Habitudes Alimentaires Des étudiants

« Identification des pratiques alimentaires des jeunes sportifs de haut niveau âgés de 15 à 20 ans en région Centre» Enquête qualitative Septembre 2009 1/86 SOMMAIRE 1 Introduction ................................................................................................................................... 3 1.1 Contexte ................................................................................................................................. 3 1.1.1 L’autonomisation des

subsaharienne à l’économie française 4 1.3.4 Le poids des immigrés subsahariens dans les dépenses sociales françaises 4 1.4 Caractéristiques socioculturelles 4 1.4.1 Niveau d’instruction 4 1.4.2 Religion et croyances 5 1.4.3 Pratiques alimentaires 5 1.5 Conditions sociales 5 1.5.1 Logement 6 1.5.2 Réseau social 6 1.5.3 Accès aux soins 6 1.6 Donnés épidémiologiques 7 1.6.1 Principales pathologies des immigrés subsahariens 7 1.6.1.1 Les maladies infectieuses 7 1.6.1.2 Les

s’articulent les relations entre la qualité perçue, les attributs du produit ou le choix du point de vente. La consommation de produits laitiers au Maroc est en forte expansion et représente un secteur particulièrement dynamique de la grande distribution alimentaire de ce pays. Dans cet univers, les entreprises de transformation des produits laitiers prennent une importance croissante, les leaders sur le marché marocain, la * L’auteur remercie L. Sireix pour son aide. 66 Revue française de gestion

maison, restauration traditionnelle sont autant de produits substituables aux produits alimentaires du fast-food. Mais l’environnement favorable (habitudes alimentaires en mutation) actuel attenue ces menaces. Pouvoir des fournisseurs : McDonald’s a un pouvoir quasi absolu sur ses fournisseurs qu’il gère comme des « filiales». Le groupe est un client essentiel voir exclusif de certaines entreprises agro-alimentaire. La réorganisation de la chaine logistique de McDonald’s France en étroite collaboration

= 4,2 % Catégorie socioprofessionnelle 1. Éleveur – pécheur agriculteur 2. Artisan – vendeur – petit commerçant 3. Ouvrier, manœuvre, gens de service 4. Cadre moyen 5. Cadre supérieur grand commerçant 6. Cadre retraité 7. Chômeur, saisonnier, étudiant, autres retraités Pourcentage 5,6 21,4 Niveau de vie 23,9 14,7 21,2 1,9 11,6 • Dépenses mensuelles = 70 206 FCFA • 12,4% dépenses moins de 25 000 FCFA • 49,3 % entre 25 000 et 70 000 FCFA • 38,3% dépensent plus de 70 000 FCFA Autres =

....................... 36 4. L’INDUSTRIE ALIMENTAIRE ET LA PROTECTION DU MARCHE ALIMENTAIRE EN REPUBLIQUE TCHEQUE.................................................................................................. 38 4.1. LA PLACE DE L’INDUSTRIE ALIMENTAIRE DANS L’ECONOMIE TCHEQUE .......................... 38 La filière alimentaire des produits laitiers ............................................................................ 39 La filière alimentaire – les produits de la viande..............

LES MUTATIONS DU COMPORTEMENT DE CONSOMMATION EN TUNISIE LES AUTEURS Mme Alouane Leila, Professeur en Sciences de la Nutrition ; responsable du service Formation – Information, à l’Institut National de Nutrition et de Technologie Alimentaire. Mme Bahri Ines, Doctorante en Marketing, Enseignant-Chercheur à l’Institut des Hautes Etudes Commerciales de Tunis (IHEC). Mr Ben Abdallah Senim, Docteur en Sociologie, Enseignant-Chercheur à l’Institut de Presse et des Sciences de l’Information

entreprises car les actifs de restaurations ne sont pas rigides2- S’applique très peu ou pas du tout.Pouvoir des acheteurs : 1- menace faible malgré la sous-traitance totale des approvisionnements 2- Clients : ménages : familles, enfants surtout et étudiants -> menace très faible 1- L’orientation de McDonald’s vers les sandwichs, hamburgers alors que KFC vers le poulet fris. * La différence entre McDonald’s et KFC est principalement la cuisine. * KFC et McDonald’s ont des plats variés, ils

« Il faut prendre des bonnes habitudes » étant enfant ? L’opinion commune est donc de considérer l’habitude comme étant bonne et saine dans la vie d’un être humain. Cette opinion ne permet cependant pas de rendre compte de tous les cas possible car l’habitude n’est-elle pas également contraignante ? Notre volonté d’édifier une habitude peut nous enfermer dans une vie routinière sans surprise ni particularité. De plus cette vision de l’habitude ne renvoie qu’aux habitudes dites « bonnes » et non à celles

thématique « Se nourrir : de la nécessité à la convivialité ». Après un panorama historique qui analyse les multiples facteurs qui ont déterminé l’évolution de l’alimentation et surtout celle de la prise des repas, les auteurs décrivent les modes alimentaires d’aujourd’hui déterminées par le rythme de la vie moderne, les conditions économiques, sociales, environnementales et familiales. Domovision identifie ensuite les différents types de cuisine de l’habitat : la cuisine « puzzle », la cuisine éco-responsable