Groupe Dziga Vertov

devient un film, de montrer tout le processus technique et non seulement scénaristique, mais tout en recréant un récit par dessus. Certains aborderont non pas un aspect du cinéma, mais l'ensemble du cinéma, comme dans L'homme à la caméra [1929]de Dziga Vertov où l'on verra tout le processus de la fabrication d'un film, du tournage au montage en passant par la projection. Mais pas tous auront comme projet initial de parler ou de mettre en scène le cinéma dans le récit de leur film, certains réalisateurs

1957) •Fellini Roma (Federico Fellini, 1972) •Amsterdam, Global Village (Johan van der Keuken, 1996) •À l'Ouest des Rails (Un ancien quartier industriel de Shenyang en Mandchourie - Wang Bing, 2003) 2. L’Homme à la Caméra, une symphonie urbaine Vertov a manifesté son désir de réaliser un documentaire appartenant au genre de la symphonie urbaine. Lorsque le film de René Clair Paris qui dort sort en URSS, il se plaint dans son journal de ce qu’on ne lui a pas permis de réaliser un Moscou qui dort

 introduction : Robert Joseph Flaherty est un réalisateur de cinéma américain, né le 16 février 1884 à Iron Mountain, dans le Michigan, et décédé le 23 juillet 1951 à Vermont, dans le Montana.Il est souvent considéré, avec Dziga Vertov, comme l'un des pères du film documentaire et du docufiction, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson, qui travaillera plus tard avec Flaherty. C'est lui qui établit le premier le principe de fréquentation et complicité avec les filmés qui sera

culturels, coutumes locales) et met en œuvre des méthodes et problématiques relatives à l'ethnologie, l’étude de groupes en société : l’étude de l’Homme, de la même personne que l’Anthropologie observe dans son intégrité. L’Anthropologie visuelle est une pratique et une discipline qui s’applique en particulier en ethnologie. ROBERT FLAHERTY (1884-1951) Il est souvent considéré, avec Dziga Vertov, comme l'un des pères du film documentaire et du docufiction, C'est lui qui établit le premier le principe

Dziga Vertov, de son vrai nom Denis Arkadiévitch Kaufman, naît à Bialystok le 2 janvier 1896. Appartenant à une famille de libraires, il est l’aîné de trois enfants dont les deux cadets, Mikhaïl et Boris, deviendront cameramen. En 1915, la famille Kaufman s’installe à Moscou. L’année suivante, Denis part pour Petrograd où il suit des études de médecine en neuropsychologie. En 1917, le jeune homme crée le « laboratoire de l’ouïe » à travers lequel il expérimente l’enregistrement et le montage des

Les apports de Vertov - utilisation de plusieurs techniques : le ralenti, l’image fixe, l’animation, les mouvements de caméra et angles insolites
- le montage: les images multiples dans le cadre, les superpositions, les images flash, - effet Koulechov, juxtaposition

observe une variante de cinéma Direct appelée le Cinéma Vérité avec des films comme Chronique d'un été de Jean Rouch et Edgar MORIN, ce terme s'inspire des journaux d'actualité de Dziga Vertov « Kino Pavda ». Vertov à eu une influence durable et évolutive sur le Cinéma dans son ensemble, d'ailleurs en 68 GODART montera le groupe à son nom. Le Cinéma vérité n'est pas du cinéma direct car dans celui ci le montage a une grande importance et permet d'orienter l'analyse du spectateur alors que dans le Direct

et la Kolkhozienne (en russe : Рабо́чий и колхо́зница) est un groupe sculptural composé de deux figures, un homme et une femme, brandissant la faucille et le marteau. L'artiste de cette sculpture de 25 mètres de haut et de 80 tonnes est la sculptrice soviétique Vera Ignatievna Moukhina. Dans un premier temps, la Révolution entraîne de nombreux artistes dits d'avant-garde, comme Kasimir Malevitch, Sergei Eisenstein ou Dziga Vertov. Assez rapidement, les artistes soviétiques sont recadrés par le

déjà complexe, même si les principes du montage narratif n'étaient pas encore aussi sophistiqués. Très vite Griffith ou les cinéastes soviétiques comprennent son importance esthétique ou narrative ; voir la célébration du travail de montage par D. Vertov en 1929 dans l'Homme à la caméra. 17 L'Attaque du grand rapide / The Great Train Robbery Réalisateur : Edwin Stratton Porter, USA, 1903, 10 minutes. Producteur : Thomas Edison Cie Avec George Barnes, chef des brigands, Gilbert Max Anderson dit

révolutionnaires qui inspirent la sympathie et la fierté en faveur des classes révolutionnaires. Sujets satiriques, qui fustigent les puissances dominantes du monde non-russes. A côté de ce traitement mélodramatique, qui met en avant des figures et des groupes héroïques, des collectifs et des individus, qui dépeint les oppositions sociales en des tons violemment contrastés, à grand renfort de pathétique et de péripéties, on recommandera la forme comique. Il est inutile de s’attarder sur son accessibilité