Hépatite B

attestation vaccinale du médecin traitant) Résultats de la prise de sang (sérologie) Résultat de la dernière IDR (test à la tuberculine), si disponible ( Formulaire du Fonds des Maladies Professionnelles (complété) *) (**) ( ) * (Si non vacciné(e) Hépatite B et/ou immunité insuffisante (sérologie)) ( ) ** ( Uniquement pour étudiant(e)s de nationalité belge) N.B. : Pour les étudiant(e)s de nationalité française : copie des pages vaccination , BCG et monotest (IDR) du carnet de santé. 

pas ce qui est arrivé à Nada ni le genre de vaccin qu'on lui a injecté. Autre cas similaire mais plus grave. Le vendredi, 4 février 2000, Hasnaâ Diwane accompagne son fils Achraf, 19 mois, au dispensaire du quartier pour le vacciner contre l'hépatite B sur le conseil de son pédiatre. Après avoir subi l'injection de l'Engerix.B, le bébé pleure sans cesse. La maman mettait les larmes de son fils sur le compte de la douleur engendrée par la piqûre. Dimanche, le petit est paralysé de la jambe gauche. Paniqués

l’hôpital) + collations pendant la nuit Il est suivi par la diététicienne. ANTECEDENTS ET TRAITEMENTS : Hépatite C traitée il y a une quinzaine d’années par interféron = ttt efficace, guérison. Hépatite B d’abord traitée par interféron mais le ttt n’a pas été efficace ; cela a permis le développement de l’hépatite D. Hépatite D : virus ne peut se propager qu’en présence du virus de l’hépatite B. Elle est responsable de complications plus graves que celles dues au VHB : notamment un risque plus

développent un cancer du foie à un moment donné de leur vie. À l’échelle de la planète, le cancer du foie est beaucoup plus fréquent en Asie du Sud-est et en Afrique de l’Ouest. Cela est principalement dû au fait que l’infection par le virus de l’hépatite B*, plus fréquente dans ces deux régions, augmente le risque de cancer du foie. Aux États-Unis et en Europe du Sud, le virus de l’hépatite C* est souvent une cause d’apparition du cancer du foie. En 2008, environ 40000 hommes et 20000 femmes ont été diagnostiqués

d’analyses du patient source. Car en effet, j’étais plus angoissé que l’infirmière qui avait subi l’AES car je pensais que s’aurait pu m’arriver à moi. Mais au final les analyses sont revenues négatives aux différentes maladies transmissibles (VIH, Hépatite B et C, etc…).

 DON D’ORGANE ET TRANSFUSION Un don pour la Vie Lukas Dousson 3°P Sommaire Introduction A. Don d’organe I- Qui ? 1- receveurs 2- donneurs II- Quand ? III- Pourquoi ? IV- Législation B. Transfusion I- Qui ? 1- receveurs 2- donneurs II- Quand ? III- Pourquoi ? IV- Législation Conclusion Introduction Le don d’organe et la transfusion consistent à donner un organe (dans un centre hospitalier) ou du sang (dans les centres de transfusion

Forte prévalence de l’alcoolisme (lié au nouveaux dispositifs plus sanctionnant de la sécurité routière) et de toxicomanie (consommateurs ou revendeurs de produits illicites). Forte prévalence du VIH et des hépatites B et C. RISQUES AUGMENTES PAR L’INCARCERATION : Incarcération/ enfermement Attente d’une date de jugement Condition d’exécution des peines Isolement affectif Inactivité Promiscuité (il faut vivre les uns à coté des autres) RISQUES :

a O² le 14 a 1L/min. En sevrage depuis le 19 diminution progressive. Tentative d'arret le 20 de 7h à 10h => a 10h 88% => remise sous lunette a O² 0.2L/min Traitements: clamoxyle, paracetamole, DRP, Kiné, aérosol de ventoline. Vaccination: DTP, hépatite B, BCG Situation actuelle Constitution de l'équipe 5 infirmières dont 1 en éducation pour les diabétiques + 1 stagiaires 3 auxiliaire de puéricultures + 1 stagiaires intervention de la kiné Nombre d'enfants présent ce jours Ce jour

de risque biologique A-3) Activités et entreprises lié au risque biologique A-4) Identification des dangers A-5) Les modes de transmission B) Etude sur le risque biologique B-1)Evaluation de risque biologique B-2) Les risques biologique en milieu de travail (Exemple) B-3)Maitrise de risque biologique B-4) L’obligation légal B-5) Prévention de risque biologique B-6)l'analyse coûts-bénéfices C) Conclusion A 1 ).STATISTIQUE  Selon les donnés de l’enquête SUMMER 2003 présenter hier dans le risque

prof sociales et affectives Hépatide B/C 500 milles le nombre de porteurs chronique virus B et C Transmission : voies sexuelles, sanguines, foetus, maternité Hépatite C souvent sanguin chez souvent toxico, intervention chirugicales, tatouage ou piercing. Le gouvernement a mis en place en 2009 un plan national contre ces 2 hépatites dans lesquelles il recommande : - augmentation de la couverture vaccinale des enfants/ ado contre le virus de l'hépatite B - de proposer systematiquement un depistage