Horace Acte 3

François Magendie (1783-1855) Magendie est un physiologiste français, il est l’un des créateurs de l’école de physiologie expérimentale. Il est un des précurseurs de cette révolution biophysiologique notamment grâce à ses découvertes sur l’absorption (acte commun dans les organismes vivants, au moyen duquel ils pompent les liquides et les gaz a travers les tissus et les membranes), la circulation sanguine et lymphatique et sa fameuse recherche sur le système nerveux et la moelle épinière. Claude Bernard

aux bétails. L’esclave est un homme, une femme ou un enfant considéré comme la propriété d’un maître (doc2 l.1). L’esclave : vu comme bien mobilier faisant partie du patrimoine de son propriétaire, idem qu’une maison ou que du bétail, dans le doc.3 les esclaves ont été confisqués à leur maître au même titre que leur propriété (maisons, terrains, biens,…) : = esclave-marchandise. Aristote dans La politique : part du principe qu’un individu peut être vendu ou acheté, car on est naturellement esclave

Les surréaliste aussi et la Big Generation (Kerouac). Il est possible qu'un auteur touche un à-valoir sur droit (une avance sur les droits d'auteurs), il est très fluctuant et non obligatoire. Chez Gallimard il n'y a jamais d'à-valoir. Il y a 3 à 4% de marge pour l'éditeur. Sur les 55% la plus grande part est au libraire à 33%. Le distributeur reçoit 12%. la diffusion est à 8%. Les grands éditeurs sont sur le plan financier de grands vendeurs. Il y a des productions strictement conditionné

pouvons constater que les différents personnages sur scène et hors scène sont rapidement présentés : Ruy Blas est annoncé dès le premier vers ; Gudiel au vers 4 et Don Salluste, « chef de la maison des Bazan » (v. 17), est le titre éponyme de ce premier acte. De même, la répartition des paroles suffit à comprendre les rôles de chaque personnage : les tirades de Don Salluste soulignent sa suprématie sur les valets, qui sont identifiés tels que grâce à la manière dont ils s’adressent à Don Salluste (« monseigneur »

choix exprimé à la forme négative est très clair« je ne veux pas mourir » dit-elle à la ligne 11. Cette réplique courte dotée d’une négation totale, au présent d’énonciation, résulte d’une longue réflexion qui l’a tenue éveillée « toute la nuit » (l.3) , une hyperbole dont le dessein est de persuader sa sœur de la profondeur de sa pensée. Il semblerait qu’elle a d’ailleurs hésité comme le suggèrent les deux propositions reliées par la conjonction de coordination d’opposition « mais »: « j’ai pitié

bercé sur sa mule fringante, messer Blazius, s'avance dans les bluets fleuris »(l.1-2), le chœur donne ici l'information de l'arrivé de maître Blazius. Il possède également un rôle descriptif comme le montre ce groupe nominal « son ventre rebondi »(l.3). Il est aussi commentateur de l'action avec « vous arrivez au temps de la vendange »(l.5). Enfin, le chœur possède aussi un rôle structurel. On retrouve beaucoup d'impératifs « buvez »(l.9), « reprenez »(l.27), mais aussi de futurs à valeur impérative

aristocrates nantis type La Rochefoucauld ; des bourgeois et nobles moyens type Chapelain ; des petits bourgeois et petits nobles, bien instruits, type Corneille ; des héritiers de vieille noblesse en porte-à-faux, marqués par le ressentiment, type Tristan. 3-A quelles conditions les œuvres peuvent-elles paraître ? Du point de vue purement littéraire, le jugement sur les œuvres apparaît, au XVIIe siècle, entièrement dominé par l’esprit de la rhétorique. Dans l’Académie Française, un courant mondain codifie

femme. Les circonstances évoquées par le poète contribuent à donner l’impression d’une promenade amoureuse traditionnelle. Le cadre semble être celui d’une déclaration d’amour. L’image d’une promenade est donnée par la présence « d’un sentier » (v. 3). La nature omniprésente confère également une atmosphère bucolique au poème. On relève ainsi « Nature » (v. 11), le « ciel » (v. 13), une « fleur » (v. 14), « l’herbe » (v. 15), « l’eau courante et le vent » (v. 26), les « rochers » (v. 33) e « l’herbe

| | | | |3 – Livre II : « Craignant donc [...] j’irai causer avec vous. » |Œuvres intégrales : | |Etudes transversales et thématiques : |

par lui-même Le mythe de la transparence La tentation du romanesque La mythification du moi 1 – Le Préambule : « Je forme une entreprise [...] cet homme-là. » 2 – Livre I : « Près de trente ans [...] prolonger mon plaisir. » 3 – Livre II : « Craignant donc [...] j’irai causer avec vous. » 4 –Livre II : « On la fit venir [...] pire que moi ! » Textes complémentaires : Extraits de : Lettre à M. de Malesherbes 1762 Le Préambule de Neufchâtel 1764e N Rêveries