Hiatus

reçu et servant de règle de croyance, de fondement à une doctrine) 
empathie : identification affective à une personne ou à une chose
 
éponyme : personnage qui donne son titre à une œuvre 
esprit critique : esprit qui soumet tout à l’examen
 
hiatus : Juxtaposition de deux voyelles dans un mot ou entre deux mots (ex. jouet)
 Déictique : pronoms, indices spatio-temporels. Déisme : opinion, croyance de ceux qui admettent l’existence d’un être suprême mais qui refusent de lui appliquer toute détermination

« se rappeler quelque chose », « se souvenir de » quelque chose. 5) Une négation à l’écrit se compose toujours de deux éléments : « ne + pas » ; « ne + plus » ; « ne + jamais » ; « ne + que »... 6) Il faut écrire « s’il » (sinon, il y a un hiatus, c’est à dire rencontre de deux voyelles). 7) Attention à l’orthographe des mots suivants : Absence ; ailleurs ; apercevoir ; au cours de ; avoir trait à Bouleverser Cauchemar ; un champ lexical ; certes Davantage ; développer ; discussion ;

semble que le poète ne soit plus maître de lui au point d'aller à l'encontre du bon sens populaire : (à que je crois que les biens me viendront en dormant è',. Ce paradoxe est aussi illustré par une autre hyperbole : 44 et hais tant le travail ,, où le hiatus or et hais de illustre, par harmonie imitatives tout le dégoût du poète pour un des oir imposé par Dieu lui-même lors de la Chute: fr t'u gagneras ton pain à la sueur écu ion front $$ tin La Bible, çç Genèse ))). Saint-Amant, par ce dégoût affiché

en évitant un pluriel qui allongerait le vers d’une syllabe. Le dernier vers qui constitue une sorte de chute, n’utilise pas le terme de « mort », mais encore la métonymie, ici la conséquence pour la cause. Les assonances en « ou » forment un hiatus encore plus brutal que dans « bouche ouverte », brutalité renforcée par l’alternance des dentales et des gutturales. « Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit » L’adjectif, rejeté en début de vers, laisse planer une menace avec le prolongement

Dès le premier mot de la remarque 42, LB généralise son propos par la triple répétition de « l’on ». Ici, la tournure évoque l’homme en général et la présence de l’apostrophe joue un rôle euphonique dans les deux dernières reprises en évitant le hiatus avec « et ». Une remarque courte doit claquer comme une sentence, sa fluidité est primordiale. Les marchands ne sont pas nommés mais le choix des verbes est explicite : ouvrir, étaler, fermer traduisent les temps forts de leur journée. Peu

aporie : si la connaissance de soi semble impossible, elle n’en demeure pas moins comme l’horizon de toute conscience de soi et le fondement de toute identité. S’efforçant de dépasser une telle aporie, nous examinerons dans un premier temps le hiatus qui sépare conscience et connaissance de soi, puis nous verrons en quelle mesure toute conscience de soi, loin de rendre possible cette connaissance, est au contraire ce qui nous en détourne ; enfin, nous nous demanderons si cette identité que nous

l'obsession hugolienne. = DISCOURS FRATRASIQUE plus profond que ce que l'on pourrait croire. « Je vends des drogues et je donne des idées » → aux portes du zeugma[*] Ex. Booz endormi, V. Hugo : « vêtu de probité candide et de lin blanc » = HIATUS SYNTAXE / RÉEL VENDRE – DONNER = concrétude. ≠ idées, qui grâce à cela prennent une VALIDITÉ. Pourquoi ne va-t-il pas jusqu'au bout ? Donner des idées = GRATUITÉ , qui donne ce qui est INCOMMENSURABLE → Grandeur de la mission. U. oblige les autres

abstrait Venise est peinte pour son carnaval par les veduisti (peintres de vue) comme Canaletto ou Guardi. * Quentin de La Tour peint des pastels « Mme de Pompadour » « Jean – Jacques Rousseau » * En peinture : Hiatus (décalage) entre la politique engagée et la peinture frivole ou intime. Genres à la mode : * Fêtes galantes (Watteau, Fragonard, Tiepolo, les vedutisti vénitiens prennent pour modèles les plaisirs de l’aristocratie) * Nature morte (Chardin)

abab • rimes suffisantes : homophonie de deux voyelles ; rimes pauvres : identité d’une seule voyelle ; rimes riches identité de trois éléments. • Allitérations et assonances – le compte des syllabes : diérèse (li-on) et synérèse (lion). Les hiatus sont interdits : (rencontre de deux voyelles : un bateau ôté). –e ne se prononce ni à la fin d’un mot si le si le mot suivant commence par une voyelle, ni à la fin du vers ,mais il se prononce entre deux consonnes. Le sonnet régulier, d’origine

jamais compté. C’est ce qu’on appelle l’apocope de l’e caduc. Exemple : « J’ai du bon tabac / Dans ma tabatière. » - l’hiatus : on parle d’hiatus quand deux phonèmes vocaliques sont en contact immédiat sans qu’il y ait élision du premier. Le hiatus a été interdit pour des problèmes graphiques Exemple : « Et, durant tout un jour, j’ai eu toute Venise. » Henri de Régnier. - la diérèse (division) : elle divise deux sons normalement lus liés. La diérèse est en général un mode de soulignement