Guillaume De Tyr

français la grande chronique des rois de France ; en 1274, Primat achève le Roman des Rois, histoire épique des Français, s’appuyant sur les récits antérieurs d’Aimoin à Hugues de Fleury. D’autres après lui poursuivent son œuvre, particulièrement Guillaume de Nangis (chronique des rois de France, vies de Saint Louis et de Philippe III + guide des tombes royales) et Richard Lescot qui insère au XIVe siècle les événements contemporains et donne à son manuscrit le titre de Croniques de France : l’histoire

parvint à son apogée ; il s'agit de la voie vers la contemplation intérieure et de l'union avec le divin. * les représentants plus lointains sont Henri Suses, Jean Tauler et Jean Gerson dans la scolastique tardive (XIVe siècle), qui s'impose avec Guillaume d'Occam et la critique des systèmes métaphysiques des anciennes écoles (via antiqua). La nouvelle voie (via moderna, appelée aussi le nominalisme) va de pair avec un épanouissement des sciences naturelles (Nicolas d'Oresme, Jean Buridan) (Atlas de

Bertholon[16] et Stéphane Gsell[17], admettent l’existence de migrations entre la mer Égée et le golfe des Syrtes, où se trouve Djerba, au cours du IIe millénaire av. J.-C.. Avant même la fondation de Carthage, au IXe siècle av. J.-C., des Phéniciens de Tyr auraient implanté plusieurs comptoirs le long de la côte de la Libye et de la Tunisie actuelles jusqu’à Utique. Djerba en fit sans doute partie. Le Périple du Pseudo-Scylax, qui remonte approximativement au milieu du IVe siècle av. J.-C., donne sur

et dominés par les deux peuples qu’ils avaient éduqués : les Grecs et les Phéniciens. Peut-être aussi souffrirent-ils beaucoup de la formidable éruption volcanique de l’île de Santorin. Les Grecs occupaient la mer Égée, et les Phéniciens le Liban. Tyr était le grand port phénicien ; quant aux ports égéens, ils étaient innombrables. Ces deux peuples marins étaient en concurrence et n’appartenaient pas au même univers culturel. Les Grecs parlaient une langue européenne (« indo-européenne », disent

que Fais dodo (1895) et le second avec des poèmes comme Vue (1896). En dehors de Stéphane Mallarmé et de ses disciples, le sonnet français « à l’anglaise » n’a cependant pas une grande postérité, même s’il faut signaler les divers essais de Guillaume Apollinaire et de l’oulipien Jacques Roubaud dans cette forme. Chapitre II : Biographies des principaux auteurs de sonnets. A. Sir Thomas Wyatt (1503-1542). 1. Vie. Né à Arlington Castle, dans une famille de diplomates, Thomas Wyatt poursuit

rebelles sont massacrés, le prince de Galles mis à mort et sa mère emprisonnée ; et comme, pendant ce temps, de nouveaux troubles ont éclaté dans le nord et à Londres même, que tente d’enlever par surprise un Neville, venu de Calais, le comte de Kent Guillaume de Fauconberg, Édouard décide d’employer la manière forte : il sévit impitoyablement contre tous les opposants, et le malheureux Henri VI disparaît lui-même, probablement exécuté (21 mai 1471). Désormais Édouard IV est le maître incontesté

Italiens, la diversité des causes de l’émigration et des peuples concernés, le rôle prépondérant des États-Unis. ➤ Bibliographie et sitographie sélectives : ❏ Ouvrages généraux sur la population – Caselli Graziella, Vallin Jacques et Wunsch Guillaume (dir.), Démographie : analyse et synthèse, t. V, INED, 2004. On consultera en particulier la première partie : « L’histoire du peuplement », p. 9-170. – Pinson Gilles, Atlas de la population mondiale, Autrement, 2009. Des textes clairs à la portée

moyennant une lourde rançon versée par ses moines. Or Maïeul, qui avait réformé tant de monastères, était l’ami vénéré, le directeur de conscience et, si l’on ose dire, le saint familier de beaucoup de rois et de barons. Notamment, du comte de Provence Guillaume. Celui-ci rejoignit sur la route du retour la bande qui avait commis le sacrilège attentat et lui infligea une rude défaite ; puis, groupant sous son commandement plusieurs seigneurs de la vallée du Rhône auxquels devaient être par la suite distribuées

que l’autorité pontificale n’y voie d’inconvénient. Prise de Jérusalem confirmée par série de victoire sur les égyptiens en août 1099 et la conquête de la Terre Sainte se poursuit dans les années suivantes. Dernière place forte prise en 1124, c’est Tyr. Ensuite il y a les quatre Etats latins, le royaume de Jérusalem, le royaume de Tripoli, le royaume d’Antioche, et le royaume d’Edesse. Ce qui permet la construction de ces Etats c’est un phénomène de colonisation cela dit il va s’avérer assez vite

millénaire av. J.-C. a fini par contracter leur empire commercial autour de contrées moins éloignées du Levant. D'autres peuples, comme les Carthaginois, eux-mêmes issus d'une colonie phénicienne fondée pendant le Xe siècle av. J.-C., par la cité-État de Tyr, reprendront au cours du Ier millénaire av. J.-C. ces échanges avec la Péninsule ibérique. Les Phéniciens ne gardèrent pas longtemps le monopole du commerce avec les tribus d'Espagne; là, comme dans tout le bassin de la Méditerranée, ils rencontrèrent