Hiatus

thème de la rencontre - lieu : rue de Paris : lieu anti-poétique par excellence(tandis qu'un poète classique attend la beauté d dans un lieu historique par exemple le colisée et le MontParnasse - le bruit assourdissant :assonance en «u» et en «é» et hiatus « moi hurlait » : son désagréable - la femme fascinante par sa perfection physique,mystère de la douleur ,élégance du vêtement et de la démarche, progression de la longueur des groupes Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, (2+4+6) :

son apogée, et nous voyons un apocalypse naissant, et l'effondrement des valeurs du poète. 1. L'apocalypse : Cet apocalpse se structure en 2 temps : - le temps sonore : le poète recherche ici la cacophonie par de très divers sons désaccordés. Le hiatus entre autres est synonyme de laideur, avec " affreux hurlement ". On remarquera aussi une diérès à " opiniâtrement ", sur le " a ", que Rimbaud voit noir. Les assonances en " i " imitent le bruit strident des cloches. Les allitérations en " k, l,

quatrain à l’autre V12 lié très fortement au v10 « ces bons soirs de septembre » v10 « où, rimant au milieu des ombres fantastiques » v12 Fantaisie « comme des lyres » terme très poétique qui devient « un délire » Laideur du mot « paletot » (v2) ( hiatus Assonance en [u] « doux frou-frou » (v8) Assonance en [e] « De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur » (v14) Césure mal placée au v1 et 13 ( situé après à la 4e syllabe, normalement situé après la 6e syllabe : organisation 4/8 Voyage

déchaînement (v.13,14) : adv des tps, soudaineté ac l'allitéra° en ''t'' . Bruit qui contraste entre silence carcéral des strophes précédentes et le cri de douleur intérieur qui résonne ds le lexique : ''cloches''v.13 et ''affreux hurlement'' v.14 = hiatus imposé par le H inspiré(pas de liaison),antéposi° d'affreux. Mouvements soudaibs (''sautent ac furie'' et ''lancent''). Rythme saccadé v.13 par accumula° de mots monosyllabiques et dissyllabiques. On passe des cloches aux esprits = déspérance

sur le canal, la langue, le registre          - métalinguistique : lorsque la langue est utilisée pour commenter la langue : dictionnaire galvauder : gâcher, avilir par un mauvais usage hémistiche : nom donné à un demi vers, moitié d'un vers. hiatus : Juxtaposition de deux voyelles dans un mot ou entre deux mots (ex. jouet) hypertrophier : augmenter de volume, accroissement important de la taille idéologie : ensemble des idées politiques, morales, sociales, philosophiques, religieuses propres

- Les tercets commencent par l'affirmation du pouvoir de l'amour. Personnifié, il joue le rôle de tyran de l'amante :"Ainsi Amour inconstamment me mène". La femme "me" complément d'objet, subit l'action du sujet "Amour". - Le jeu des sonorités : hiatus "Ainsi Amour", assonance en "a", allitérations en "m" scande ce vers éclairant le sens du poème. La poétesse ne peut plus que faire le constat de sa défaite : "quand je pense" v.10 , "quand je crois" v.12 expriment l'annihilation des certitudes. L'amour

Cette rencontre se réalise dans un contexte sonore dont on souligne l’aspect DEPLAISANT : « rue assourdissante, hurlait » comporte des insistances phonétiques : -allitération de « r » =dureté -assonance en u =stridence (aigu perçant) -double hiatus symétrique (succession de 2 voyelles appartenant a des syllabes différents) rue assourdissante et moi hurlait : L’hiatus qui rend la phrase difficile a articulé a tjrs pour effet d’amplifier la rugosité du vers. B) L’apparition de la passante

conséquences imprévisibles de celui-ci. Ce rapprochement conduit le lecteur à s’attendre à une suite de malheurs. A partir de là, Voltaire s’amuse à détourner tous les éléments propre au merveilleux pour s’en moquer. L’aristocratie est ridiculisée de par le hiatus entre la réalité des faits et la prétention du Baron. En effet, sa puissance est tournée en dérision : le château avec une porte et des fenêtres, une meute de chiens dans le besoin, une seule tapisserie, un grand aumônier, des palefreniers qui sont

(cœur) - Finie en L4 où elle se divise. - En thoracique donne collatérales pour membres supérieurs et la tête. - En abdominal donne collatérales pour viscères intra péritonéaux et rétro péritonéal. Aorte thoracique - Valve aortique = hiatus aortique. - Crosse de l’aorte = Ao ascendante, aortique, descendante. - Donne bronches à visées brachiales et céphaliques. - Membres supérieures vascularisés par l’artère sous-clavière. - Aorte thoracique devient abdominale en passant au niveau

- Les tercets commencent par l'affirmation du pouvoir de l'amour. Personnifié, il joue le rôle de tyran de l'amante :"Ainsi Amour inconstamment me mène". La femme "me" complément d'objet, subit l'action du sujet "Amour". - Le jeu des sonorités : hiatus "Ainsi Amour", assonance en "a", allitérations en "m" scande ce vers éclairant le sens du poème. La poétesse ne peut plus que faire le constat de sa défaite : "quand je pense" v.10" quand je crois" v.12 expriment l'annihilation des certitudes. L'amour