Grippe aviaire

de Jéhovah qui ont fortement revendiquer la vaccination jusqu'en 1952. D'autres refusent le vaccin car ils pensent que celui-ci n'est pas sûr et que des effets secondaires graves peuvent avoir une répercussion à long terme, comme le vaccin de la grippe H1N1 (vaccination selon le choix du patient) qui a connu énormément de refus du à ses effets secondaires, certaines familles qui ont demandé le vaccin pour un enfant qui par la suite de celui-ci est devenu handicapé et ont donc refusé la vaccination

Notre espèce avide ayant transformé les cochons en porcs, et la planète en porcherie, il est compréhensible que celle-ci nous prenne en grippe à la première occasion. finalement, la science, la technologie ne nous protègent de rien.Elles procurent le sentiment d’une protection illusoire.Elles ne nous protègent pas ,par exemple, des 30’000 têtes nucléaires qui surveillent la paix.Elles ne nous protègent pas du virus connu ou à découvrir. Faute de quoi nous risquons de voir d’apparents succès

(roflual) • Mode d’action : Amines de synthèse ayant pour cible spécifique la protéine M2 des virus grippaux de type A. – en empêchant la fusion entre la capside du virus A de la grippe et la membrane p plasmique de la cellule cible. q – en se fixant à la protéine-canal ionique de la nucléocapside du virus de la grippe, appelée M2 (absente chez le virus B). La protéine M2 régule le pH du virus qui en s acidifiant détruit la capside et libère ses 8 fragments d ARN pour s'acidifiant d'ARN infecter

protéines de surface fortement glycosylées comme antigènes), on parle d’hémagglutination. ce test est souvent utilisé, non pas pour la détection d’anticorps, mais pour la détection de particules virales se liant aux acides sialiques (comme le virus de la grippe). IV.4.1.5. Titration d’un sérum pour la recherche d’anticorps 0.5 ml de diluant dans chaque tube IV. dIagnostIc VIral 4. techniques diagnostiques 9 IV. Diagnostic viral > 4. techniques diagnostiques ELISA ou EIA (Enzyme Linked ImmunoSorbent

L’immunité est donc estimée acquise à vie, ce qui signifie en l'état actuel des connaissances qu'une personne ayant eu le chikungunya ne peut être atteinte une deuxième fois. Les premiers symptômess peuvent faire penser à une crise de paludisme ou de grippe, ou de leptospirose, ou à une septicémie, une méningite etc. Selon l'OMS, le chikungunya est une maladie qui présente des similitudes avec la dengue (douleurs musculaires et articulaires, forte fièvre, maux de tête, éruption sur la peau...). La maladie

lent et difficile des antiviraux dus aux propriétés du virus: – Parasitisme intracellulaire strict, – Incapacité à s’autorépliquer, – Diversité (virus à ADN et ARN) Prise en charge thérapeutique différente en fonction des virus: – Infection aigue (grippe): traitement courte durée – Infection latente avec réactivation (HSV): traitement courte durée – Infections chroniques (VIH, VHC, VHB): traitement longue durée • 3 Cours DCEM1 - Les antiviraux INTRODUCTION • • Molécules récentes Premiers

personnes à personnes. Une des conséquences du VRS est la bronchiolite (inflammation des bronchioles). Les nouveaux nés sont les plus affectés par les bronchiolites. Ce virus se transmet d’enfant à enfant très rapidement. Diapo 17 : Le virus de la grippe C n’infecte pas l’Homme. Le virus Hantaan est situé plus particulièrement dans les Ardennes car il transmit par un petit rongeur, et on respire l’urine du rongeur, qui ces rongeurs vivent dans les Ardennes. Diapo 20 : Il n'y a pas qu'en pédiatrie

boudin. La capside cylindrique entoure cette spirale d'ARN. Les unités de structure sont toutes identiques entre elles et liées les unes aux autres, formant un ruban continu enroulé en spirale. ***Nucléocapside enveloppée : Virus de la Grippe La nucléocapside a la même structure que le VMT, mais de dimensions différentes. (VMT Virus de la Mosaïque du Tabac) Elle est souple et bobinée. Possède une enveloppe qui enferme la nucléocapside. Possède des spicules lui donnant un aspect

| |Virus |Gros virus |-Rougeole, rubéole, varicelle.. | | |Moyen ou petit virus |-Grippe, sida, herpès, rhino-pharyngites, | | | |etc. | Différents bactéries pathogènes La bactérie pathogène spécifique

Contamination par les voies respiratoires : Les micro-organismes peuvent pénétrer dans l'organisme par l'air que nous respirons. De fines gouttelettes contenant les micro-organismes sont éjectées dans l'air, c'est le cas pour la transmission du virus de la grippe A. Les micro-organismes se propageant par l'air sont les plus contagieux. Contamination par la voie intestinale : Le second mode de contamination est l'eau et l'alimentation. Les aliments et l'eau peuvent être contaminés par des bactéries comme