Groupe socialiste

président du groupe UMP, Nicolas About, président du groupe de l’Union centriste, et Muguette Dini, présidente de la commission des affaires sociales, entre autres, qui ont suivi Alain Milon, un sénateur UMP convaincu du bien-fondé d’un encadrement légal de cette pratique proscrite depuis 1994, l'autre de l'opposition, emmenés par la socialiste Michèle André (ancienne secrétaire d’Etat aux Droits des femmes du gouvernement Rocard), Robert Badinter, Jean-Pierre Bel, président du groupe PS, François

concept dans le féminisme et la politique française. L’idée de la parité est devenue très populaire dans les années 80s et 90s. La parité peut être considérée comme un concept dans lequel un accès égal est garanti à tous les postes élus (pour tous les groupes de la société, mais dans ce cas, l'accès à chacun des deux sexes). Beaucoup de personnes affirment que ce n'est pas la même chose qu'un système de quotas, car elle ne nécessite pas la présence égale ou proportionnelle de la société dans les organes

tour, face à la candidate socialiste Ségolène Royal. Son mandat de président de la République française est marqué, entre autres, par une rupture de style par rapport à ses prédécesseurs, par plusieurs réformes comme celle des universités en 2007 ou des retraites en 2010, et par l'impact de grands événements internationaux tels que la « Grande Récession » et la crise de la dette dans la zone euro. Candidat à sa réélection en 2012, il est battu par le candidat socialiste François Hollande, obtenant

assurait depuis décembre 2008 l'intérim de la direction du parti à la suite du départ de P. Devedjian, nommé ministre chargé du plan de relance, est élu secrétaire général du parti. Il est assisté de quatre secrétaires généraux adjoints dont l'ex-socialiste Éric Besson, qui incarne l'ouverture souhaitée par le chef de l'État. Au conseil national (le parlement de l'UMP), J.-P. Raffarin reste vice-président ; à ses côtés siègent Michele Alliot-Marie, Jean-Louis Borloo (jusqu'en novembre 2010) et Brice

législatives tentent de rebondir aux européennes », article d’Alexandre Lemarié Le Monde, Samedi 30 novembre 2013……………Page 8 « Européennes 2014 un casse-tête de plus pour le Parti socialiste », article de Bastien Bonnefous Le Monde Samedi 16 novembre 2013…………………………….. Page 10 « Européennes : petits arrangements socialistes », article de Lionel Venturini L’Humanité, Lundi 18 novembre 2013…………………………………………Page 12 « Les recettes pour dresser les listes électorales européennes », article de Laurent de

de François Mitterrand, qui, une fois élu, s'était contenté d'abaisser la durée légale à 39 heures hebdomadaires.Martine Aubry, ministre des affaires sociales de Lionel Jospin, réalisera la mise en œuvre de la mesure phare du programme économique socialiste remise au goût du jour par Dominique Strauss-Kahn8. B/OBJECTIFS Les objectifs affichés par le PS pour le passage aux 35 heures étaient : 1. de partager un volume de travail donné au sein de la population active. La réduction de la durée

alors l'un des dirigeants les plus en vue de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), dont il devient le président en 2004. Il remporte l'élection présidentielle de 2007 avec 53,06 % des suffrages exprimés au second tour, face à la candidate socialiste Ségolène Royal. Son mandat de président de la République française est marqué, entre autres, par une rupture de style par rapport à ses prédécesseurs, par plusieurs réformes comme celle des universités en 2007 ou des retraites en 2010, et par l'impact

la même façon dans sa déclaration à l’AFP , Daniel Cohn-Bendit, chef de file d'Europe Ecologie clame "Borloo et Jouanno peuvent démissionner". DD : Que pouvez vous me dire quant aux réactions du parti socialiste Gilles ? Gilles : D’après le nouvel observateur du 26 mars, Le Parti socialiste se félicite de l'abandon de cette taxe "injuste pour les ménages", mais s'inquiète de l'abandon progressif des "engagements du grenelle de l'environnement". Selon le PS, "progressivement ce sont les engagements

Quels sont les parties politique qui pourrait remettre la laïcité en question? La France est constitué de parties politiques tels que : Parti Communiste Français (PCF) Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) Parti Socialiste (PS) Union pour un Mouvement Populaire (UMP) Tout parties politique confondus ont une opinion bien à eux. Certain sont plus flexible sur le fait de montrer de quels religions on appartient tandis que d’autres veulent faire respecter cette loi à la lettre. Le PS est

société se définit aujourd'hui comme une société de l’information dans laquelle les grands médias, presse, radio et télévision sont omniprésents. La presse est libre depuis 1881. Le monopole d'État sur la radio et la télévision a pris fin en 1982. Des groupes de communication très puissants se sont constitués. Ils se livrent une concurrence acharnée. La course à l'audience oriente le contenu de l’information vers plus de sensationnel. Cette «information - spectacle» est objet de débat. Les Français doutent