Horace De Beuzeval

voyager et partit au Havre en Angleterre. Avant de partir, il voulut serrer la main à Dauzats et Jadin, 2 camarades d’atelier, il alla donc a Trouville. L’hôtesse lui raconte alors qu’au château du receveur général de Burcy, qui avait invite Horace de Beuzeval et 2 amis à diner, des voleurs lui auraient dérobé 70 000 francs, et d’autres histoires de meurtres et de vol. Quelques jours après, Alfred va dans une barque qu’il a loue. A la suite d’un orage, il échoue sans son bateau sur une cote. Il va

Tout d’abord, le romantisme est caractérisé par le registre lyrique. En effet Horace de Beuzeval et Alfred sont tout deux amoureux de Pauline. Dans un premier temps, cette dernière ne ressent des sentiments qu'à l'égard d'Horace. Mais au fur et à mesure de l'histoire elle tombe sous le charme d’Alfred ; son sauveur. Des liens de confiance s'établissent entre ces deux personnages et par la suite Alfred devient son « frère ». Plus tard, Pauline avoue à Alfred qu'elle l'aime et lui accorde un baiser

lexical qui se rapporte à la mort et à la soufrance « mourir », « agonie » « dernier souffle » dernier soupir » … Pauline ne peux même pas s'exprimer « ne pouvant parler », elle comprend juste avant de mourir que c'est Alfred de Nerval qui a tué Horace de beuzeval « me montrant du doigt la cicatrice, elle poussa un cri ». Elle meurt avec la personne qui lui est chère, Alfre de Nerval. Enfin Pauline est un personnage romantique, sa fin est tragique. Ce récit est très bien écrit on s'imagine les les

qu’à l’acception contemporaine de pathétique. ) Le corpus est constitué de quatre extraits romanesques qui, tous, relatent la confrontation d’un personnage avec la mort. Dans le premier tiré de Pauline, Dumas rapporte l’affrontement du comte Horace de Beuzeval avec une mère tigresse. Dans le second issu de la Débâcle, Zola nous fait vivre la mort du soldat Rochas. Le troisième, à la fin de la Condition Humaine de Malraux, retrace le suicide du révolutionnaire communiste Kyo, tandis que le dernier

plus grand que je n'aurais jamais oser l'espérer ». Il a un certain respect pour sa bien-aimée tout au long de l'histoire. Il a aussi beaucoup de courage ; il est prêt à mourir pour elle, comme dans la confrontation qu'il a eu avec le comte Horace de Beuzeval au chapitre 15. Puis, un passage du livre m'a plu en particulier, au chapitre 13 quand Pauline est enfermée dans le cachot, la lampe s’éteint petit à petit. Sa lumière est éphémère comme la vie de Pauline, qui s’éteindra sûrement

26) ; « s’empara » (l.28) qui témoigne de cet espoir. Cependant, à partir de la ligne 29, le passé simple disparait car le narrateur s’éveille et s’aperçoit, à son plus grand désespoir, que l’amour de sa vie est à présent devenu « la comtesse Horace de Beuzeval » (l.31). A ce moment là, on prend vraiment pitié pour lui. De plus, on voit son profond désespoir avec cette exclamation « Hélas !...Hélas ! » (l.32) qui montre parfaitement sa déception et Pauline lui répond cette même exclamation. Nous

l’emploi du point de vue interne contribue-t-il à l’intensité dramatique de ces scènes. Tout d’abord dans ces quatre extrais les héros sont confrontés à la mort. Dans le premier extrait Dumas raconte le combat qui oppose une tigresse au comte Horace de Beuzeval. Cependant dans cet extrait nous ne sommes pas en point de vue interne. Dans le deuxième texte de ce corpus écrit par Zola nous assistons à la mort du soldat Rochas. Dans la Condition Humaine de Malraux nous suivons le fil des pensées du révolutionnaire

femme défaite, souffrante. Il devient alors son protecteur, “son frère” par obligation. La seule chose qu'il souhaite : rester auprès d'elle jusqu'à la fin de sa vie. Tout au long du récit, on découvre que Pauline, à l'endroit de son mari, Horace de Beuzeval, a des sentiments qu'elle n'arrive pas à expliquer elle-même. Elle doute que ce soit de l'amour; elle ne pense pas que ce soit de la haine non plus. Cependant, elle accepte ce mariage qui l'amènera petit à petit au fond du gouffre par ce qu'elle

cette folie puissante et destructrice, s’installe en elle. La solitude la rend folle, et l’approche de la mort encore plus. Enfin, le repli sur soi permet parfois aux personnages de remettre un peu d’ordre dans leur âme tourmentée. Le Comte Horace de Beuzeval a séquestré son épouse : cette dernière décide de se concentrer pour tenter d’organiser ses pensées et de se ressaisir : « Alors je me repliai sur moi-même et me concentrai en quelque sorte dans mes dernières et suprêmes pensées » (p. 161).

l’aventure romanesque. D’une manière succincte l’histoire se passe en 1830, Pauline jeune fille récament marié à l’étrange Horace de Beuzeval, se rend compte que son époux est un brigand recherché de tous, ne voulant se faire démasquer, ce dernier décide de l’enfermer dans un cachot, son but étant de la faire mourir. Alfred de Nerval, amoureux d’elle en secret depuis toujours la sauve