Hippolyte Fontaine

rêve de prendre toute sa place. On retrouve cette dimension dans la poésie ; c’est le cas du poème « Déjà la nuit », où Du Bellay évoque notre monde dans un cadre fantastique. Dans un autre registre littéraire, on peut citer les fables de La Fontaine (« Le gland et la citrouille ») ou même encore le conte philosophique « Candide » de Voltaire, où à première vue, l’histoire racontée suscite la curiosité du lecteur et son intérêt ; et dans un second temps, cette fonction distractive va s’effacer

nombreux défauts : « méchants » qui ne changera jamais, à qui on ne pourra jamais faire confiance, avec qui on ne peut pas faire la paix. Morale explicite qui dit clairement la déloyauté de certains, les empêchant ainsi de collaborer avec eux. La Fontaine voit la société comme un tout, où chacun dépend des autres. La Paix ne peut se fait pas avec des « ennemis sans foi ». Ici, il n’accepte pas cette partie de la société, mais il appelle plutôt à une résistance. On est bien en présence d’une satire

La Fontaine : philosophe, s’inscrit dans l’idéal de l’honnête homme=> recherche la sagesse « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ;Mieux vaudrait un sage ennemi » => dénonciation des excès=> modération dans les désirs« Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras »Le petit poisson et le pêcheur => éloge de la médiocrité« La pauvreté vaut mieux qu’une telle richesse.Retirez-vous, trésors, fuyez ; et toi, Déesse,Mère du bon esprit, compagne du repos,O Médiocrité, reviens vite. »=> mais éviter de

a affaire a une Chêne et un Roseau qui signifie alors la loi du plus fort face au plus faible, mais aussi la loi de la nature pour ces deux végétations. Jean de La Fontaine a écrit cette fable puis Jean Anouilh la réécrite a sa manière Nous allons comparer les deux fables en commençant par celle de Jean de La Fontaine: La Fontaine décide de faire parler en premier dans sa fable Le Chêne pour montrer directement son signe d'autorité envers le Roseau. Dans sa manière de parler on ressent de la

La Fontaine, l’un des auteurs français les plus renommés grâce aux fables qu’il a écrites au 17ème siècle et qui font de lui l’auteur classique par excellence, n’est pas seulement un moraliste qui étudie, analyse d’une façon générale, universelle le comportement des hommes, leurs qualités et surtout leurs travers. Il se fait aussi parfois l’observateur lucide et féroce du monde qui l’entoure, en se livrant à une satire plaisante du milieu de la Cour. Les animaux lui servent donc parfois de truchement

frivoles & manipulateurs.On peut mettre en parallèle ce portrait sur la Cour & une fable de la Fontaine ; « Les Animaux malades de la peste ». Les auteurs insistent sur leurs capacités à séduire les puissants mais les critiques de La Fontaine vont + loin et dépassent la légèreté ironique de La Bruyère. Il dénonce l’injustice sociale qui nait de ces arrivistes & de ses manipulateurs. Selon La Fontaine il ne faut pas sous-estimer le pouvoir des courtisans.

comme étant Jean de La Fontaine, le célèbre poète. Déconcerté, amusé et plus encore, Rousseau se décida à l'amener aux Roi. -Majesté, j'ai quelqu'un à vous présenter. Un être extraordinaire je puis vous l'assurer. Prétendant venir du siècle dernier, j'ai préférer vous l'apporter. Louis XV, dans toute sa splendeur, s'adressa à La Fontaine : -Votre visage m'est familier. Qui prétendez vous être ? -Jean de La Fontaine Excellence . -La Fontaine ? Vous lui ressemblez en

Le Rat et l’Eléphant » de LA FONTAINE et un extrait des Mémoires de SAINT-SIMON. Ces textes représentent tous l’homme par rapport à la société et le critiquent, quoi que de façons différentes. En effet, ces trois textes dénoncent l’importance aux yeux des hommes d’appartenir à la société et le fait qu’ils se veulent et se croient toujours supérieurs, n’hésitant pas, pour s’assurer une bonne position sociale, à se montrer hypocrites quand il le faut : La Fontaine annonce que « Se croire un personnage

-Jean de La Fontaine: Jean de la Fontaine s’est inspiré de fabulistes de l’antiquité comme Esope ou Phèdre, de ceux du moyen-âge comme Abstenus ou encore de ceux du III ème siècle comme l’indien Pilpay. Jean de la Fontaine a renouvelé le genre, ses nouveaux récits en vers développent les péripéties, les décors, les personnages et se détachent de la brièveté ésopique et du conte animalier. Il introduit l’humour et met de plus en plus d’humains en scène (ex la laitière et le pot de lait ou encore

Jean de la Fontaine (1621-1695) Les animaux malades de la Peste. Introduction : La Fontaine caractérisait l’art de la fable de la manière suivante : “En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire.” L’avertissement de son second recueil de Fables indique au lecteur que le fabuliste “a jugé à propos de donner à la plupart de celles-ci un air et un tour un peu différent.” Première fable du livre VII et donc première de ce nouveau recueil de 1678, Les animaux malades de la Peste mettrait donc