Héroï-comique

riche nous livre les réactions de Lisette et la surprise comique d'Arlequin de n'être pas chassé par sa "charitable dame". Tout s'explique dans la troisième étape lorsque Lisette se démasque à son tour. Marivaux dans ce double aveu utilise à la fois le contraste et la symétrie. Lisette se distingue d'Arlequin par sa finesse. Après l'aveu du valet, elle prolonge son incognito pour se moquer un peu de lui. La symétrie produit un effet comique, celui de la répétition. En effet, Lisette reprend de manière

ici, récit fictif. ← Par regard naïf 2 pers, on voit la France. ⇨ Une incitation à réfléchir, un compte rendu par le biais de leur regards « décalés », « étonnés » ( regard déconcertant de cette situation à Paris. - Registre comique (caricature des femmes avec hyperboles (donne à voir le ridicule), ton humoristique, une inversion des valeurs dans cet extrait (ex : architecte qui doit s’adapter à la rapidité de changement de la mode) etc.) ( texte fantaisiste. Problématiques :

intéresserons aux procédés dramaturgiques de la métamorphose, puis, dans un second temps nous analyserons la confrontation entre les personnages qui révèle une impossible communication. Enfin, nous nous demanderons si cette pièce appartient au registre comique ou tragique. I – Les procédés dramaturgiques (= théâtraux ) de la métamorphose 1 ) L'espace - Double espace : * La chambre de Jean, visible par les spectateurs. * La salle de bain située hors scène où a lieu la transformation de Jean. =>

avec Les Précieuses Ridicules. Son théâtre est comique avec la farce, et avec l’héritage Italien de le Commedia Dell’arte. Il emploi aussi les comédies de mœurs et de caractère. Arnolphe à découvert qu’Agnès s’est éprise d’Horace. Il lui a interdit de répondre a ses avances. Il a essayé de la remettre dans le droit chemin en lui faisant lire « Les Maximes du Mariage ». Agnès a désobéi, on l’apprend dans cette scène. On est ici dans le registre comique. Dans la scène III : Monologue d’Arnolphe. Très

Plan I. Une scène comique mais aussi une réflexion sur le mariage. 1. Les procédés comiques 2. Une scène dynamique 3. Une réflexion sur le mariage II. Une scène de quiproquos et des contrastes ; les relations entre les personnages 1. Quiproquos 2. Contrastes 3. Complicité I. Une scène comique mais aussi une réflexion sur le mariage. 1) Les procédés comiques - Jeu de masques qui rendent la situation comique - Comédie de mots : « mon père qui était avec ma femme » dit

A. La Fontaine insiste sur les aspects positifs et instructifs des fables, tout cela en dénonçant par la même occasion les discours des harangueurs de façon ironique et satirique. Le registre comique est présent, plus particulièrement le comique de situation. Le comique de situation est avant tout la ridiculisation de l’orateur envers son peuple qui n’arrive pas à se faire écouter envers son peuple, ce qui est plutôt amusant pour un homme qui a l’habitude de faire des discours

Il s'agit de s'interroger sur l'essence du comique qui permet de comprendre quels sont les différents ressorts du comique et quelles sont les différentes comédies. On peut définir le comique comme ce qui suscite le rire, mais le propre de la comédie est d'adord de procurer un sentiment de détente, de divertissement. Elle permet à l'individu d'échapper à la réalité de la vie quotidienne. Le premier critère de définition est celui du rang médiocre des personnages par opposition au rang élevé des personnages

appréhenderons le mélange des registres, avant d'étudier, dans un second temps la confrontation de Bérenger a sa non transformation. Dans ce monologue on peut constater que plusieurs registres sont mis en avant: le registre fantastique, le registre comique et dramatique. En effet on peut voir un registre fantastique car les habitants se transforment : en « rhinocéros ». La transformation se réfère au fantastique. L'auteur met en évidence la beauté supérieure des rhinocéros par apport a l' homme « je

ou l'Ecole du Mensonge, écrite en 1668 par Molière, Harpagon est un bourgeois avare, père de deux filles Cléante et Elise. Lors d'un dialogue entre l'avare et le valet de sa fille Cléante, appelé La Flèche, ce dernier use d'un aparté renforçant le comique de la scène. Même si le spectateur se sent alors proche de ce personnage, cette action n'est pas naturelle et demeure artificielle. L'auteur doit faire face à la difficulté d'exprimer les pensées des protagonistes (...)

railleurs et méchants il était simplement ridicule 7. » M. Laubreck restera risible jusqu’à son enterrement, enfermé dans son personnage, comique malgré lui, devant un public sans indulgence. Le risible, comédien involontaire, se donne en spectacle, entre en représentation. Il est l’insociable, l’excentrique, le vaniteux. La misanthropie d’Alceste n’est comique que par son intransigeance ; isolé au milieu d’un monde dont il ne souffre l’hypocrisie, le personnage de Molière est risible dans son incapacité