Guillaume De Tyr

soit, ce conditionnement psychologique poussé n’aurait apparemment été appliqué qu’à un petit nombre d’initiés (les t4h1a4}}9y), et non à la grande majorité de ses fidèles, qu’ils soient hommes ou femmes. Étymologie du terme « Assassins » Guillaume de Tyr, qui, mentionne la secte en quelques lignes, ne propose aucune étymologie pour le nom « Assassins » : « Nos gens comme les sarrasins les appellent Assissini ; l’origine de ce nom nous est inconnue. » Cours du 21 novembre 2007 Al-Alamut

les portes et en faisaient des monceaux aussi hauts que des maisons. Nul n'a jamais ouï, nul n'a jamais vu un pareil carnage de la gent païenne : des bûchers étaient disposés comme des bornes et nul, si ce n'est Dieu, ne sait leur nombre.» Guillaume de Tyr, Histoire des croisades, M. Guizot éd., Paris, Éd. Brière, coll. «Les Mémoires relatifs à l'histoire de France », 1824, t. 16. 1 6 juin, en fait le mardi 7 juin 2 Godefroi de Bouillon (Baisy, Brabant, v. 1061 - Jérusalem, 1100), duc de Basse-Lorraine

000 fantassins (sur peut-être 20 000 au départ) mais elle est débarrassée des « éléments inutiles ». De ce fait, elle était encore plus redoutable. Pour éviter la dévastation, Beyrouth pactisa avec les croisés. Il en était de même avec les ports de Tyr et d'Acre, ; les populations allant même jusqu'à fournir des provisions et parfois des guides. Après de nombreux arrêts, l’armée croisée pris la route de Jérusalem en remontant la vallée de l’Oronte, sans être inquiétée par les émirs arabes de la région

cherchlra en rain, darrs ,svri: l,ubondante production historiographique arabe des XII"-xtil" sidcles, des monographies dquivalentes aux Gesta Dei per Francos de Gui_ bert de Nogelt, ou d l'Historia r?rum in partibu, trorr*orrr* gesta_ ^d" rum de Guillaume de Tyr. Il n'y a pur uchronit"., u.uues des croisades>, mais un traitement, disp_ers6 6clat6, .i. ; et ,";", dans des ouwages dont le cadre g6n6ral est autre : histoire g6n6rale comme celle d'Ibn al-Athir, chronique r6gionale ou locale"comme l'Histoire

: printemps 1101) qui vont en Anatolie du Nord pr délivrer Bohémond (emprisonné par les Danishmendites). A Est du Halys, ils sont presque tous massacrés (par les forces des Turcs + celles de Ridvan d’Alep). - Armées conduites par : Guillaume II de Nevers, Guillaume IX d’Aquitaine, Welf IV de Bavière, successivement détruites près d’Héraclée. Les « arrière-croisades » (= armées qui arrivent après la 1ère Croisade) bien que très nbreuses, échouent en Anatolie dvt les Turcs. Les secours ne pouvaient

N’ayant que peu de résistance face à lui, Saladin entreprend la conquête du royaume de Jérusalem. Pour éviter d’être pris à revers par des renforts chrétiens, il commence par prendre les ports du royaume, au cours de l’été 1187. Seul la ville de Tyr, défendue par Conrad de Montferrat résiste avec succès au siège de Saladin. Ayant ainsi assuré ses arrières, il se rend avec son armée à Jérusalem et met le siège devant la ville le 20 septembre 1187, assurant qu’il fera subir aux chrétiens le même

race turque et par l'islamisme imposèrent à l'Occident la conviction que devant une telle défaillance pour sauver l'Europe directement menacée, les nations occidentales se devaient d'intervenir. Nos vieux chroniqueurs ne s'y sont pas trompés. Guillaume de Tyr verra dans le désastre de Malazgerd l'éviction définitive des grecs comme protagonistes de la chrétienté, la justification historique de l'entrée en scène des Francs pour remplacer ces partenaires hors de jeu. De fait, il était temps d'aviser

contre un village (semble-t-il) et au meurtre de la sœur de Saladin. Rectificatif :en fait la soeur de Saladin a bien été capturée (mais pas tuée) durant le raid de Renaud de Chatillon sur la caravane, si l'on en croit le continuateur de Guillaume de Tyr. Cependant, historiquement comme dans le film, Renaud avait déjà lancé des attaques contre des caravanes. Sans doute Ridley Scott a-t-il voulu éviter la répétition. De plus, Le film raccourcit et modifie l’échelle temporelle : entre 1186 (date

guide et de type au rédacteur des Grandes Chroniques. Néanmoins il ne s'agit pas d'un décalque, car plusieurs fois Primat pris des libertés par rapport au texte latin. Traduisant successivement le de Gestis Francorum d'Aimoin, Suger, Guillaume de Tyr, Rigord et Guillaume le Breton, pour ne citer que ses principales sources, il avait non seulement épuisé tout ce que contenait ce recueil, mais avait encore fait appel à plusieurs chroniques et annales qui ne s'y trouvaient pas. 2 Le de Gesta Francorum

façon, les dirigeants des Etats latins d’orient accordent à la fin de la première croisade des avantages commerciaux aux Républiques maritimes qui leur sont particulièrement nécessaires pour le transport des croisés et la défense des côtes. Guillaume de Tyr copie du privilège accordé en 1123 à Venise dans le royaume de Jérusalem et nous apprend ainsi que « les Vénitiens ne payent aucun droit d’utilisation ou autre sorte, pour entrer, séjourner, vendre, acheter ou habiter, ou sortir pour aucune cause