Histoire Imaginaire

Contours du jour qui vient est un roman de Léonora Miano, publié en 2006, et ayant remporté le Prix Goncourt des lycéens la même année. L'histoire se déroule dans un pays imaginaire d'Afrique, le Mboasu. C'est l'histoire d'une petite fille qui se fait rejeter par sa mère car elle croyait qu'elle portait malheur après que son mari l'ait quittée et que la famille ait fait faillite. Musango tout au long du livre s'adresse à sa mère pour lui rappeler que malgré la souffrance qu'elle a pu lui faire

car il permet à travers une histoire courte avec la mise en scène de personnage un peu imaginaire et aussi de délivrer une morale. EX 1 : La Fontaine est l’un des principaux poètes à avoir employer des fables, dans ces Fables de La Fontaine qui mettent en scène la Cour du roi, représenter par des animaux lui permettant de se moquer du roi et des courtisans sans se faire arrêter. ARG 2 : Beaucoup d’auteurs apprécient d’illustrer leurs pensées dans des pays imaginaires qui déjoue la censure et transmettre

héros qui cherchent à valoriser l'image d'une société pas forcément "rose". La littérature métamorphose le réel, la littérature peut ne rien laisser transparaitre d'une époque. Dans certains récits comme " LE PETIT PRINCE" nous partons d'une histoire plausible, d'un homme qui s'echoue dans le désert, seul sans rien autour et qui fini par explorer des planètes et qui y fait des découvertes. Cela est une façon de nous faire comprendre que la vie que l'on a peut être parfois vide, et que ce qui

utilise le raisonnement habituel : Balzac nous a laissé le Père Goriot, Dostoïesvski a donné le jour aux Karamazov, écrire des romans ne peut plus donc être que cela : ajouter quelques figures modernes à la galerie de portraits que constitue notre histoire littéraire. » Alain Robbe-Grillet Problématique : le personnage de roman est à la fois le reflet d’une certain esthétique littéraire (historique – le mouvement littéraire - et/ou personnelle – la vision de l’auteur) et du monde référentiel (le

Bovarysme : désigne l’attitude d’une personne qui, ne se satisfaisant pas du réel, vit dans ces rêves. II / Avertissements non-fondés. Illusion romanesque = récit imaginaire donc divertissant. récit ayant pour but un simple divertissement pour le lecteur, qui sait que ce qu’il lit est purement imaginaire. L’analyse est laissée au lecteur qui devine, reconstruit le personnage (à partir de ses actes, de son langage, de ses dialogues…) romans où les personnages sont stéréotypés

nous permet de découvrir ce qu’on ne connaît pas ou d’approfondir ce qu’on connaît peu. Un film nous enseigne des émotions, des faits réels, des faits imaginaires,… Par exemple il nous éclaire sur certains évènements des époques passées, se basant sur les témoignages ou les écrits. Il devient donc clairement un outil de restitution de notre histoire, tant pour renseigner quant au passé mais aussi au futur pour les générations à venir. Certains films contemporains relatent des faits récents et sont

5ème partie: Activité complémentaire. Comme activité complémentaire, j’ai choisis de présenter un article de presse imaginaire sur l’œuvre de Phlippe Claudel, car un article de presse est intéressant dans le sens où il dévoile une partie de l’énigme du récit tout en gardant secret le dénouement. Il laisse également quelques informations sur la réussite du récit ou non, tout en laissant le lecteur se faire sa propre idée de sa lecture.. ____________________________________________________________

UN ALLER SIMPLE 1. JUSTIFIER VOTRE CHOIX : Ce petit livre fait partie de mes préférés alors qu'il part d'une histoire somme toute banale; un clandestin, né à Marseille, se fait arrêter, il est muni de faux papiers le disant marocain. Reconduit « pour l'exemple » dans son pays d'origine, il va se créer un monde imaginaire et nous embarquer dans une belle histoire... Je n'en dirai pas plus, ce livre est plein d'émotion et donc à découvrir. 2. PERSONNAGE PRINCIPAL : Aziz : le personnage principal

appréhendé les deux œuvres comme les versions d’une même histoire tant elles traduisent le même climat singulier et oppressant, la même attente hébétée de la guerre. Le choix du sujet, le lieu du récit, le mode de traitement narratif étonnent peu en vue du reste de l’œuvre de J. Gracq et pourtant, dès sa publication, Un balcon en forêt dérange la critique, déçoit le public, est assimilé à un « exercice de style », à l’une de ces banales « histoires militaires (qui) retombent trop souvent dans la répétition

grand repas ou après l’épuisement d’un acte érotique, la jeunesse est le remplissage, plus que le plein de qui parlaient les Éléates, parce qu’elle donne la possibilité de la déification de la terre, quand les choses du monde obtiennent des ailes imaginaires et elles deviennent un axis mundi. La jeunesse appartient de plénitude, de ce que l’écho de l’être laisse derrière lui, quand le temps devient un horizon ouvert et la mort devient, aussi, une simple ouverture au début d’un spectacle. Si les individus