Guerres sacrées

du règne de Philippe II de Macédoine – Philippe II de Macédoine naquit en 382 avant Jésus Christ. En 368, alors âgé de 14 ans, il fut envoyé à Thèbes en tant qu’otage macédonien. Là, il y rencontra Epaminondas, entre autres, et apprit l’art de la guerre en l’observant. Il se rendit compte aussi des forces et des faiblesses des Grecs, ce qui lui fut utile plus tard.Buste en ivoire de Philippe II de Macédoine, IV° siècle avant Jésus Christ, retrouvé dans sa tombe à Vergina, conservé au musée archéologique

de 40 Livres dont le Livre XVI consacré à Philippe II. La quatrième guerre sacrée est déclenchée à l’automne 339 par les habitants de la cité d'Amphissa. La cité fut accusée d'avoir cultivée une plaine consacrée à Apollon et d'avoir reconstruit le pont détruit à l'époque archaïque lors de la première guerre sacrée, ces accusations sont portées par le conseil amphictyonique de Delphes. Depuis la fin de la Troisième Guerre Sacrée, Philippe II avait deux voix au sein de ce conseil et il se servit de

Guerre des Alliés : C’est une guerre intestine qui divisa l'alliance athénienne (Seconde confédération athénienne) de -357 à -355.Les alliés (Chios, Rhodes, Cos et la ville indépendante de Byzance) refusaient de payer l'impôt de l'alliance. S'ensuivit une guerre rapide avec Athènes qui se termina par la victoire à Embata (-356) des rebelles qui retrouvèrent leur indépendance. Troisième guerre sacrée : La troisième guerre sacrée fut un événement de grande importance, où se trouva mêlée la plus grande

au passage, s'empare des colonies d'Athènes : Amphipolis, Pydna et Potidée. -356 : Philippe scelle son alliance avec le royaume d'Epire en épousant la princesse Olympias, qui lui donne Alexandre. -355 : Depuis deux ans, la Troisième « Guerre Sacrée » oppose les Thébains aux les Phocidiens. Les Thébains demandent l'aide de Philippe, tandis que les Phocidens s'allient à Athènes. Néanmmoins, les Grecs ont eu peur : Philippe n'est plus loin au Nord, il est parvenu aux portes de l'Attique.

royauté §1 : Un roi sacré : En 987, Hugues Capet, après avoir été élu est sacré à NOYON par l’archevêque ADALBERON. Ce sacre désormais a pour mission de transformer le roi désigné par les grands en roi régnant. Le sacre est un élément essentiel dans l’histoire d’un règne. Ce sacre s’intègre dans un cérémonial. A. Le cérémonial du sacre Assez rapidement, sous l’influence de HINCMAR de Reims, Reims va s’imposer comme lieu de sacre par l’archevêque de Reims. A partir d’Henri 1er, le sacre est à Reims par

62 : une épée large d'acier, deux minerai de fer, une flamme d'Héphaïstos. -Fleuret antimagie = attaque 67 : une rapière, trois purpourra, un minerai de mithril. -Lame de l'aurore = attaque 70 : une épée ardente, trois pierres de lumière, une eau sacrée. -Epée de platine = attaque 51 : une épée large de fer, un minerai de platine, une flamme d'Héphaïstos. -Tueuse de dragon = attaque 88 : un fléau des dragons, un brassard de choc. -Pure lame du faucon = attaque 26 : une lame du faucon, un brassard

TEXTE : Roger Caillois, L’Homme et le Sacré . […] Si la structure nouvelle des sociétés et la forme mécanique ou scientifique des combats substituent au héros attiré le combattant innombrable et anonyme, elles n’ont pas modifié la vieille attitude. La nécessité d’un discipline précise et les moyens de l’appliquer rigoureusement limitent sans doute la fantaisie des excès d’autrefois, mais la guerre gagne sans cesse en ampleur ce qu’elle perd en déchaînement instinctif. Elle acquiert ainsi un

Une problématique:  À propos de la question du support de "la Guerre" de Otto Dix: Comment, dans l'usage qu'ils font  du support de la représentation, les artistes se démarquent de la tradition en s'appuyant sur elle? "La Guerre" n'est pas une œuvre religieuse mais son support fait explicitement référence aux anciens retables d'église: l'auteur souhaite donner une dimension sacrée à une image profane. Ce support, contrairement aux retables traditionnels ne se replie pas : nul charnières fonctionnelles

promesse du sacre : défense du royaume et l’ordre chrétien, protection de l’Église, défense des droits des sujets du roi. Du 10e au 16e siècle, s’appuyant sur ce concept de “fonction royale, le roi de France, personnage à part parce que sacré (1), va progressivement reconquérir son autorité: la royauté, sera redevenue institutionnellement forte, souveraine et indépendante dès le 13e siècle (2). Le pouvoir royal se transmettra selon des règles bien précises (3), § 1. Le sacre Le roi de France

particulier aux jeunes) alors que ca marche pas comme ça ds une secte. I/ la religion comme administration du sacré - En philo la religion est un objet social et non une réflexion sur la foi ou dieu - c’est une institution, une administration du sacré - administrer = organiser, régler mais aussi diffuser, donner - un prêtre administre les sacrements (comme l’extreme onction) - le sacré est un sentiment, une réalité subjective partagée par TOUT le monde (paradoxe) - c’est un sentiment selon lequel