Horace Corneille Résumé

encore plus savant : kakemphaton, soit « quelque chose de mal dit », autrement dit une rencontre de sons qui produit un effet incongru, parfois déplacé dans le contexte. Savezvous qui a écrit : Je suis romaine, hélas, puisque mon époux l’est ? Corneille dans sa première version d’Horace en 1639, faisant du Romain un poulet… Il réédite l’exploit dans ce vers de Polyeucte, qui a encore l’heur de charmer des générations d’écoliers : Et le désir s’accroît quand l’effet se recule. Allons, avouez-le

histoire réalité) ; au premier siècle avant J. C., Horace lance les concepts de poeta, poema, poesis dans Ars poetica. À partir du IIe siècle, pendant environ seize siècles, la critique conçue comme discours autonome, à statut spécifique, sestompera. On rencontre des opinions sur des méthodes, principes et concepts critiques dans Les confessions de Saint Augustin, ou dans les textes de Boèce, Dante, Pétrarque, Boccace, Scaliger, Malherbe, Corneille, etc. Au siècle des Lumières on redécouvre la critique

réfugie dans la solitude des bois. Mais tout attire Apollon dans ce corps qui s’enfuit devant lui : il est tout près de mettre la main sur elle quand Daphné, après avoir supplié son père, se voit transformée en laurier : « une lourde torpeur 11 Résumé emprunté à Anélie Doudoumis, Dictionnaire des mythes féminins, p. 1539. 16 s’empare de ses membres ; une mince écorce entoure son sein délicat ; ses cheveux qui s’allongent se changent en feuillage ; ses bras, en rameaux ; ses pieds, tout à

Tragédie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 3) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 11) l’intérêt documentaire (page 20) l’intérêt psychologique (page 22) l’intérêt philosophique (page 33) la destinée de l’œuvre (page 35) l’étude de la pièce, scène par scène (pages 44-95). Bonne lecture ! RÉSUMÉ Acte I Scène 1 : Hippolyte, fils de Thésée, roi d'Athènes et de Trézène,

autoritaire, arrêtée, tranchée. Tout est embrouillé et sophistiqué dès le principe, et on ne peut plus se faire, sur tous ces objets, que des opinions arbitraires et incohérentes (DESTUTT DE TR., Comment. sur Espr. des lois, 1807, p.289). S'il fallait se résumer, exprimer une opinion définitive, je me hâterais de dire que le dix-huitième siècle me paraît un des plus grands siècles de l'histoire (GUIZOT, Hist. civilis., 1828, leçon 14, p.39). b) [Jugement ayant une valeur de doute] Opinion flottante, fluctuante

chap. XXV, XXXI & XLIIII, éd. LP). DU BELLAY, Les Regrets, sonnet XXVI. RONSARD, Second Livre des Amours, sonnet VI. RONSARD, Sonnets pour Hélène, sonnet 9. XVIIe siècle : D’AUBIGNE, Les Tragiques, « Je veux peindre la France une mère affligée ». CORNEILLE, Polyeucte, II, 6. MOLIERE, Tartuffe, III, 6. MOLIERE, Dom Juan, III, 2 & IV, 4. RACINE, Phèdre, I, 5. LA FONTAINE, Fables, VIII, 3 & 14 ; IX, 2 & 3. XVIIIe siècle : PREVOST, Manon Lescaut, « Ah ! Manon, charmante et perfide Manon ! ». VOLTAIRE,

(les mots légèrement familiers sont acceptés) 1) Résumer le roman sans utiliser la lettre a 2) Résumer au maximum le roman en faisant des phrases sans utiliser la lettre e (à la manière de Perec dans La Disparition) • Ecriture sous contrainte syllabique 3) Résumer le chapitre 10 (à la recherche de Gabriel- la conduite intérieure du Sanctimotronais) en utilisant les sons ke/ki/kan/kou/ku/ko/ké/kon autant que possible 4) Résumer ce passage en utilisant les sons be/bi/ban/bou/bu/bo/bé/bon

qu’elle l’aime. – « C’est un piège », dit-il. À la lueur du plus beau clair de lune, il doit grimper à la fenêtre de sa maîtresse. – « Si j’y vais, je suis mort ; mais c’est une honte de reculer. » […] Nous avons honte en vérité d’avoir fait un résumé aussi sec de deux volumes qui contiennent des pensées ingénieuses, où l’on trouve un coloris original et des pages chaleureuses. Mais si à nous la faute, elle est aussi au format du journal. La peinture des 5 amours de madame de Rênal est

vivait sans famille, qui écrivait des contes orduriers en cheveux blancs pour provoquer les sens de la jeunesse, qui mendiait dans des dédicaces adulatrices l'aumône des riches financiers du temps pour payer ses faiblesses; cet homme dont Racine, Corneille, Boileau, Fénelon, Bossuet, les poëtes, les écrivains ses contemporains, ne parlent pas, ou ne parlent qu'avec une espèce de pitié comme d'un vieux enfant, n'était ni un sage ni un homme naïf. Il avait la philosophie du sans-souci et la naïveté de

défendre sa pièce et où il expose ses idées sur le drame romantique : un théâtre « tout en un[79] », à la fois drame historique, comédie, mélodrame et tragédie. Il se revendique dans la lignée de Shakespeare[79], jetant un pont entre Molière et Corneille[80]. Il y expose sa théorie du grotesque qui se décline sous plusieurs formes[81] : du ridicule au fantastique en passant par le monstrueux ou l'horrible. Victor Hugo écrit « Le beau n'a qu'un type, le laid en a mille »[82]. Anne Ubersfeld parle