Grotesque

sa critique devient plus efficace, plus subtile. Il est caractéristique dans l’humour noir de décrire des atrocités avec une banalité et placidité, comme s’il n’y avait rien d’exceptionnel. 6 Cette manière de décrire en détail des atrocités grotesques provoque facilement une réaction initiale de l’amusement chez le lecteur, mais sera immédiatement révoquée d’un sentiment de dégoût. O’Neill affirme que le rire aurait ses racines plutôt dans la souffrance et le chagrin que dans la joie. 7 Le

donne aussi à voir les salons parisiens de l'époque, notamment celui des Verdurins. Dans cet incipit, Swann est un nouvel arrivant dans ce petit univers qu'est le salon, et il découvre les mœurs de ce salon ridicule, côtoyé par des gens hautains et grotesques. Nous verrons en quoi Proust nous dépeint une satire de ce salon et de ce milieu bourgeois, en nous basant tout d'abord sur le groupe en lui même, puis sur Mme Verdurin en particulier. I/ Un petit comité trié sur le volet A/  Un groupe fermé

rires. Premièrement ils nous disent que le rire peut être très élémentaire, primaire. En effet Alain Vaillant nous explique que l’un des grands courants du rire est l’humour plutôt grotesque, de calembour. Le personnage de Jorge confirme par ses propos que les hommes s’amusent et rient de choses futiles, grotesques. Voltaire quant à lui nous dit que l’homme rit tout simplement de ce qui l’amuse. Ils nous disent également que le rire peut être aussi très moqueur. A cela, Vaillant parle de ce courant

manifeste du Romantisme en France. Il propose une histoire culturelle et esthétique où il met en avant, à côté de la culture officielle, la permanence d'une contre-culture populaire, c'est à dire celle du grotesque incarné par des personnages comme Polichinelle, Sancho Pança, Sganarelle, Figaro. Le grotesque permet de jouer sur un effet de contraste, en opposition avec le sublime, ce qui est d'une infinie richesse. Parallèlement, Hugo définit une poétique fondée sur le naturel, c'est à dire l'abandon d'un

échecs d’un échapatoire => dimension tragique· Dimension érotique du texte // désir, beauté et animalité· Mais excès de sentiments et d’actions· Projet de lecture : le désir et la mort se mêlent dans ce texte, mais de manière excessive, et donc grotesque· Structure du texte : · Un désir effrayant · Eros et Thanatos· Une agonie bestiale· Un désir effrayant· Scène de regards :· Champ lexical du regard et de la vue· Portraits croisés · Mouvement parallèle· Pauline comprend le pacte (double coordination

cruel. Il est aussi absurdement grossier, grotesque et détestable. Macbeth fait preuve d’une certaine faiblesse de caractère en participant à un régicide mais il démontre qu’il a des remords de conscience ce qui le rend plus humain et plus typique de personnage protagoniste. Au contraire, Ubu n’exprime aucun remords et semble plutôt être anti-protagoniste. (Copelin, 1973) L’aspect absurde de la pièce Ubu roi existe premièrement dans la représentation grotesque et vulgaire du Père Ubu. Son langage est

A partir de la ligne 25 bcp plus net ( gradation de la relation entre jean et Béranger : au début une appartenance a la meme communauté puis disparition de ce sentiment . II – Du motif grotesque au débat philosophique a)La métamorphose : Une transformation progressive b)Une inquiétude diffuse : Le grotesque produit le rire mais entraine un mal-être c)Une réflexion philosophique : 2 valeurs s'opposent : Nature et Morale Conclusion : Cet extrait rend compte d'un moment de tension ( atravers

Dans son œuvre l’auteur invite à se divertir sans arrières pensées. Il a l’art de faire des plaisanteries souvent grossières. Les héros de Rabelais son sympathique et joyeux même parfois ridicules. Il dresse des caricatures poussées au grotesque comme celle qu’il fait des théologiens. Nous pouvons analyser les noms des personnages qui, n’ont pas été donnés au hasard par Rabelais. Dans les prénoms des géants Gargamelle et Grandgousier nous retrouvons l’idée de nourriture, dans celui de Ponocrates

quiproquo qui existe entre Horace et Arnolphe quand Horace traite Arnolphe de fou et de sot, et qu’en plus il lui emprunte de l’argent pour aller séduire Agnès. Ces différents traits comiques associés au fait que les acteurs accentuent encore le grotesque par leur jeu sont des traits qui font penser à la « Commedia dell ‘Arte » c'est-à-dire du théâtre populaire associé à la satire. Décor Le décor quant à lui correspond à la pièce de Molière. Le fait que les acteurs soulèvent le rideau

I] Présentation Jarry En 1888, sa mère s’installe avec ses deux enfants à Rennes. Jarry entre en rhétorique au lycée de Rennes en octobre 1888. Au lycée de Rennes, M. Hébert, professeur de physique, incarne aux yeux de ses élèves « tout le grotesque qui est au monde ». L'enseignant devient le héros d’une littérature scolaire abondante, dont un texte intitulé Les Polonais que Jarry, en classe de première, va mettre en forme de comédie : c’est la plus ancienne version d'Ubu roi. En 1891-1892