Henry Morton Stanley

des premiers missionnaires. Expédition scientifique anglaise à l'embouchure du Congo. Le chef de l'expédition meurt après avoir dépassé les premières cataractes. 17 décembre : Léopold II monte sur le trône de Belgique. Traversée de l'Afrique par Stanley, de Bagamoyo à Boma. 12 septembre : Première réunion de la Conférence Internationale de Géographie de Bruxelles. 14 septembre : Création de l'Association Internationale Africaine (A.I.A.). Quatre expéditions belges partent successivement de la côte

son embouchure, explorée par le portugais Diogo Cão en 1482. Et le pays portera son nom dès la création en 1885 de l’état indépendant du Congo par l’intrépide et implacable explorateur britannique Henry Morton Stanley. Lors d’une autre expédition, en 1879-1884, de Boma jusqu’au delà de Kisangani, Stanley fera également la démonstration, armes au poing, que le fleuve est le premier axe de pénétration du pays. . 5ème STATION Heureux de vous accueillir à notre cinquième station : Pêche et poissons

tenté de reconnaître les sources et le tracé des fleuves ( axes de pénétration) tout au long du siècle. Expéditions du français René Caillé (1827/1829) dans le bassin du Niger et le Sahara occidental Expéditions de Livingstone (1846/1873) et de Stanley (1874/1877) dans les bassins du Zambèze et du Congo expédition allemande ( Rohlfs, Scheinfurth et Nachtigal) entre 1862 et 1874 vers le haut Nil et le Sahara occidental. Diapo 3 : Shacleton dans l'Antarctique: photographie de trois des membres de

Maroc (1911). L'Empire Italien comble son retard au XIX ème siècle en annexant la Libye (1912) et l’Éthiopie (1935-1936) ainsi que l’Érythrée et une partie de la Somalie. L'empire Belge possède en 1939 comme unique colonie le Congo grâce à Henry Morton Stanley. Au service de l'association internationale africaine, fondée par le roi des Belges, Leopold II, il reconnaît les rives du fleuve Congo (1878-1880) et est à l'origine de la création de l'état indépendant du Congo en 1885. Il ouvre ainsi, tout

telles les nombreuses références dont profite cette œuvre (Hamsun, Platon, Pascal, Sénèque etc.), son humour, sa réflexion sur la valeur de l’Art et de la beauté,… Renoncer donc, c’est ce que je ferai, à l’image du bien bel anti-héro qu’est Marco Stanley Fogg. Je me livrerai ici à ce qui m’a le plus directement frappé dans cette odyssée : la précision du miroir psychologique qu’elle constitue. Bien sur, ce thème est inhérent à la littérature, qui peut en effet prendre sa majestuosité dans la dénonciation

Le Congo a d'abord été colonisé par la Belgique pendant 80 ans, puis a réclamé l'indépendance, mais s'en est suivi une longue période de dictature jusqu'à récemment. Congo Belge Le Congo a commencé à être colonisé de 1876 à 1883 par Henry Morton Stanley, envoyé au Congo par le roi Léopold II de Belgique. Ce pays est resté la possession personnelle du roi Léopold II jusqu'à fin 1908. Par la suite, à cause du gouvernement Britannique qui critiquait des soi-disantes pratiques esclavagistes au

l’étude de la diplomatie. On prendra alors en compte aussi bien le rôle des hommes que celui des Etats et des structures. S’ouvrira alors un débat sur la question du sens de l’histoire et du poids des individus à cet égard. Jean-Baptiste Duroselle et Henry Kissinger sont, entre autres, des exemples de cette démarche7. 2. Les approches juridiques. Paul Reuter, Georges Scelle, Hans Kelsen, W. Friedman et Georges Fisher sont quelques-unes des figures marquantes qui bâtissent une approche des relations internationales

de Muriel Box et de Sydney Box. Avec Richard Attenborough (Francis Andrews), Michael Redgrave (Richard Carlyon), Joan Greenwood (Elizabeth), Jean Kent (Lucy), Francis L. Sullivan (Braddock), Ronald Shiner (« Harry le Cockney »), Basil Sydney (Sir Henry Merriman), Ernest Thesinger (Mr Farne), Felix Aylmer (le prêtre), Allan Jeayes (Sir Edward Parkin Ŕ le juge dans le film), Ralph Truman (l’homme de l’interrogatoire), David Horne (docteur Stanton), John Olson, Charles Rolfe, George Merritt, Maurice

internationales à partir de l’ouvrage : Ariel COLONOMOS, La morale dans les relations internationales, rendre des comptes, Odile Jacob, 2005, 357 p. « La guerre froide, un temps où mieux valait avoir tort avec Henry Kissinger que raison avec Mère Teresa »[1]. Une longue réflexion universitaire sur les relations internationales centrées sur l’éthique et la morale[2]. Docteur en sciences politiques, l’auteur est chercheur au Centre national de recherche

par de grandes maisons d’éditions comme Hachette. L’intuition de l’attente du public a valut aux auteurs comme Caillé, Barth ou Livingstone de grands succès littéraire. Ces récits d’exploration ont aussi connu un ressort romanesque grâce à Henry Morton Stanley avec son récit « Comment j’ai retrouvé Livingstone » avec la célèbre question « Le docteur Livingstone, je présume ? ». La traduction française de cette épopée parut en 1874 chez Hachette. Elle fut complétée par des illustrations signées Emile