Hiatus

Baudelaire n’est pas un traditionnel sur l’installation de son décor qui est plutôt urbain avec une rue bruyante et réaliste dans laquelle le poète est présent physiquement. * La rue personnifiée : métonymie : ‘hurlait’ (l.1) * Présence d’un hiatus (quand deux voyelles se suivent) : ‘rue assourdissante’ (l.1) La présence de la femme dans ce décor urbain va arracher le poète de son spleen. II) Un portrait de femme ambigu 1) L’éloge de la beauté féminine * Cette femme incarne :

français En poésie c'est Malherbe qui, dès le début du XVII siècle, impose des règles strictes pour obtenir une harmonie parfaite: il chasse les mots impropres, réglemente les rimes, impose le respect de la césure, proscrit l'enjambement et le hiatus. En peinture ou en architecture, la symétrie, la proportion mathématique et l'harmonie des formes s'imposent petit à petit. Les jardins sont censés formés eux-même un ensemble cohérent avec les bâtiments. Dans tous las arts c'est le vrai idéal que

"feu" nouvel élément , est présenté sous forme d'anaphore.Marot donne une définition qui le rend catégorique à l'égard de la dame et pourtant le feu provientde la neige, d'où il est en contradiction, démontré par la ponctuation. "l'expérience.." hiatus : il y a cohabitation de deux voyelles dans un même mot . Ici "ie" mise en évidence par l'inversion etinsistance sur la diérèse "ri". Il évoque ce qui le conduit à se monter de cette manière. "ai-je" restitue l'unité du texte "ai-je"="neige". "car"

direction du discours. Un mot n’a de sens que dans un contexte, une phrase et ensemble de phrases. Si on ne maîtrise pas simultanément ces 3 niveaux de perception intellectuelle d’un message, alors la com. est imparfait et génère des quiproquos, des hiatus…

C'est tout le vacarme de la rue moderne qui est exprimé d'abord:     - par la personnification de la rue     - par la distance entre le sujet "la rue" et le verbe "hurlait", comblé par la présence de l'adjectif "assourdissante"     - par deux hiatus (succession de deux voyelles appartenant à des syllabes différentes, ici "rue assourdissante" et "moi hurlait") qui sont, eux aussi évocateurs de vacarme. Il est important dès le premier vers de faire saisir que si la rencontre, la communication entre

déplaisant. C'est tout le vacarme de la rue moderne qui est exprimé d'abord:     - par la personnification de la rue     - par la distance entre le sujet "la rue" et le verbe "hurlait", comblé par la présence de l'adjectif "assourdissante"     - par deux hiatus (succession de deux voyelles appartenant à des syllabes différentes, ici "rue assourdissante" et "moi hurlait") qui sont, eux aussi évocateurs de vacarme. Il est important dès le premier vers de faire saisir que si la rencontre, la communication entre

esprit, parce-qu’il pense, et sait qu’il pense parce-qu’il parle. Et enfin dans le troisième paragraphe, un thèse humaniste se dégage : qui sépare totalement le règne humain du règne animal en revenant sur l’opposition Nature et Culture et qui pose un hiatus en l’être humain et l’animal. Ce texte nous invite donc a nous poser la question suivante : Le langage, la communication est-il une propriété réservé exclusivement à l’homme ? Dans ce texte, Descartes formule la thèse suivante : Le langage, est

livre résume parfaitement la pensée de son auteur, qui révise dès 1937 certains de ses développements, mais parce que sa destinée répond pleinement aux ambitions de Keynes, placées sous le double signe de la théorie et de l’action économiques. Face au hiatus flagrant entre l’optimisme de la théorie libérale “orthodoxe” et la durée de la crise des années trente, Keynes théorise la possibilité d’un équilibre durable de sous-emploi et fonde la nécessité d’une intervention de l’Etat. La Théorie générale est

périssable, traversée par l'appel de la verticalité conquérante. D’une manière beaucoup moins pessimiste, « La Flûte »14 traite des faiblesses de notre condition limitée face aux virtualités illimitées de l’esprit. Pour l’auteur, l’homme qui constate ce hiatus sans renoncer à assumer « la majesté des souffrances humaines »15 n’en est que plus digne. « La Bouteille à la mer »29 et « L’Esprit pur »30, se font écho et se complètent, liés qu’ils sont par la réflexion du poète sur la supériorité de l’œuvre

« hors de peine » voc du malheur 14 vers : le malheur est l 'expérience première, la joie ne parvint pas à rompre le cycle du malheur Certes il y a de la musicalité mais elle est heurtée néanmoins par endroit cela montre le malaise de la souffrance : hiatus « au » « haut » mais en partie effacé par les liaisons II ) de la souffrance à la folie A) le dissidio (déchirement) pétrarquiste 1 vers dédoublement de la première personne avec verbes réfléchis (= prodonime) « je me brule et me noye »