Heidi Montag

documentaire. Il faut donc juger les œuvres dans leur globalité, sur un ensemble de critères plus ou moins subjectifs, parmi lesquels on peut citer les intentions de l'auteur, le synopsis, la durée du film, les choix de cadre, la sophistication du montage, l'habillage sonore et musical, les techniques utilisées, le langage, le traitement du temps, l'utilisation d'acteurs, les reconstitutions, les mises en scènes, l'originalité, ou encore la rareté. Il est aussi possible de distinguer le documentaire

sur la subjectivité. Par ailleurs, nous avions tourné lors de la séquence 7 un plan en particulier qui permettait de se mettre dans la peau du personnage, heurté par un passant "imaginaire"... Ce plan qui n'a pas été retenu finalement dans le montage utilisait la technique de la caméra subjective, et me plaisait particulièrement... Au moment où il s'est agi de réfléchir à une problématique sur le cinéma, je me suis dit qu'il serait intéressant de me pencher sur l'utilisation subjective de la

forum.free.fr 16/2/2012 17:06:17 - 4 Le découpage aboutit à la numérotation de tous les plans, séquence par séquence. C’est à partir de ces numéros que la scripte pourra s’assurer qu’il ne manque aucun plan, et qu’on les retrouvera facilement au montage. Ce sont d’ailleurs ces numéros qui figurent sur le clap, filmé à chaque début de prise. · Le story-board : Le story-boarder dessine ensuite un petit croquis pour chaque plan, à la manière d’une bande dessinée. Il s'aide de flèches pour représenter

pas imaginer des temporalités très diverses qui peuvent s’accorder ou se confronter ? Est-ce que rythme et mouvement du film ne sont pas finalement le fait de faire surgir du sens de l’image ? Comment construit-on un rythme au cinéma ? - tempo, montage, accélérations, ralentissements, plan, mouvement à l’intérieur des plans, composition d’un plan. Or le point de vue de Bresson est le suivant : dissocier les deux points de vue du film, intériorité des personnages qui ne relèvent pas de l’intériorité

laquelle on peut agir, mais cette réalité est toujours montrée du point de vu de son réalisateur. Le genre documentaire en général rencontre pourtant de nombreux problèmes. En effet il est très difficile pour un documentaire d’aboutir, une fois le montage réalisé, chose pas toujours évidente, il reste la question du financement. Très peu de documentaires sont aujourd’hui médiatisés, il existe très peu de débouché à l’exception de festivals comme le FID de Marseille ou encore de chaines culturelles

« Le montage des attractions » ou « d’attraction » vient de son passé dans le théâtre avant que Eisenstein ne se lance dans le cinéma avec « la grève » ou encore « le cuirassé de Potemkin » en 1925 C’est avec « le journal de Gloumov » qui est une pièce de théâtre avec une partie filmique qu’est apparue cette nouvelle notion. Pour lui attraction voulait dire plusieurs chose que ce soit l’attraction foraine, mais voulait surtout dire burlesque qui met en jeu le corps de façon excentrique un peu exagérer

Le mixeur : Un mixeur est la personne qui réalise le mixage au cinéma. Alors, il va s’occuper de pouvoir mettre le mélange de plusieurs bandes sonores ensemble. Le monteur : Un monteur est la personne qui accomplit le montage du film, donc il effectue un ensemble de montages. Partie B Transfert des connaissances Un travail de réflexion et d’analyse 1. Casablanca représente bien un film de son époque parce qu’il nous illustre l’atmosphère et l’actualité qui se déroulent en Europe.

séquence que j'ai décidé d'analyser et la première du film. Elle présente un montage de scène tourné dans les années de la Deuxième guerre en noir et blanc. Ce sont des vraies images qui présente Paris à lors de ces années. Puis, la dernière image en noir et blanc se voit transformer en une scène , la première, qui marque le début du film. Celle-ci est maintenant en couleur et on y voit un carrousel tourner. Le montage Il est bien fait, on présente dans la séquence plusieurs scènes tournées anciennement

Mais celui qui saura atteindre le but final, donner et accomplir le sens noble et profond du mot - ART – c’est le russe Serguei Mikhaïlovitch Eisenstein, réalisateur, avec « Le Cuirassé Potemkine » jugé comme meilleur film du monde, il invente le montage chose qui donne un sens et un rythme aux films, ainsi il crée le langage cinématographique. Rapidement, le cinéma se développe à travers tous les pays du monde et devient une industrie qui attire beaucoup hommes d’affaires a la recherche de gains

hommes. La différence principale entre ces deux plans, ce n’est pas tant que l’un représente un visage et l’autre un corps qui en est dénué, c’est que celui où la caméra est fixé sur la balançoire ne contient pas de discours (par les dialogues et le montage) pour non seulement orienter, mais surplomber notre regard. Car après tout, le plan fixe « sous la jupe », sans les contrechamps montrant le canotier ni dialogues précédant et suivant, est lui aussi une étude du mouvement, inversée car ce n’est plus