux vers longs (12 syllabes, le vers asclépiade mineur) et deux vers courts (7 syllabes, le phérécratéen, puis 8 syllabes, le glyconique). Ces vers au nombre fixe de syllabes sont empruntés aux poètes lyriques éoliens, comme l’ensemble de la métrique des Odes (cf. L. Nougaret, Traité de métrique latine classique, ch. V). Mais

a) Cicéron b) Plaute c) Socrate 3. Qui pouvait être acteur à Rome? a) les esclaves b) les femmes c) les riches romains 4. Comment se nommait le plus célèbre amphithéâtre romain? a) le Colisée? b) le Circus Maximus ? c) le Circus Flaminius 6. Quels types de spectacles se produisaient dans l’amphithéâtre? a) des naumachies b) des combats de gladiateurs c) des courses de char Romanorum modus vivendi 1. Quel terme désigne le dîner romain, le repas de fête? a) le prandium b) la cena c) le

de Paris. Ils sont formés par les enseignements de l’helléniste de Dorat. Ils y étudient les grandes œuvres de l'Antiquité grecque et romaine comme Pindare, Horace et Platon et italienne. Ils imitent librement des poètes aussi bien contemporains, qu’italiens ou que néo-latins ; et s’imitent aussi entre eux (la plupart imiteront Ronsard). III. Thèmes principaux, formes et procédés : La Pléiade aborde tous les genres de littérature, tous les styles, et tous les tons. Les poètes de la Pléiade ne

cursus honorum et resta attacher à sa classe équestre. « Maecenas, honneur des chevaliers. Plus on se refuse, plus on obtient des Dieux. Je passe, nu, dans le camp de ceux qui ne désirent rien, et, transfuge, je quitte le parti des riches. » Horace, Odes, III, 16-20. Il voulut même la transformer en une pépinière d'administrateurs. Il jugea lui-même que ses idées étaient utopiques. En matière d'idées politiques, Dion Cassius lui prêta des convictions monarchiques en le faisant discourir sur l'inadaptation

1 L’ « amour » dans les Odes (1550) de Pierre de Ronsard — à travers l’analyse de la disposition des poèmes à Cassandre — Chihiro HAYASHI Ⅰ．Introduction Les Quatre premiers livres des Odes ont paru en 1550, l’année suivante la publication de La Deffence et Illustration de la Langue Françoyse de Joachim du Bellay. Cette œuvre prend sa source principalement chez Pindare et Horace, traite de sujets divers comprenant l’éloge du roi ou des amis poètes, le mythe, l’amour etc. Les nombreux

 de  lieux)  v.  6,  v.  33   2. On  reconnaît  les  travaux  d’Haussmann  :  énumération  v.  30   3. La  ville  n’est  pas  transformée  en  lieu  idéal  :  on  voit  des  aspects  triviaux,  v.15   B. Le  poème  suit  le  mouvement  d’une  promenade  (une  «  7lânerie  »)  du  poète  dans  Paris   1. Le  poète  se  décrit  comme  en  mouvement  :  vb  de  mvt,  v.6  ;     2. Des

« amour », « en moi ». Enumération à l’aide de « et » (vers 2) et redondance. On peut également relever un certain nombre d’alexandrins : vers 5 à 6. Allitération en [s] au début du poème et assonance en [i] à la fin du texte (vers 23 et 26). => Ce poème est donc un rêve musical, qui reprend notamment la musicalité de poètes anciens. III) Un poème fondé sur l’intertextualité : 1) Références explicites. En effet, ce texte est fondé sur l’intertextualité, avec des références explicites

suite à une grosse fièvre et à une demi-surdité. Il se découvre alors une vocation pour la poésie. Grand humaniste, il veut une poésie inspirée de l'antiquité tant au niveau des thèmes qu'au niveau de la mythologie; il renoue avec Homère, Virgile et Horace. (1), (2), (5) et (12) a.2 naissance de la Pléiade En 1547, Ronsard fait la connaissance de Joachim du Bellay dans le Collège de Coqueret où il étudie. Il décide de créer avec son ami et quelques autres poètes un groupe, qui prendra quelques

en plus de trente ans, a touché aussi bien la poésie engagée et « officielle » dans le contexte des guerres de religions avec Les Hymnes et les Discours (1555-1564), que l’épopée avec La Franciade (1572) ou la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Le Château de la Possonnière où est né Pierre de Ronsard le 10 septembre 1524 père de l'âge de deux ans à celui de six ans, car