Hémophilie

mais ils ont insisté sur la nécessité d'accomplir ce rituel religieux. Ainsi, le Talmud ne dispense un enfant de la circoncision que si deux frères ou neveux du côté maternel sont décédés en raison de la circoncision, probablement en raison d'une hémophilie héréditaire. Al-Nazawi (d. 1162) mentionne la dispense de circoncire un enfant qui appartient à un groupe dont on sait que les enfants risquent de mourir à la suite de la circoncision. Al-Jahidh (d. 868) décrit quelques complications de la circoncision

20 %), des maladies neuromusculaires et/ou mentales dont les manifestations sont retardées (myopathie de Becker, maladie de Charcot-Marie-Tooth, X fragile, maladie de Huntington : ~ 17 %), des maladies hématologiques (drépanocytose, thalassémie, hémophilie : ~ 14 %). Enfin, un ensemble non détaillé de différentes maladies (~ 24%) comprenant en particulier les maladies du métabolisme et certaines formes héréditaires de cancers de l’enfant. » (434) Les questions éthiques soulevées par le