Hamas

Israéliens une résurgence de la menace conventionnelle. Le conflit israélo-arabe s’est donc largement transformé en un conflit israélo-palestinien, comme en témoignent les deux Intifada (1988-1993/2000-2005), puis l’opération « Plomb durci » contre le Hamas, à Gaza (hiver 2008-2009). Aujourd’hui encore, les négociations israélo-palestiniennes achoppent sur les mêmes questions : le tracé de la frontière (qui implique des échanges de territoire), l’évacuation des colonies israéliennes de Cisjordanie, le

|19 |4 | Document 2 : l’intifada : la guerre des pierres [pic] Document 3 : la Cisjordanie en 2010 et les colonies juives [pic] Document 4 : la charte du Hamas (août 1988) Article 13 : «  Les initiatives et ce que l'on appelle les solutions pacifiques et les conférences internationales, sont contraires aux principes du Mouvement de Résistance Islamique. Le fait d'abuser de quelque parcelle que ce soit

Tchernenko L’année 1985 ▴ Gorbatchev est à la tête de l’URSS L’année 1986 ▴ 17 novembre : assassinat du PDG de Renault : Georges Besse ▴ Gorbatchev lance la perestroïka ▴ Création d’un ministère du temps libre en France L’année 1987 ▴ création du Hamas (Mouvement de résistance islamique, pour la destruction d’Israël) Chronologie ▴ Gorbatchev retire les missiles SS 20 d’Europe ▴ 9 décembre : début de l’Intifada L’année 1988 ▴ mai : retrait de l’Armée rouge d’Afghanistan ▴ 15 novembre :

illégitimes. L’intérêt général ne serait ainsi pas toujours légitime, sauf à remettre en cause le fait que le peuple soit capable de définir lui-même son intérêt général… Un exemple encore plus récent concerne les élections remportées à Gaza par le Hamas en 2006, au cours d’un processus tout aussi démocratique et contrôlé par les Nations Unies. L’embargo international quasi-unanimement décrété contre ce nouveau gouvernement confirme de fait une faille dans la doctrine démocratique. Le philosophe

C L‘Iran et Israël •  Relations cordiales jusqu’en 1979 •  L’Iran ne reconnaît plus l’Etat d’Israël depuis l’arrivée au pouvoir de Khomeini •  Degradation depuis l’arrivée d’Ahmadiniejad •  Des plans de guerre Israëlien •  L’Iran finance le Hamas et l’Hezbollah C L’Iran et l’Europe •  Le dialogue global (comprehensive dialogue) en juillet 1998 •  Accord de commerce et de coopération et accord sur le dialogue politique a été lancée en décembre 2002 •  Dialogue gelé depuis 2005 •  L’Iran

des USA visant à asseoir leur présence et à exploiter la zone. Les Nord américains sont intéressés, et ils s'implantent en annonçant qu'il y a des camps d'entraînements terroristes. La zone servirait de refuge pour des organisations telles que le Hamas, le Hezbollah et Al Quaeda. Aujourd'hui 500 soldats sur l'aquifère, le FBI a ouvert une bureau à Asucion. Des programmes d'études ont été lancés, mais ils "dérangeaient". Et sont remplacés par des sociétés étrangères. Les Universités locales critiques

peuvent construire. L’Autorité palestinienne doit développer sa capacité à gouverner, avec des institutions qui répondent aux besoins de son peuple. Le Hamas a du soutien chez certains Palestiniens, mais il a lui aussi des responsabilités. Pour jouer un rôle et répondre aux aspirations des Palestiniens, et unifier le peuple palestinien, le Hamas doit mettre fin à la violence, reconnaître les accords passés et reconnaître le droit d’Israël à l’existence. Dans le même temps, les Israéliens doivent

organisations terroristes à recevoir leur financement directement d’action illégales s’étant réfugiées dans les paradis fiscaux. Par exemple, dans une région d’Amérique latine, appelée la Triple Frontière (Argentine, Brésil, Paraguay), un groupe arabe lié au Hamas et au Hezbollah dirige une affaire de blanchiment d’argent provenant d’un trafic de drogue. La Triple Frontière étant un endroit où il n’existe pas de loi concernant ces activités, ce territoire est considéré comme un paradis fiscal. Ce territoire

diplomatique, il témoigne sans langue de bois des crimes commis par l’État d’Israël contre les Palestiniens, notamment au cours de l’opération «plomb durci». En toute objectivité, il reconnait et condamne sans ambiguïté les tirs de roquettes du Hamas, mais dénie à l’État israélien le droit de massacrer la population palestinienne sous le prétexte de sécurité. L’exaspération des habitants de Gaza qui est la cause indubitable des tirs contre Sdérot est le contraire de l’espoir, et seule l’espérance

qu'ils peuvent bâtir. L'Autorité palestinienne doit développer ses capacités de gouverner avec des institutions qui répondent aux besoins de son peuple. Hamas jouit du soutien de certains Palestiniens, mais il doit aussi reconnaitre ses responsabilités. Il doit jouer un rôle pour réaliser les aspirations des Palestiniens et unir le peuple palestinien. Hamas doit mettre fin à la violence, reconnaître les accords passés et reconnaître le droit à l'existence d'Israël. En même temps, Israël doit reconnaître