Guerre des Cimbres

CM du 18.03.13 Séance 4 : Marius et Sylla, la 1ère guerre civile. On va voir des personnages imperator qui ont eu une victoire militaire. Ce titre est donné par les troupes à leur général A. L’œuvre militaire et politique de Marius 1. Un tribun popularis : la réforme du mode de scrutin. Marius est qualifié d’homme nouveau, qui ne fait pas parti de la noblesse (pas d’ancêtres magistrats supérieurs). Il vient d’une famille équestre, et n’est pas originaire de Rome. Il est né dans un

Egypte, des esclaves lui rammenèrent sa tête. Il y rencontra cléopâtre dont il tomba amour et vis-versa. De retour a Rome, la venue d'une égyptienne dans le couple ne plaisait guerre . Ces ennemies avit une raison de plus de l'éliminer. Quand César est né, Marius se couvrait de gloire en écrasant les Teutons puis les Cimbres. Marius a épousé la tante de César mais pour lui il est un père. Il a forgé la légion moderne, splendide outil de combat, groupé autour de son aigle et fidèle à son chef; il

réformes, dites "de Marius", instituant une armée de métier, dont les membres sont des professionnels volontaires tous dévoués à leur chef. En Afrique, il fut le vainqueur de Jugurtha en -105 (la victoire fut attribuée à Sylla), puis le vainqueur des Cimbres et des Teutons aux batailles d'Aqua Sextia (Aix-en-Provence) en -102, et de Vercella. A la suite de ces victoires, il jouit d'un prestige considérable à Rome et apparait à ce titre comme le premier des grand imperatores, ouvrant la voie à des hommes

pur calcul économique: se décharger sur l'État du fardeau de leur entretien» (*). En l'an 106 avant JC survient Marius, un patricien de 51 ans qui s'est illustré dans la conquête de l'Afrique. Il est proche du parti populaire. A l'occasion de la guerre contre les Numides, il éprouve comme les autres généraux de la difficulté à recruter des citoyens pour ses légions. Marius, qui bénéficie d'une fortune colossale, élargit le recrutement à l'ensemble des citoyens romains, y compris ceux qui ne possèdent

la suite préteur. C’est cependant grâce à ses actions militaires que Marius aura la possibilté d’accéder au pouvoir. En effet, c’est pendant la guerre contre Jugurtha qu’il s’illustre comme un chef sévère mais juste envers ses hommes. Sa popularité s’accroît à Rome et il décide donc de briguer un consulat qu’il obtient en -107. Il gagne la guerre de Numidie en Afrique mais ne peut pas savourer pleinement la victoire, car c’est son questeur Sylla qui réussit à capturer Jugurtha. C’est de la que

applicable sans distinction à tous les héros épiques. En effet, certaines épithètes peuvent être appliquées indifféremment à plusieurs personnes : Diomède (par exemple Il., VI, 12) comme Ménélas (par exemple Od., XV, 14) sont dits « au puissant cri de guerre » (βοὴν ἀγαθὸς / boên agathos). En revanche, d'autres sont personnelles : seul Zeus est « porte-égide » (αἰγίοχος / aigíokhos), seul Achille est dit « aux pieds légers » et seule Athéna est dite « aux yeux pers ». L'épithète peut également indiquer

le héros du parti des populares, il s'était distingué contre Jugurtha (ce fut d’ailleurs lui qui captura le roi numide) ainsi que contre les Cimbres et les Teutons. Revenu à Rome, il s'était marié à Caecilia Metella, de la puissante famille des Metelli. Élu consul en 88 avec leur appui, il était rapidement devenu la figure de proue des optimates. La guerre civile et la victoire de Sylla Dans un lourd climat de problèmes intérieurs et extérieurs, l’affrontement entre conservateurs et révolutionnaires

Rabelais dénonce la guerre. La guerre tient une place centrale dans Gargantua puisqu'elle occupe vingt six chapitres soit environ la moitié du livre. Rabelais nous montre à travers le personnage de Grandgousier sa conception humaniste de la guerre. Il utilise le même procédé qu'il a utilisé pour l'éducation,il oppose la façon de faire de Picrochole, qui est de faire la guerre dans le seul but de conquérir des territoires et de dominer à celle de Grandgoussier, qui lui ne rentre en guerre qu'en dernier

siècle marquent la montée du pouvoir personnel de généraux qui s’affranchissent des règles traditionnelles de la république. Marius et Sylla sont les deux premières grandes figures de généraux dont la rivalité personnelle débouche sur une véritable guerre civile en Italie dans les années 80, puis sur une prise de pouvoir par Sylla (81-79). Ce dernier prend à la tête d’une « dictature constituante », nouveauté institutionnelle remettant en cause les fondements mêmes de la république, dont on a montré

licinio-sextiennes 343-341 Première guerre samnite 326-304 Deuxième guerre samnite 298-291 Troisième guerre samnite 312 Appius Claudius Caecus censeur 272 Prise de Tarente 264-241 Première guerre punique 227 Création des provinces romaines de Sicile, Sardaigne, Corse 218 Plébiscite claudien 218-202 Deuxième guerre punique 197 Création des provinces d’Espagne citérieure et ultérieure 180 Lex Villia annalis qui réglemente le cursus honorum 171-168 Troisième guerre de Macédoine contre Persée.