Hamas

reprennent et plusieurs échanges de tir armés entraine la mort de plusieurs soldats et civils des deux camps. La Haganah (milice armée juive) crée en 1920 met en place une politique de répression et de violence a l’encontre des palestinien. Juin 2007, le Hamas investit la bande de Gaza, le gouvernement israélien ordonne la blocus du territoire fin juin 2007. Depuis 2007, les choses n’ont pas beaucoup bougées. Le dialogue reste figé et les affrontement aérien maritime et terrien. Les victimes depuis 1945

Au déclenchement de la guerre de GAZA en 2008-2009, le mouvement a mené plusieurs campagnes de mobilisation telles que : - Des manifestations avec la présence d’un représentant du Hamas - La distribution de tracts à l’effigie de Izz al din al qessam (martyre symbole du soulèvement palestinien pour le Hamas) - L’appel au soutien du Front de Libération de la Palestine… (cf. Houria Bouteldja : « Que l’islamisme est un mouvement politique et divers comme les autres où il faut évaluer

palestiniens présents sur le territoire israélien déclenchent l’Intifada (révolution palestinienne contre les juifs). Cette Intifada déclenche une série de répression massive contre les palestiniens. C’est alors que nait le mouvement islamiste palestinien du Hamas. Pour ce mouvement terroriste la victoire ne peut venir qu’au travers de l’anéantissement total de l’Etat d’Israël.   II/ Les espoirs de paix 1990-1995 : La fin de la guerre froide et la guerre du golf redistribue les cartes de tout le Moyen-Orient

Elle a fait un passage par Sciences-Po et le groupe Lagardère à Paris, et est une amie de la famille de Villepin. Hind, sa sœur cadette, serait, elle, beaucoup plus brillante. Une vraie politique[44], capable de discuter avec des dirigeants du Hamas, le principal groupe islamiste palestinien, et des responsables Iraniens. Directrice de cabinet de l’émir depuis 2008, elle est en fait son bras droit. Au palais, face à la corniche de Doha, son bureau est au même étage que celui du Premier ministre

création du PLO en 64, avec Yasser Arafat à sa tête depuis 69, a donné naissance à un mouvement terroriste déterminé à faire disparaitre Israel. Avec les accords de paix en 93, son courant principal, le Fatah, a arrété les actions terroristes. Mais le Hamas et le Hezbollah (formé par les réfugiés palestinien au Liban), des organisations terroristes, continuèrent. En plus, en Agha’, après 92, des guerres inter-ethniques se sont dvlpés entre les Pashtuns et Shi Its, Ouzbeques… En 98, les Talibans, a catégorie

néoconservateurs visait à remodeler le « Grand MoyenOrient ». Cela impliquait d’achever une « guerre non terminée » en intervenant en Irak au nom de la démocratie, puis de contraindre la Syrie à se retirer du Liban et à cesser de soutenir le Hezbollah et le Hamas (ce qui aurait pour effet de soulager l’allié israélien). Le slogan de l’époque ne disait-il pas : « La route de Jérusalem passe par Bagdad » ? En Europe, en dix ans, les attentats réussis se limitent à Madrid (2004) et à Londres (2005). Depuis

Israël, l'échec tétanise l'opinion. Le Premier ministre dévalué, Olmert, fait alliance avec l'extrême droite du juif russe Avigdor Lieberman. Tandis que du côté palestinien les affidés du Fatah de Mahmoud Abbas échangent des coups de feu avec ceux d'un Hamas conforté dans son militantisme radical et religieux. Volière de faucons d'où les colombes ont disparu ! Ce changement de décor décourage le pronostic. Les Américains - avec l'appui ouaté des potentats sunnites que l'Iran inquiète - sondent sous

succession chronologique de trois fractures : l’absence de règlement réel de la crise palestinienne, la crise intérieure saoudienne et la guerre en Iraq. En Palestine, les organisations combattantes, Hamas et Al Jihad, nées de l’intifada, sont restées imperméables aux tentations internationalistes. Le Hamas, d’ailleurs, est confronté depuis sa victoire aux élections législatives du 27 janvier 2006 a un défi stratégique, et doit montrer sa crédibilité a gouverner sous peine de porter la responsabilité

traités au seul niveau de ces États, pas plus qu'ils ne sauraient être réglés au seul gré des rapports de force des grandes puissances internationales qui divisent pour mieux régner. La Turquie est un incontournable intermédiaire avec l’Iran, avec le Hamas, entre les Syriens et les Israéliens et entre les Israéliens et les Palestiniens. Elle est le véritable château d'eau de cette région qui en manque cruellement, elle pose de nombreux problèmes à ses voisins alors que les conflits d'eau seront de plus

mettant à jour la position commune 2001/931/PESC relative à l’application de mesures spécifiques en vue de lutter contre le terrorisme et abrogeant la position commune 2002/847/PESC ; L 337/93-96 ; JOCE du 13.12.2002. 11 aussi la branche armée du Hamas (Ezzedine al Kassem) et le Jihad islamique palestinien. 13 Cette initiative, qui a fait l’objet de féroces négociations entre Etats membres, est assez incomplète (paradoxalement Al Qaida n’y figure pas 14 ) mais est par essence évolutive. Elle tranche