Hard trance

Vente en ligne & drive Commerce de proximité O1  Commerce de proximité O2  Vente en ligne Tesco très proche (3ème mondial) Hard discount Risque d’OPA Inquiétudes des consommateurs face à la crise Forte concurrence nationale et internationale M1  Forte concurrence nationale et internationale M2  Crise économique (hard discount, baisse du pouvoir d’achat…) TWOS FA1/O1 : Ouverture de nouveaux magasins qui concurrencent les magasins existants (Monoprix

toujours sous la tutelle de Jean-Pierre Le Roch jusqu'en 1994, lorsqu’il passe sous la houlette du groupement d’indépendants Les Mousquetaires. En 2009, ce dernier donne le nom d’Intermarché à toutes ses filiales alimentaires, hormis Netto, enseigne de hard discount alimentaire. Date de création : 1969.Points de vente : 2 250. Répartition en France : Hyper : 79, Super Généraliste : 543 (26% des magasins), Super Alimentaire : 793 (37% des magasins), Contact : 331 (16% des magasins), Express : 27.

la vente à distance et particulièrement le E-commerce, est le type de commerce qui affiche les plus belles progressions en 2012 où la plupart des autres commerces voient leurs parts de marché diminuer ou stagner. On constate également la hausse du hard discount qui prend de plus en plus de place parmi les magasins spécialisés alimentaires mais aussi non alimentaires. Le XXIème siècle, c’est le siècle de la mondialisation du commerce. L’implantation de l’internet, du mobile et de nouveaux distributeurs

LE CONCEPT DE HARD-DISCOUNT DANS LE SECTEUR DE LA GRANDE DISTRIBUTION INTRODUCTION : Longtemps considéré comme le supermarché des pauvres, le hard discount a pu en quelques années devenir un véritable phénomène de consommation. Tout droit venu d’Allemagne dès la fin de la seconde guerre mondiale, les premiers réseaux de distribution de hard discount en France se sont implantés vers la fin des années 80. Aujourd’hui, le hard discount, c’est environ 3000

Sergio Carpentieri. Le groupe Louis Delhaize a pour filiales des sociétés développant les enseignes suivantes : • Albinuta (supermarché) • Animalis (animalerie) • CORA (hypermarché) • Louis Delhaize (épicerie) • Delitraiteur • Ecomax (hard-discount) • Houra.fr (cybermarché) • Match (supermarché) • Match Food & More (supermarché) • Smatch (supermarché) • Les Délices de mon moulin (boulangerie) • Truffaut (jardinerie) • Garden & Leisure (jardinerie) 1.2 Chiffres et dates

services Le hard discount alimentaire : le comportement des consommateurs en France a évolué, le hard discount représentait en 1999 que 8,8% du marché, aujourd’hui il représente 72%, mais il reste toujours faible par rapport a l’Allemagne ou il représente 93%. Les raisons qui ont permis cette montée du hard discount pour les consommateurs, c’est la baisse du pouvoir d’achat, est aussi des facteurs socio démographiques, les consommateurs n’ont plus honte de faire leurs coures dans un hard discount

LES ETATS-UNIS Au fil du temps, les Etats-Unis ont accumulés beaucoup de richesse jusqu'a devenir une hyperpuissance. Mais comment en est-elle arrivée la? Cette insertion mondiale a-t-elle des limites? : L'insertion grâce au Hard power: -Les Etats-Unis sont le principal pôle de la Triade et sont donc l'une des 3 régions dominant l'économie mondiale: Elles sont la première puissance économique, le premier exportateur et importateur mondial de services et deuxième exportateur

titre d’exemple, on peut voir que la part de marché des hard-discount définies comme étant des entreprises situés dans le domaine de l’alimentation a connu une hausse significative entre 1992 et 2009 passant alors de 1.9% à 14.1% de parts de marché. De plus, on dit souvent que le low-cost est le marché du pauvre. Ceci est une fausse vérité car en réalité ce n’est pas tout à fait ça. Certaines études montrent que même si dans les années 80 le hard discount a pénétré le marché français en ciblant principalement

distributeurs à se passer de vendeurs, contrairement aux pratiques de l’époque.  « Les pauvres ont besoin de prix bas. Les riches adorent ça ». Bernardo Trujillo se faisait le chantre du discount, c’est-à-dire des prix bas (à ne pas confondre avec le hard-discount actuel). Là où l’épicier de 1950 s’efforçait de vendre de petites quantités au prix le plus élevé, Trujillo, défendait une stratégie de volumes avec des marges divisées par deux. L’avenir lui a donné raison.  « Créer un îlot de perte dans

parle de hard-discount lorsque « les prix sont très bas ( plus de 40% au-dessous du prix généralement constaté sur des produits de marque nationale) et que l’offre se résume le plus souvent à une référence par type de produit. Dans ce cas, l’assortiment en marques nationales n’est pas toujours suivi et il se compose le plus souvent de produits provenant de fabricants spécialisés ». (Définition extraite de l’Encyclopédie du Marketing, Jean-Marc LEHU, Editions d’Organisation, 2004) Le hard discount