Guide Oral Histoire Des Arts

de la structure et son environnement ___________________________________ 3 2) Les missions de la structure et mon rôle ____________________________________________ 4 I. Présentation de l’activité___________________________________________ 7 1) Histoire de la course d’orientation _________________________________________________ 7 2) Logique interne ________________________________________________________________ 8 3) Les bienfaits de la C.O. ___________________________________________________________

appliqué appelé communément «graphisme». Pages volantes, sorties de leur contexte de réflexion et de création, elles témoignent d’abord de multiples compagnonnages avec des lieux, des villes et surtout des humains qui m’ont accordés leur confiance. Si les arts vivants restent le cœur d’un engagement qui m’a mené du théâtre au journaliste, de la photographie à l’écriture, puis à la création graphique, c’est bien d’abord de concordance(s), de rencontre,(s) dont il est question. «Passeurs de sens», les graphistes

......... 47 EC : VLA CV 304 : African American History ......................................................................... 48 EC : VLA CV 305 : Peinture et musique en Grande-Bretagne XVIe-XVIIIe siècles................49 EC : VLA CV 306 : Histoire des femmes .................................................................................. 50 U.E. : VLA UD 401 : U.E. LITTÉRATURE ANGLO-AMÉRICAINE......................................... 51 EC : VLA LI 401 : Shakespeare ....................

.................................................. 3 Pour aller plus loin............................................................................................................................ 3 Piste 2 : La poésie n’est pas seule – poésie et arts visuels ................................................................ 3 Quelques œuvres de référence ....................................................................................................... 4 Pour aller plus loin.................

service n° 2002-140 du 26 juin 2002 Portant définition de l'épreuve de littérature du baccalauréat, série littéraire. B.O. n° 27 du 4 juillet 2002. Note de service n° 2003-002 du 8 janvier 2003 Portant modification de la définition des épreuves orales obligatoires et de contrôle de français. B.O. n° 3 du 16 janvier 2003. Note de service n° 2006-199 du 4 décembre 2006 Epreuve écrite de français (définition applicable à compter de la session 2008 des épreuves anticipées des baccalauréats général

.................................................. 3 Pour aller plus loin............................................................................................................................ 3 Piste 2 : La poésie n’est pas seule – poésie et arts visuels ................................................................ 3 Quelques œuvres de référence ....................................................................................................... 4 Pour aller plus loin.................

complète en fin de séquence : l’écriture d’une préface à l’œuvre (écriture collective par groupes) faite soit du point de vue de Théophile Gautier, soit du point de vue de l’éditeur Séance 2 : Histoire des arts, étude de l’image, contextualisation historique de l’œuvre Travail oral, puis synthèse écrite en rapport avec Arria Marcella Travail réalisé à partir du visionnement de photographies de Pompéi (voir site académique Lettres) et d’extraits des films (plusieurs versions

 il produit des énoncés brefs et soigneusement  articulés  ;  peu  à  peu,  en  s’adaptant  à  la  diversité  des  performances  langagières  des  enfants,  il  fait  évoluer ses énoncés. Il reste attentif à son registre linguistique, c’est‐à‐dire un oral ordinaire correct et  adapté  à  l’âge  des  enfants.  À  l’écoute  des  enfants,  il  cherche  à  comprendre  ce  qu’ils  veulent  dire  et  réagit  à  leurs  propos  par  des  reprises  de  leurs  énoncés  et  par  des  compléments  sémantiques 

panarabe) 5- Faiblesse du moyen d’achat et problèmes en distribution et en qualité. La culture et la lecture au Maroc. 1- La bibliothèque publique : Un usage limité et peu fonctionnel. 2- La bibliothèque privée. Usage esthétique. 3- Les tendances orales du patrimoine national. 4- La lecture à l’école marocaine. Echos : Pourquoi les Marocains boudent les livres ? Recueils de quelques intellectuels Marocains. Conclusion Introduction : Lire pour un lettré, c’est respirer, c’est vivre, c’est

ambassadeurs des valeurs culturelles tiermondistes. L’Egyptien occidentalisé qu’est Hassan Fathy et le Français arabisé qu’est André Ravéreau cultiveront tous deux à leur manière une forme d’orientalisme. Le premier, formé dans une Ecole des Beaux-Arts dont l’enseignement est basé sur la longue tradition classique européenne et particulièrement française, s’enorgueillit d’un parfait trilinguisme, ajoutant à l’arabe la connaissance courante de l’anglais et du français, s’habille chez les meilleurs